La salle de concert était comble pour la représentation annuelle de notre chorale - point culminant d’une longue saison de concerts. L’excitation de la soirée était palpable. C’était là un événement annuel que de nombreuses personnes avaient attendu et pour lequel elles avaient acheté des billets des mois à l’avance. L’excitation était intense pour nous aussi, surtout après des mois et des mois de répétitions et de répétitions, formelles comme informelles.
La partie gauche de la scène était remplie par une vingtaine de chanteurs : nous étions sept représentants de mon ensemble d’hommes, un ensemble de femmes et un autre groupe mixte de chanteurs. Nous essayions tous de rester immobiles et de ne pas être vus par le public.
Je regardai les artistes sur scène tout en exécutant la musique chorale de Mendelssohn de mon groupe. C’est alors que la femme blonde devant moi fit un pas en arrière. Son talon heurta mon pied droit.
Je laissai échapper un grognement et elle se retourna rapidement pour s’excuser en silence. Je lui souris simplement, alors que la douleur faisait palpiter mon pied. Le talon de sa chaussure était vraiment pointu. Elle se retourna à nouveau avec des yeux sombres et tristes pour me présenter de nouvelles excuses.
Elle s’appelait Nicole, une soprano. Je la connaissais un peu. Elle et moi avions pris un verre avec les autres chanteurs après plusieurs répétitions.
La prestation de l’ensemble en cours s’acheva sous les applaudissements nourris du public. Alors que les chanteurs quittaient la scène, nous autres, sur la gauche de la scène, avions créé un passage étroit pour permettre aux artistes de glisser de la lumière vive du centre de la scène à l’obscurité. L’ensemble suivant se dirigea vers la lumière.
Mon groupe était le suivant, alors je me suis déplacé pour accéder plus facilement à la scène. Nicole et moi nous sommes heurtés l’un à l’autre – encore une fois.
Elle me jeta un coup d’œil. À mon tour de m’excuser cette fois-ci, en me décalant, mais elle m’arrêta. Ses bras se tendirent vers l’arrière et ses doigts agrippèrent deux passants de la ceinture de mon pantalon. Elle m’attira contre elle.
Puis elle se mit à bouger. Ni vers l’avant, ni vers l’arrière. Au contraire, elle balançait lentement ses hanches d’un côté puis de l’autre. Je pouvais sentit le contour de ses fesses. L’arrondi du côté gauche, le creux de sa raie, puis le haut de sa fesse droite. Elle continua ce mouvement, allant de son intimité à la droite de sa scène, traversant le centre de celle-ci, puis la gauche de la scène et inversement. Je me mis immédiatement à bander, bien que ma bite soit coincée à gauche, dans mon pantalon ajusté.
J’observai la femme qui provoquait cette excitation. Ses cheveux blonds clairs étaient attachés en un chignon bas et quelques mèches pendaient. Elle avait un parfum de fleurs sauvages. Elle me faisait penser à une fée des bois d’une série télévisée ou d’un film.
Sa coiffure mettait en valeur son cou étroit, entouré d’un simple rang de perles. Elle avait de petites oreilles avec des boucles d’oreilles cloutées. L’encolure dégagée de sa robe de la Choral Society me permit d’apercevoir un tatouage fin. Des caractères chinois partaient de la nuque et disparaissaient en colonne sous le décolleté de sa robe, entre les omoplates.
Nicole et moi avions plusieurs fois bavardé avec le groupe de chanteurs après les répétitions. Les buveurs invétérés au sein de la Choral Society sont peu nombreux et leurs limites de consommation peu élevées. Lorsqu’elle et moi sortions avec les autres chanteurs, nous riions et parlions fort pendant des heures. Elle ne m’avait jamais fait d’avances auparavant. Une fois, elle s’était lancée avec ardeur dans un débat arguant du fait que les hommes ne peuvent pas bien chanter lorsqu’ils sont en érection. Et nous avions taquiné les dames en leur disant que les altos, plus profondes, maîtrisaient mieux les voix de tête que les sopranos.
Maintenant, avec son ondulation sensuelle, ma bite se pressait, évidemment, contre la fermeture éclair de mon pantalon. Elle le sentait très certainement. Elle me jeta un coup d’œil par-dessus ses épaules avec un regard coquin.
Mais elle sursauta lorsque je saisis ses hanches. Elle ne pourrait pas s’échapper.
Mais elle avait son propre programme. Sans que je m’y attende, elle se pencha légèrement – ce qui n’était perceptible que pour nous – et se releva. Sa descente ramena ma bite à douze heures. Cette femme savait ce qu’elle faisait. Elle avait l’intention de me titiller. Et elle y était parvenue. Mon cœur battait de plus en plus vite. Ma respiration s’accéléra. Ma bite était de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon.
Sérieusement, j’aurais dû être en train de préparer mon esprit à Mendelssohn. Mon ensemble était le prochain à se produite sur scène. Mais je n’y arrivais pas. L’euphorie de cette attention féminine m’avait éloigné de la musique. Mendelssohn ne pouvait pas rien pour moi. Une seule chose le pouvait.
Je fus ramené à la vie réelle lorsque j’entendis les applaudissements nourris du public. C’était l’heure de mon ensemble.
Elle me chuchota à l’oreille. « Dans les coulisses. Après, viens me voir. »
Je m’approchai de son oreille et pris ses fesses dans mes mains. « Bien sûr. »
Elle m’adressa un sourire malicieux.
Je marchai en ligne avec les six autres hommes jusqu’au centre de la scène.
Sous les lumières aveuglantes et dans l’obscurité, des centaines d’yeux nous observaient. Je me tortillais car ma bite était encore dure. Je craignais que cela ne se voie, comparé aux autres hommes dont les pantalons n’avaient pas de bourrelet à l’entrejambe.
Grâce à des mois de répétition, Mendelssohn me revint facilement – Dieu merci – tout se passa bien.
Lorsque j’ai eu terminé, je quittai les lumières aveuglantes pour entrer dans l’obscurité de gauche de la scène. Je la vie. Elle se trouvait dans la file d’attente pour son spectacle.
Elle me toucha le bras.
« Après », me rappela-t-elle.
Comme si j’avais besoin d’un rappel.
J’acquiescai.
Le reste de la soirée me semblait interminable. Le chef d’orchestre, dans sa férocité musicale, retint trop longtemps le grandiose amen final. Ma voix ne put tenir la note, car ma poitrine battait la chamade. L’ovation du public et les cris de bravo me déçurent, car ils ne faisaient que retarder le véritable événement de ma soirée.
Finalement, je fus évacué de la scène au milieu d’un immense flot de chanteurs qui parlaient et discutaient. Ils redescendaient ensemble de leur performance.
Enfin, je parvins à quitter la scène et je dus me transformer en coureur, en esquivant les nombreuses personnes qui voulaient m’empêcher d’atteindre la zone d’arrivée.
Il me fallut quelques minutes pour atteindre la salle de répétition dans les coulisses. La salle était remplie de ce qui ressemblait à une prairie de pupitres noirs et de rangées de chaises démontées. C’était le bazar.
Psst !
Je cherchai d’où l’appel autour de moi, les oreilles dressées comme un animal en plein repérage.
« Thomas ! »
Mon dos se redressa et mes sens en alerte furent stoppés tout net.
Le chef de chœur m’avait appelé en entrant dans la salle.
« Votre ensemble a été merveilleux. Mendelssohn serait fier. »
Nous nous serrâmes la main.
« J’en suis certain. Un ensemble très talentueux. Dévoué. » J’essayai de retenir mes yeux de se promener autour de lui.
« Ne vous sous-estimez pas », ajoutai-je pour l’apaiser. « Beaucoup d’autres compositeurs se réjouiraient de votre talent. »
« Oui, j’ai travaillé dur », dit-il en inspirant profondément. Le connaissant, il s’apprêtait à parler de lui. Pendant ce temps, une blonde m’attendait.
« C’est ma passion, mon travail, depuis que je suis enfant. Mon grand-père m’a emmené voir le … »
J’arrêtai de l’écouter mais j’essayai de sourire comme s’il était intéressant.
« … Et ce soir, puis nos prochaines représentations tout au long de l’année. Oui, la Choral Society est… »
« M. Shambaugh, s’il vous plaît ? » William, un assistant administratif et un jeune ténor, était apparu à la porte de la salle de répétition. « La chorale se prépare à prendre des photos. Nous avons besoin de vous. Thomas ! Viens aussi ! »
« Venez, Thomas. On ne peut pas rater ça. » M. Shambaugh me tapait sur l’épaule.
« Hum, je cherche mon téléphone. Il est ici quelque part. J’ai juste besoin de regarder. Je vous rejoins tout de suite. »
« Ces photos ne peuvent pas attendre. »
« J’ai besoin de mon téléphone sinon je n’en aurai aucune », lui dis-je.
« Je vous les enverrai par e-mail – demande à William de les envoyer à tout le monde. Venez. » Il me tirait par le bras.
« Laissez-moi balayer la pièce une dernière fois. Je me sens nu sans mon téléphone. Vous savez ce que c’est. »
« Il faut changer cela. Faites vite, Thomas. Je ne peux pas attendre longtemps pour prendre des photos. » Il sortit de la salle de répétition.
Le claquement de ses chaussures sur le sol dur disparut dans le couloir.
Psst !
Elle avait tout entendu et savait que Shambaugh était enfin parti.
« Où es-tu ? » demandai-je en essayant de découvrir d’où venait le son.
Un bras fin apparut entre deux rideaux noirs. Elle se trouvait dans un placard où des pupitres supplémentaires étaient rangés et des chaises empilées.
Je m’y précipitai à travers les rideaux. Nicole était assise et souriait.
« Il ne sait pas se taire », lui dis-je.
Nicole resta assise. Elle écarta les jambes et posé les mains sur le bord du siège. Elle se pencha légèrement en avant. Ses yeux glissèrent le long de mon corps.
« Tu as été bon ce soir, dit-elle lentement, laissant chaque mot glisser sur sa langue. Très, très bon. »
« Toi aussi, mais tu veux donner plus qu’une performance sur scène ce soir, n’est-ce pas ? »
Elle acquiesça.
Je m’avançai dans l’obscurité, juste devant elle. Je défis ma ceinture noire, déboutonnai le bouton de mon pantalon et abaissa la fermeture éclair.
« Eh bien, joue. »
Elle baissa mon pantalon jusqu’aux genoux et fit glisser mon caleçon. Ma bite dure, enfin libérée, tremblait et se redressait, comme un mât dans la tempête.
Elle n’allait pas assez vite à mon goût. Je ne suis pas du genre à aimer les spectacles lents. Malgré la Choral Society, je préfère les concerts de rock.
J’attrapai le chignon de ses cheveux et attirai sa bouche vers ma bite. Elle l’ouvrit en grand comme une bonne fille. Ma bite se perdit dans sa bouche, tandis que ses lèvres se refermaient autour d’elle. Je sentis sa langue bouger. Puis je la sentis aspirer. Je la sentais me baiser avec sa bouche.
Quelques instants plus tard, elle se retira pour reprendre son souffle. Elle donna quelques coups de langue sur ma bite et la reprit dans sa bouche. Elle savait comment faire une pipe.
Tout en sentant sa bouche me masser, ses mains remontaient le long de mes jambes. Ses ongles s’enfonçaient dans ma chair. L’intensité se situait quelque part entre le picotement et la douleur. Puis elle enfonça ses ongles dans mes fesses. Cette fois, je sursautai.
Elle se pencha en arrière une nouvelle, reprenant son souffle, et scruta mon visage tout en enfonçant ses ongles plus profondément dans mon derrière. Ses joues étaient rouges et ses lèvres avaient grossi sous l’effet du travail.
Je lui serrai le menton. « Ne t’arrête pas maintenant. »
Je saisis son chignon avec plus de force et tirai sa tête vers ma queue douloureuse.
Elle eut un haut-le-cœur et toussa. De l’écume apparut aux commissures de ses lèvres alors qu’elle travaillait dur.
« Thomas ! »
William m’appelait dans la salle de répétition. « Thomas, tu rates la séance photo. On a besoin de toi pour les photos de groupe. Tu es là ? »
Je ne me souciais pas d’être sur une photo avec d’autres garçons. J’étais concentré sur une femme, Nicole, parce qu’elle était concentrée sur moi.
« Allez, ma fille, suce-moi. Fais-moi jouir. Montre-moi qu’une soprano a du talent. »
Je voulus attraper son chignon à nouveau, mais il avait disparu. Ses cheveux étaient défaits et recouvraient son visage. Je fis une queue de cheval avec ses longs cheveux pour pouvoir la regarder.
J’enfonçai ma bite dans sa bouche, en balançant mes hanches. Ses yeux se fermèrent hermétiquement. Son visage grimaça. Elle eut un haut-le-cœur et se retira. Ses joues étaient passées du rose bonbon avant sa première prestation de la soirée au rouge pour sa deuxième. Elles étaient maintenant cramoisies. Ses sourcils étaient hérissés et une veine était apparue au milieu de son front. Elle travaillait vraiment dur.
« Oui, oui », grognai-je. « Voilà. Prépare-toi. »
Elle n’abandonna pas la partie. Elle ne s’arrêta pas.
En un instant, je projetai une salve de sperme dans sa bouche écumante. Elle ouvrit grand la bouche pour me montrer le sperme étalé sur sa langue large et rose. Puis elle l’avala. Son cou bougeait au fur et à mesure que le sperme descendait, comme une preuve supplémentaire.
Je trouvais une chaise et m’assis pour laisser mon corps se calmer.
« Tu me crois maintenant ? » me dit Nicole avec subtilité. « Que nous, les sopranos, pouvons gérer les voix de tête aussi bien que les altos plus profonds ? »
« Tu viens de gâcher ma théorie, de la réduire en bouillie. »
Elle s’essuya la bouche du revers de la main.
« Tant mieux. »
* Cette fiction érotique a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici.