Dès le premier cours de natation, le professeur m’avait plu. C’est facile de fantasmer sur un prof de natation. Ils sont bien bâtis, musclés, avec une carrure impressionnante… Mais c’était au-delà de ça. Certes, il était gaulé comme un Dieu, mais il y avait une pétillance dans le regard qui m’avait fait chavirer. Au fur et à mesure de l’année scolaire, je m’étais rendue à mon cours de natation du mercredi après-midi avec de plus en plus de papillons dans le ventre.
Chaque fois que je me masturbais, c’était à lui que je pensais. Il prenait une place de plus en plus importante dans mon cœur et dans mon corps… Je n’avais pas vraiment d’expérience en matière de garçons, j’avais eu quelques aventures brèves et sans intérêt. J’avais laissé un ou deux de mes « petits copains » me caresser les seins et même glisser un doigt dans mon sexe, mais je n’avais pas trouvé l’aventure concluante. Peut-être que je ne les désirais pas suffisamment, peut-être que leur expérience aussi pauvre que la mienne n’aidait pas…
Dans les dernières semaines de l’année, le plan avait pris forme petit à petit dans mon esprit. J’avais compté les jours, analysé le calendrier de l’année et pris ma décision à la fin d’un cours. Le prof m’avait demandé de l’attendre et j’étais allée le voir, le cœur battant, me demandant ce qu’il voulait. Il m’avait simplement félicitée pour mes progrès, conseillée de poursuivre la natation et de m’inscrire à des compétitions. J’avais bredouillé des remerciements, puis j’étais partie, folle de joie. En plus de ses compliments, j’avais remarqué à quel point il avait eu du mal à détacher ses yeux de mes seins qui pointaient sous le nylon.
Une fois ma décision prise, j’attendis le dernier cours de natation de l’année avec fébrilité. Pendant tout l’entraînement, mon esprit était ailleurs. Je nageais bien, enivrée par mon plan, et emplie de désir pour mon prof encore plus beau que d’habitude. Quand arriva la fin du cours, je sortis de l’eau, il nous félicita toute pour notre année et nos regards se croisèrent. Je ne sais pas ce qu’il vit dans le mien, mais je le sentis troublé.
Puis chacun s’en alla, sa serviette sur le dos, vers les vestiaires. J’attendais dans un coin, près de l’entrée des cabine de change, et lorsque je vis mon prof rejoindre les vestiaires, je le suivis sans qu’il me voit, le cœur battant. Si quelqu’un me surprenait dans les vestiaires des hommes, c’était la honte de ma vie. Mais c’était désert, le mercredi après-midi étant réservé aux scolaires. Le prof entra dans une grande cabine et au moment où il s’apprêtait à refermer la porte, je la bloquai avec ma main et me faufilai.
Je refermai la porte derrière moi et me tins debout devant lui. Il ne dit rien, il était plus pétrifié que ce à quoi je m’attendais. Je fis un pas en avant et plongeai ma main dans son slip de bain. Son pénis gonfla quasiment instantanément et je posai mes lèvres contre les siennes. Il hésita un court instant avant d’accueillir ma langue dans sa bouche.
Son sexe parfaitement dur s’échappa de son maillot de bain et je retirai ma bouche de la sienne pour le contempler. Son pénis était magnifique, puissant, il faisait trembler tout mon corps de désir. Je m’agenouillai et le pris dans ma bouche. Je n’avais jamais sucé aucun de mes petits amis mais la chose me vint assez naturellement. Je me régalais à goûter ce pénis aux effluves de chlore. Le prof passait ses mains dans mes cheveux, visiblement très satisfait de ma façon de faire.
Puis vint le moment que j’avais attendu plus que tout. Débordante d’un désir encore plus puissant que prévu, je me redressai et fit glisser le haut de mon maillot de bain jusqu’à mon ventre. Mes seins parfaits de jeune femme qu’il avait eu du mal à éviter de regarder étaient maintenant devant lui. Il déglutit et s’approcha de moi. Il les saisit tous les deux dans ses mains et je gémis sans même m’en rendre compte. Il les massait avec une douceur violente en même temps qu’il les mordillait.
Pendant qu’il faisait ainsi monter en moi un plaisir inouï, je continuai de descendre mon maillot de bain jusqu’à mes chevilles. Je me serrai contre lui et sentis son pénis contre mon nombril. Je frottai le duvet humide de mon sexe contre sa cuisse en profitant toujours de ses caresses sur mes seins. J’attrapai son sexe dressé et passai son gland contre mes poils. Il gémit à son tour.
Il me plaqua contre la fine paroi en bois de la cabine tandis que j’écartais les cuisses. Il me souleva juste ce qu’il faut, j’étais légère comme une plume entre ses bras. Puis il entra en moi. Je sentis son sexe me transpercer doucement avec une joie indicible. Il me remplissait de lui et j’aurais pu m’évanouir de plaisir. Il remua alors son bassin musclé, allant et venant dans mon sexe. Je serrai ses fesses dans mes mains, elles étaient fermes et je les sentais remuer au rythme de ses à-coups. J’étais heureuse, écrasée entre son torse et le mur de bois, dans les odeurs de chlore et les échos propres aux piscines, sentant son désir pour moi, son plaisir avec moi. J’étais heureuse de perdre ma virginité avec lui.
Il donna un dernier assaut vertigineux avant que son corps ne se fige et se contracte. Il était en train de jouir. Il se répandait en moi, et sur son visage, un éclair de douceur et de bonheur m’emplit d’amour pour lui. Il m’embrassa longuement, langoureusement, sa langue douce et tiède sur mon palais. Puis, tandis que j’enfilais mon maillot de bain, son sexe durcit à nouveau. Il murmura que j’étais si belle, si désirable, qu’il ne pouvait pas résister… J’hésitais un instant. Est-ce que ma mère n’allait pas s’inquiéter de mon retard ?
Finalement, je retirai à nouveau mon maillot. Après tout, c’était mon anniversaire aujourd’hui. Et je ne voyais pas de plus belle façon de fêter mes dix-huit ans !