Une séance de yoga sur le toit – Partie 8 – Fiction érotique

Le lendemain, Shelly se retrouvait assise en face d’Alessandra. Shelly avait oublié à quel point la petite Latina était ravissante. Elle méritait qu’on la regarde. Sa robe midi noire mettait en valeur sa taille fine, et sa découpe laissait ses épaules brunes et noueuses à nu.

Shelly reporta son attention sur la conversation d’Alessandra.

« … et voilà comment nous nous sommes rencontrés. Je ne l’avais jamais vu aussi beau. Les photos m’ont donné une nouvelle image de lui. »

« Je suis contente qu’elles t’aient plu. » Shelly parlait doucement.

« Les aimer ! Mais je les ai adorées ! Je pense que… »

Shelly la laissa continuer, mais l’enthousiasme d’Alessandra à propos de Gérard déçut Shelly. Son désir d’avoir toute l’attention d’Alessandra refit surface, commençant à brûler dans sa poitrine. Elle avait essayé d’étouffer ce désir, comme une Pall Mall toute sèche. Mais elle n’y était pas parvenue.

« … m’a parlé d’en faire de nouvelles, mais cette fois avec moi. Il m’a demandé de te poser la question, mais je lui ai dit que je ne le ferais pas. Toi et moi avons une relation professionnelle. Je ne veux pas tout gâcher. »

Alessandra marqua une pause. « Shelly, ça va ? »

Sa question fit sortir Shelly des pensées dans lesquelles elle s’était perdue. Elle reprit le fil et dit : « Je n’ai pas eu de nouvelles de mon client au sujet des photos de Gerardo. J’attends toujours. Si longtemps après, je me demande si c’est bon signe. » Shelly afficha un visage triste et un haussement d’épaules plein d’excuses.

« Peut-être devrions-nous les envoyer ailleurs. Est-ce que tu penses que ça pourrait marcher ? »

« Écoute, je ne suis pas sûre de pouvoir faire plus pour lui. Je vais lui envoyer les photos que j’ai réalisées. Après cela, il devra prendre le relais. Je suis désolée. »

Alessandra s’enfonça dans son siège, un bras sur le ventre et le coude sur le poignet, tripotant sa grande boucle d’oreille.

Shelly relança. « Tu es douée pour faire des cadeaux. Les cartes étaient fantastiques. »

« Les cartes sont démodées, mais jamais ringardes je trouve. Un texto, c’est une chose. Mais tenir un objet physique avec une écriture manuscrite dessus, c’est différent. »

« Tu es clairement d’un autre niveau. » Shelly posa ses coudes sur la table. « Un niveau que j’adore. J’aimerais pouvoir atteindre ce niveau. » Shelly rit de son commentaire, jusqu’à ce qu’elle se rende compte de ce qu’il aurait pu signifier.

Alessandra avait dû aimer le sous-texte de la remarque. « J’essaie de vivre à un autre niveau. J’invite les gens à m’y rejoindre. Les petits cadeaux aident. »

« Les cartes, certainement. »

« D’autres cadeaux ont également ce pouvoir. »

« D’autres cadeaux ? »

Alessandra fixa Shelly dans les yeux.

« Tu les as encore ? » demanda Alessandra lentement, traînant volontairement.

« Qu’est-ce que j’ai encore ? »

« Elle est petite et blanche et je l’ai portée. » Elle haussa les sourcils. Un sourire se dessina sur sa bouche.

Shelly rougit soudain et se toucha le bout du nez de la main gauche.

« Tu l’as encore ! » Le sourire d’Alessandra illumina alors son visage jusqu’à ce qu’elle se mette à rire. Elle saisit la main droite de Shelly. « Où l’as-tu mise ? Tu la gardes dans un endroit spécial ? Tu l’as lavée ? »

Shelly essaya de dégager sa main. Alessandra ne voulait pas la lâcher.

Alessandra lui dit : « Je savais que tu serais surprise. Tu as du tomber à la renverse. »

Shelly essaya à nouveau de dégager sa main.

Avant de la lâcher, Alessandra lui dit : « J’ai prévu une autre surprise, puisque tu as aimé le premier cadeau. »

« Une autre surprise ? » demanda Shelly immédiatement. Elle salivait.

« Tu veux savoir ce que c’est ? »

« Oui. » Shelly avait presque aboyé sa réponse. Elle sentit que sa réponse avait surgi trop précipitamment. Tout le désir et les sentiments que Shelly avait essayé de contenir se retrouvaient exposés de façon encore plus évidente.

Alessandra changea de sujet, abandonnant celui du nouveau cadeau.

« Tu ne veux pas m’emmener dans ton studio ? J’ai un besoin urgent de revoir ce manteau de fourrure. »

Shelly avait plutôt envie de recevoir son cadeau. Tout cela était très intriguant et la titillait jusqu’au fond de son estomac. Pourtant, elle céda à la requête d’Alessandra.

« Oui, j’imagine qu’on peut faire ça. »

Une heure plus tard, Shelly était en train de déverrouiller la porte de son studio. Alessandra se rua vers le placard. Bien que totalement inutile, Shelly lui dit « Il est dans le placard. »

La petite Latina en sortit enveloppée dans la fourrure des oreilles aux chevilles. Elle tournoyait comme elle l’avait fait il y a plusieurs semaines lorsqu’elle l’avait porté pour la première fois.

Alessandra ralentit jusqu’à ce que la fourrure retombe sur elle. « J’ai rêvé de cette fourrure. Elle m’a changée. Tu m’as changée. »

« C’est toi qui as tout fait. Pas moi. Je n’ai rien fait d’autre que… »

« Non », interrompit Alessandra, « Tu m’as changé en m’offrant cette opportunité. J’ai l’impression de te devoir quelque chose en retour. »

Alessandra s’approcha de Shelly. Elle dégagea ses bras des manches du manteau.

Shelly recula.

« Tu es responsable de ce qui t’arrive », déclara Shelly. « Mes clients sont heureux et intrigués. Tus erais étonnée du nombre d’appels que je reçois pour d’autres clichés de toi. Ils me supplient pratiquement. Je ne pourrais pas t’être plus reconnaissante en tant que photographe. »

Alessandra s’avance à nouveau vers elle. « Je sais qu’ils m’implorent. J’ai des milliers de dollars sur mon compte en banque. »

Shelly recula. Alessandra s’avança.

« Qu’est-ce que je peux faire pour toi personnellement, Shelly ? Pas pour la Shelly photographe. Pas pour la Shelly femme d’affaires. Je veux le faire pour toi. »

« Je, euh, je ne sais pas », dit-elle, mal à l’aise.

« Tu as dit des choses pendant notre dernière séance photo. Ces choses étaient si chaudes à entendre ». Alessandra baissa le menton, jetant ainsi à Shelly un regard sauvage.

Elle écarta la fourrure et enveloppa Shelly, pressant son corps menu contre celui de Shelly.

« Qu’est-ce que tu veux, Shelly ? » dit Alessandra en haletant, à la limite du grognement. Elle toucha la joue de Shelly.

La gorge de Shelly se serra. Ses pensées se brouillèrent. Un éclair d’énergie lui remonta le long de la colonne vertébrale. Elle savait ce qu’elle voulait. Elle en avait rêvé pendant des mois en regardant les images d’Alessandra. Mais exprimer ces fantasmes à haute voix alors qu’elle n’y était pas préparée lui était presque impossible.

Alessandra l’invita à poursuivre. « Tu dois me le dire. Je ne peux pas deviner. Je ne devinerai pas. »

Alessandra se pencha. La bouche collée à son oreille, elle lui chuchota : « Dis-moi. »

Ses petites lèvres effleurèrent le lobe de l’oreille de Shelly.

Shelly murmura : « Je veux… je veux ce que Gerardo a. »

Alessandra regarda Shelly dans les yeux.

« Je peux le faire. »

Sa langue se mit en quête de celle de Shelly et elles s’embrassèrent.

En sentant ses lèvres et en explorant sa bouche, Shelly fut stupéfaite. Son esprit déjà flou devint aveugle sous l’effet de la passion qu’elle désirait depuis si longtemps et qu’elle avait essayé d’étouffer. La lourde fourrure et les deux femmes à l’intérieur, animées par une passion dévorante, firent exploser la température de leur petit endroit.

La main gauche d’Alessandra se plaça sous le sein de Shelly. Le pouce et l’index de sa main droite effleuraient le menton de Shelly.

Alessandra rompit le baiser en respirant profondément. Elle essuya les coins de sa bouche comme si elle venait de manger un dessert avec voracité.

« Je fais beaucoup pour Gerardo. Y a-t-il quelque chose que tu attends de moi en particulier ? N’importe quoi. Je suis prête à le faire maintenant », demanda Alessandra.

« J’aimerais que tu… » Et, cette fois, elle s’enfonça dans la bouche d’Alessandra en l’embrassant à nouveau. Elle fit courir ses mains sur le corps fin de la jeune fille. Elle avait désiré la toucher, et non pas seulement la saisir à travers l’objectif de son appareil photo.

Cette fois, Shelly rompit le baiser. Elle conduisit Alessandra par la main jusqu’au divan qu’elle utilisait comme accessoire pour les prises de vue. Alessandra s’assit et sembla surprise lorsque Shelly refusa de prendre place à côté d’elle. Alessandra sursauta lorsque Shelly s’agenouilla et posa ses mains sur l’intérieur des cuisses d’Alessandra.

« Écarte les jambes. »

« Mais… »

« Fais-le. » Shelly ne lui laissait pas le choix.

Alessandra remonta sa robe et s’adossa contre le canapé. Elle prit une grande inspiration avant d’écarter les jambes.

Shelly enfonça son visage entre les genoux de la petite Latina. Shelly sentit l’humidité et le musc entre les jambes. Elle lécha la chatte rasée. Shelly embrassa ses petites lèvres et suça les plis plus profonds.

Le corps d’Alessandra tressaillit à ce contact.

« Mon Dieu, Shelly, c’est… Wow ! » Alessandra marmonnait maintenant de façon incohérente.

Pendant ce temps, Shelly faisait glisser sa langue de haut en bas, de droite à gauche, dans la chaleur et l’humidité. Finalement, elle trouva le point spécial d’Alessandra. Alessandra se mit à parler furieusement et rapidement en espagnol. La jeune femme se mit à bouger ses hanches. Elle s’agrippa au bord du divan. Un de ses pieds se souleva vers le canapé, écartant un peu plus ses jambes. Elle couinait comme une folle.

Shelly finit par se lever. Son visage était rougi et recouvert d’une pellicule de musc.

Alessandra attira Shelly au-dessus d’elle. « Je ne reçoit jamais ce genre de choses. »

Shelly s’assit sur le bord du canapé, les épaules affaissées, écarta ses cheveux de son visage humide. Elle était fatiguée mais extrêmement satisfaite.

Shelly se tourna vers Alessandra. « J’en ai envie depuis que je t’ai vue pour la première fois dans la position du chien tête en bas sur le toit. Tu t’en souviens ? »

« Comment pourrais-je oublier ? On peut aller dans ton appartement ? » demande Alessandra.

« Mon appartement ? »

« Oui, il y a plus de place. »

Elles se dirigèrent vers la maison de Shelly.

Alessandra fut surprise lorsqu’elle entra dans le salon.

« Tu as gardé mes cartes ! C’est trop gentil ! » Elle serra Shelly dans ses bras.

« Tu pensais que je les aurais jetées ? Jamais ! »

Shelly s’assit sur le canapé, mais Alessandra l’en empêcha.

« Ça fait longtemps que je n’ai pas vu ta chambre. »

Elle tira Shelly pour qu’elle se lève.

Une fois Shelly debout, Alessandra l’embrassa brièvement avant de se tourner vers la chambre. Elle marqua une pause.

« Je me demande où tu as rangé quelque chose qui m’appartient », dit-elle.

« Oh non, pas… » Shelly sentit qu’Alessandra s’immisçait dans sa vie privée. Elle venait de mettre son visage dans l’endroit le plus intime du corps d’Alessandra, mais là c’était différent. Cela révélait beaucoup de choses sur elle-même qu’elle n’était pas sûre de vouloir partager.

« Où est-elle, Shelly ? Montre-moi. »

« Alessandra. » Shelly prononça son nom lentement.

« Dans ta table de nuit ? » Elle sourit. « Ou peut-être dans une boîte avec d’autres jouets. »

Shelly s’appuya contre la tête de lit, les bras croisés, tandis que son amie était de plus en plus insistante.

« Shelly, je sais qu’elle est là quelque part. C’était un cadeau trop spécial », dit Alessandra.

« C’était un sacré cadeau, c’est sûr. Une surprise. »

« Je peux la voir ? » Elle lui adressa un regard de chien battu.

Shelly expira, comme frustrée, et se dirigea vers la tête du lit. Elle fouilla dans sa taie d’oreiller. Elle s’arrêta avant de la sortir.

« Je n’arrive pas à croire que je fais ça », dit Shelly.

« Je n’arrive pas à croire que je l’ai laissée ici. Je ne fais jamais de choses comme ça. Mais je l’ai fait pour toi. »

Shelly sorti la petite culotte blanche et la fit pendre entre son pouce et son index.

Alessandra sourit.

« Tu veux bien la mettre ? » demanda Alessandra.

« Moi ? Je ne peux pas y glisser une cuisse. Tu es beaucoup plus petite. »

« Alors laisse-moi la réenfiler. »

« J’ai envie de la garder. » Shelly tenait le sous-vêtement blanc contre sa poitrine.

« Je te la rendrai. Je pense que tu l’aimeras encore plus si je la porte alors que je suis brûlante. »

« Brûlante ? »

« Oui, de désir. »

Shelly lui tendit la culotte.

Alessandra se pencha pour glisser ses deux jambes dans la culotte.

Elle demanda : « As-tu aimé l’odeur de cette culotte ? Ça t’a fait penser à moi ? »

Shelly acquiesça lentement.

« Est-ce que je peux faire quelque chose d’autre qui ferait penser à moi ? » demanda Alessandra. Ses yeux de nouveau incandescents.

Shelly ne bougea pas.

Alessandra déboutonna le chemisier léger de Shelly et libéra ses gros seins de son soutien-gorge.

Alessandra posa sa joue contre un sein et caressa doucement la chair avec ses doigts.

Avec une voix de petite fille, elle demanda : « Maman, je peux te sucer les seins ? »

Les yeux de Shelly s’écarquillèrent.

La langue rose d’Alessandra s’étira et effleura le mamelon rose. Elle engloba ensuite toute la pointe du sein avec sa bouche.

Shelly caressait les cheveux noirs brillants et les plaça derrière la petite oreille d’Alessandra. Bientôt, des gémissements s’échappèrent de la bouche de Shelly.

Elle glapit quand Alessandra commence à lécher et à sucer son autre sein.

Shelly n’avait pas été l’objet de tant d’attention depuis bien longtemps. Luna lui vint à l’esprit. Le souvenir de leur belle nuit à Puerto Vallarta.

Mais Alessandra n’était pas Luna. Elle ne lui ressemblait en rien. Alessandra continuait à lever les yeux vers Shelly alors qu’elle s’occupait de ses seins pendants. Alessandra se demandait si Shelly appréciait ce qu’elle lui faisait. Luna, elle, prenait le contrôle de la nuit.

La chair de poule fit son apparition sur le ventre de Shelly lorsque la Latina posa ses lèvres de plus en plus bas sur son corps. Elle arriva à la ceinture du pantalon de Shelly et à la culotte beige qui se trouvait en dessous.

Alessandra leva à nouveau les yeux pour lui demander la permission.

« Maman, tu me laisses baisser ta culotte ? » demanda-t-elle.

Shelly était bouleversée par tout cela. Elle ne s’y attendait pas. C’était tellement inattendu qu’elle eut du mal à répondre à la femme qui était à genoux devant elle. Shelly se contenta de hocher la tête.

Les doigts fin déboutonnèrent le pantalon et le baissèrent. Puis ils firent glisser la culotte vers l’arrière. Bientôt, une masse de poils châtains apparut devant Alessandra. Sans détourner son regard du buisson, Alessandra fit tomber la culotte sur le sol.

Shelly s’assit sur le lit. Son esprit forma enfin les mots importants pour faire avancer les choses. « Mange-moi. J’attends cela depuis des siècles. »

Alessandra souleva les cuisses épaisses de Shelly et les écarta. Sa chatte humide se déplia jusqu’à ce que le rose apparaisse parfaitement.

Shelly était complètement offerte face à Alessandra, toute exposée. Ses talons pointaient vers le haut et vers les murs parce tant elle était tendu et ouverte.

En regardant par-dessus ses seins et le long de son ventre, Shelly vit le visage d’Alessandra disparaître entre ses genoux. Le premier coup de langue lui fit contracter le dos et lui fit serrer les fesses. C’était lent et profond. Les coups suivants furent plus rapides, laissant derrière eux comme des éclairs de plaisir.

Shelly ne voyait que les cheveux noirs et raides. Un halo se reflétant sur les cheveux luisants se déplaçait tandis qu’Alessandra montait et descendait le long de la chatte de Shelly. Cela rappelait à Shelly la dégustation d’une pastèque fraîche par un chaud après-midi d’été.

« Alessandra … Alessandra … oui, oui. Tu es bien là. Continue. »

Shelly frappa le matelas et grimaça lorsqu’elle sentit le doigt d’Alessandra s’enfoncer profondément en elle, tandis que sa bouche continuait à bouger à un nouveau rythme. Comme Luna, Alessandra amena Shelly vers une série de pics uniques, qui se répercutaient dans tout son corps. Des pétards et des gouttes de miel. Des rafales de vent et des piquants de pin. Elle eut un orgasme.

Les jambes de Shelly retombèrent sur le côté du lit, pratiquement paralysées. Ses bras étaient faibles.

La petite Alessandra grimpa sur Shelly et déposa un long baiser sur ses lèvres. Le visage de Shelly se couvrit de l’essence d’Alessandra. À présent, Alessandra rayonnait des fluides de Shelly.

Alessandra se tenait au-dessus de Shelly, les mains sur les hanches. « J’étais sûre que tu m’aimais. C’est évident quand tu ne peux pas répondre. »

Elle passa ses doigts dans l’élastique de la petite culotte qu’elle portait. Elle la fit glisser sur ses jambes et la retira.

En la tenant dans ses mains, elle dit : « Elle est tellement humide. Si tu l’as aimée avant, tu vas l’adorer à présent. »

Elle plaça la culotte dans la main sans force de Shelly.

« Elle est à toi. Dors avec. Garde-la près de toi. Je veux que tu te souviennes de moi. »

Shelly se redressa enfin, s’essuyant le front. « C’était… »

« Il faut que je parte, mais on peut se revoir bientôt ? Je ne veux pas attendre aussi longtemps que la dernière fois. »

« J’ai quelques idées de photos. Nous les développerons ensemble. »

Alessandra l’embrassa encore une fois et partit. Shelly s’allongea sur le lit, nue, amoureuse, et tenant dans sa main la culotte mouillée d’Alessandra.

 

* Cette fiction a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici.