Promesse de plaisirs à soulever des montagnes, le point G s’étend pourtant sur une zone très petite et de nombreux explorateurs ont cherché en vain cette source d’extases merveilleuses.
Et pourtant, avec quelques astuces et un peu de matériel, le chemin qui nous y emmène n’est pas si nébuleux. Situé à environ 4 cm après l’entrée du vagin, sur la paroi supérieure de celui-ci, le point G consiste en une zone un peu granuleuse, de la taille d’une pièce de 2 euros et qui se gonfle sous l’excitation, atout non négligeable pour aider à son repérage.
De la préparation physique jusqu’à l’accession à cet Eden tant convoité, voici donc les étapes à suivre pour vous assurer une réussite totale dans la quête des plaisirs de cette zone identifiée par le docteur Gräfenberg.
1) Partir avec le bon matériel
Pour découvrir les plaisirs du point G, vous devez vous munir au choix ou alternativement :
- D’un masseur point G qui présente l’avantage d’aller droit au but.
- D’un index qui permet une véritable exploration et qui offre le plaisir de la découverte artisanale à tâtons.
- D’un sexe masculin qui offre la joie de partager les plaisirs à deux à condition d’orienter ses ébats dans certaines positions.
2) Se positionner confortablement
Pour vous en aller courir les extases gräfenbergienne en couple ou à deux et à l’aide de l’index de l’un de vous, positionnez-vous confortablement sur le dos, les jambes légèrement repliées et le bassin un peu surélevé à l’aide d’un oreiller. Aucune gêne, aucun inconfort ne doit venir s’immiscer dans votre quête voluptueuse…
3) Se préparer physiquement
Le point G ne révèle ses plaisirs qu’en état d’excitation sexuelle avancée, laquelle entraîne de surcroît un gonflement de cette zone alors plus facile à dénicher. Plus vous en aurez envie, plus vous aurez donc de chance de la trouver. Ainsi, il ne sera pas vain de soudoyer un peu le clitoris, gardien de l’antre des plaisirs, en le caressant dans le bon sens, c’est-à-dire celui de l’extase enivrante…
4) Distance à parcourir
Le point G se situe donc à environ 4 cm de l’entrée du vagin, sur la surface supérieure. Il est longé par l’urètre, ce canal qui permet l’écoulement des urines. C’est la raison pour laquelle, en le stimulant, une brève envie d’uriner peut se faire sentir avant que les plaisirs incroyables n’apparaissent.
5) L’exploration à tâtons et le plaisir à foison
Cette zone de la taille d’une pièce de 2 euros est dense en terminaisons nerveuses et le tissu qui la recouvre est particulièrement vascularisé. Ce principe anatomique explique le succès sensoriel du point G. Sous le coup de l’excitation et des assauts répétés d’un index ou autre, cette surface rugueuse qui donne l’impression d’être traversée par quelques stries très fines se gorge de sang et gonfle de plaisir.
Il faut alors caresser le point G de façon appuyée en exécutant un mouvement avec le doigt qui n’est pas sans rappeler celui que l’on ébauche quelques fois pour demander à quelqu’un de s’approcher… Imaginez donc que vous vous adressez au plaisir auquel vous priez de venir par ici.
Le principe de la quête
Certaines femmes ont plus de difficulté que d’autres à mettre le doigt sur l’endroit exact de ce plaisir et le point G cache encore bien des mystères. Son exploration manuelle n’est pas toujours très simple de par sa subtilité tatillonne et utiliser un masseur consacré corps et âme au point G pourra aider à sa localisation.
Tel le chevalier de la Table Ronde à la recherche du Graal ou l’Alchimiste qui aimerait de tout cœur transformer un lingot de plomb en un lingot d’or, c’est la quête du point G en elle-même qui est importante. C’est la volonté de découverte et les jeux érotiques qui l’accompagnent qui comptent réellement et qui enrichiront la complicité érotique de votre couple. L’orgasme que procure la stimulation du Point g n’est ni nécessaire, ni suffisant : il n’est qu’un point d’orgue qui sait venir à point nommé !
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