Il se releva rapidement : « Tout va bien Maman. Je vais retourner chez Brandon dans un petit moment. Il n’était pas chez lui. »
Fort heureusement, elle s’éloigna.
Steve baissa son pantalon et libéra son sexe bien dur, encore plus gonflé que d’habitude. Il se caressa. Les images des seins de Mme Davis, de sa toison, de son large cul dansaient devant ses yeux. L’explosion survint lorsqu’il repensant à l’image sur laquelle elle suçait une bite. De la même façon qu’il avait haleté sous le porche une demi-heure plus tôt, il fut pris d’une quinte de toux.
Il rangea un peu et retourna voir Brandon. Il s’employait à se calmer sachant qu’il allait sans doute recroiser Mme Davis. En personne. Dans la vraie vie. Habillée.
Il prit une grande inspiration et toqua à la porte.
La poignée fit un tour et la porte s’ouvrit.
« Mec, désolé j’ai été retenu à l’entraînement. Maman a dit qu’elle t’avait prévenu. » dit Brandon en attrapant son sac à dos sur le canapé.
« Oui elle m’a dit. »
Soudain, Mme Davis apparut dans son champ de vision : « Steve, où est ce que tu es parti tout à l’heure ? Je t’ai vu partir en voiture. Tu ne m’as pas vue ? »
Steve eu du mal à trouver une réponse. Elle était là devant lui. Dans la vraie vie. Il savait à quoi elle ressemblait toute nue. Elle était comme son actrice porno personnelle. Impossible pour lui d’avouer la véritable raison de son départ inopiné. Il opta pour une excuse facile pour son esprit excité : « J’avais oublié quelque chose chez moi, je suis allé le chercher. »
« OK, lui dit-elle en haussant les épaules, mais tu sais que… »
« Sais quoi ? Qu’est-ce que je devrais savoir ? » demanda Steve.
« Qu’il n’y avait aucun problème ici. J’espère que je ne t’ai pas embêté ou inquiété. »
« Non, dit-il accompagnant ses paroles d’un geste, je sais que tout allait bien. »
« Tu avais l’air inquiet pourtant. »
Brandon s’immisça dans la conversation regardant tour à tour son ami et sa mère :
« Inquiet à propos de quoi ? »
« Rien du tout. Juste des trucs de boulot qu’il a mal compris. »
« Du boulot ? » dit Brandon.
Steve envisagea de répondre un truc puis finalement opta pour un sourire silencieux. Il valait mieux être innocent, et le mirage de l’innocence éviterait des questions supplémentaires. Steve se força à détourner le regard de la mère de Brandon et son esprit continuait à se a représenter telle qu’il l’avait vue sur l’écran. Il était toujours fasciné et salivait de la savoir si près.
Brandon passa sa main devant le visage de Steve, qui sortit de sa rêverie.
« A quoi tu penses mec ? »
« A rien, rien du tout. Pas mal à l’école. »
« Amusez-vous bien les garçons, dit Mme Davis. Soyez rentrés à 22h, vous avez école demain. » Elle leur adressa un petit signe et quitta la pièce.
Steve jeta un dernier coup d’œil rapide à son large postérieur. Puis il seocua la tête pour se libérer l’esprit.
Ce soir-là, Brandon et lui jouèrent au basket dans le gymnase avec d’autres garçons pendant quelques heures avant de s’arrêter dans un fast-food pour récupérer. Sur le chemin du retour, Brandon fit des commentaires sur le mauvais niveau de jeu de Steve ce soir-là.
« C’est juste que parfois… le talent est en congés…» Une autre pensée traversa son esprit : la mère de Brandon aussi était en congés aujourd’hui. Il se força à chasser cette pensée persistante de son esprit. Il essaya de se rafraîchir l’esprit et de se reprendre.
« Je ferais mieux la prochaine fois. Mais tu dois toi aussi améliorer ton jeu toi aussi. Tu n’étais pas tellement meilleur que moi. Tu étais toujours mal placé. Lorsque je reviendrai en forme, tu as intérêt d’être prêt. Et je vais revenir. »
Il agita son doigt.
Brandon balaya les plaisanteries de Steve : « Amène-toi, frère. Je suis prêt maintenant. »
Steve ne répondit pas. Il n’était pas prêt.
« Tu as toujours l’esprit occupé, mec ! » Brandon regardait Steve.
« Non non, je t’assure. »
« Je te connais. Ton jeu était pourri. Il se passe quelque chose. »
Steve se concentrait sur la route devant lui.
« Est-ce que c’est Whitney ? Elle t’a ignoré ? Je t’avais dit de la larguer si elle agissait comme ça.
Cette suggestion lui semblait une bonne opportunité pour le détourner de la mère de Brandon : « Je ne suis toujours pas sûr d’elle. »
« Stéphanie te fait toujours bander ? » Brandon rit et donna une tape sur l’épaule de Steve.
« En effet. J’ai du mal à détacher mes yeux de son corps. »
« Tu devrais faire gaffe à ce que Whitney ne s’en rende pas compte. Elle serait dure avec toi. Et pas la dureté que tu attends… »
Steve se força à rire. Il savait que Brandon ne comprenait rien à ce qui se passait vraiment. Il se contenta de rire et de lui dire : « Les filles nous rendent maboules. »
Arrivés devant sa maison, Brandon sortit de la voiture puis il se pencha vers Steve avant de fermer la porte : « J’ai oublié de te dire. Rentre un peu. Ton ordi portable est réparé. »
« Tu ne veux pas me l’apporter ? Il faut que je rentre chez moi. »
« Ça ne prendra qu’une seconde. Je veux te monter ce que j’ai réparé et les mises à jour. »
Steve était incapable de décider s’il avait envie ou non de voir Mme Davis. S’il ne la voyait pas, il serait plus à même de contrôler ses pensées et se concentrer sur l’ordinateur. Autrement, il aurait du mal à accorder toute son attention à Brandon.
« C’est vrai, peut-être que je devrais entrer. Mais je ne veux pas déranger ta mère, si jamais elle dort. »
« Aucun risque. Elle ne dort pas. Elle doit être sur le canapé en train de regarder la télé. »
« La télé… » Le souvenir de la matinée s’échappait de sa bouche.
« Comment ? »
« Je pensais au programme télé, je me demandais ce qui passe en ce moment. »
Steve sortit de la voiture et ferma la porte.
« Je ne sais pas du tout. Je n’ai pas le temps de regarder la télé. »
« Ouais, moi pareil. »
Brandon les fit entrer et Steve entendit sa mère.
« Merci d’être rentrés à l’heure, leur dit Mme Davis. Cela sonnait doux aux oreilles de Steve. Vous vous êtes bien amusés ? »
« Steve a été super nul ce soir ! Il était embarrassant. »
“Est-ce que Steve est là ? » demanda Mme Davis.
« Ouais » répondit Brandon en disparaissant dans sa chambre.
Steve apparut dans son champ de vision.
« Oh Steve. »
Steve vit que Mme Davis était assise sur le canapé. Elle plaça un cousin devant elle. Elle le câlina. Cachait quelque chose.
« Le match était si nul que ça ? » demanda-t-elle.
Steve se força à sourire : « C’était juste ce soir. Et votre fils n’a pas été meilleur. »
Debout, tout seul, mal à l’aise devant Mme Davis, se balançant sur ses pieds alors que Brandon était parti chercher son ordinateur portable, Steve lui demanda : « Vous avez passé une bonne journée ? »
« Oui, mais… » Elle se déplaça vers le bord du canapé.
L’esprit de Steve se prit à rêver que Mme Davis retirait le coussin et lui révélait les larges aréoles qui pointaient à travers son fin t-shirt blanc. « Est-ce que tu aimes mes seins ? Tu les as vus aujourd’hui. Ça ne me dérange pas. Mais puisque tu les as vus sur la télé, tu as peut-être envie de les voir en vrai. Tu veux les toucher ? »
Sa voix véritable le ramena sur terre.
« … Je tiens à te rassurer. Tout va bien. Il n’y avait pas de problèmes ce matin. Je n’aurais pas dû avoir un comportement si dramatique. Il y avait juste des choses que tu ne devais pas voir, que je ne voulais pas que tu voies. Je suis un peu sensible quand il s’agit de travail. C’est l’un de mes défauts. »
Les mots jaillirent de sa bouche.
« Bien sûr, aucun problème. Ça ne m’a pas inquiété. Enfin, juste sur le moment. Je ne m’attendais pas à vous voir si contrariée. »
« J’ai la situation bien en main », dit-elle calmement.
Sans prendre le temps de réfléchir, il lui demanda : « Qu’est-ce qui vous contrariait à ce point ? »
Elle baissa les yeux et s’enfonça un peu plus dans le canapé : « Juste quelques chiffres et des photos sur lesquelles nous sommes en train de travailler. »
Steve aquiesça, esquivant son regard. C’était peut-être aller trop loin, il était peut-être évident qu’il en savait trop. Elle était crispée du front jusqu’aux orteils et elle resserra son étreinte contre le gros coussin qu’elle avait entre les bras.
« Les entreprises d’ingénierie produisent beaucoup de designs intéressants ? » demanda-t-il.
« Oui oui en effet. Enfin, nous le faisons. La plupart des gens ne s’intéressent pas à… »
Brandon l’interrompit en entrant dans la pièce l’ordinateur portable à la main : « Alors, voyons voir. »
« Voyons voir qui ? » demanda Steve
« Quoi ? » demanda Brandon.
« Rien, rien. Laisse tomber. »
Les deux garçons se dirigèrent vers la cuisine pour parler de mises à jour et de réparations. Plus tard, alors qu’il s’apprêtait à sortir de la maison, Steve vit que Mme Davis était lovée sur le canapé. Les pieds repliés sous elle. Les cuisses nues. Un t-shirt extra long en guise de t-shirt de nuit. Quelques centimètres de plus et on aurait pu apercevoir sa culotte. Elle ajusta rapidement le coussin pour se couvrir.
« Merci pour les réparations sur l’ordi, » dit Steve. Il quitta la maison sans un mot pour la mère de Brandon.
Dans sa chambre, il eut l’infime espoir de trouver un dossier caché sur son ordinateur qui abriterait les photos et videos de Mme Davis faisant « des choses ». Il y avait une chance sur un million mais dans son esprit d’adolescent, cette chance infinitésimale en restait une tant qu’on n’avait pas prouvé le contraire. Ce qui fût bientôt le cas.
Steve s’appuya sur le dossier de sa chaise de bureau et jura. Ne lui restaient de cette femme que des rêves et trois images incandescentes.
Pourquoi est-ce qu’elle était nue comme ça ? se demandait-il. Pourquoi ses seins étaient-ils affichés sur l’écran de la télé en gros plan ?
Est-ce qu’elle avait passé l’après-midi devant sa télé, à rêver de sexe, d’un homme super excité qui viendrait la supplier ? Ou bien étaient-ils plusieurs ? Ils étaient sans doute trois : Mme Davis – la star, l’homme dont elle prenait la bite dans la bouche et le photographe. Lui avait-on demandé de se mettre nue ?
Mme Davis, une mère. Est-ce que les autres mères avaient aussi des photos d’elles toutes nues ?
Ou bien est-ce qu’elle les avait réalisées pour quelqu’un qui lui en aurait fait la demande ? Est-ce qu’elle avait envie d’être prise en photo ou est-ce qu’on l’y avait contrainte ? Est-ce qu’elle avait aimé ça ? Est-ce que c’était une séance photo amateur entre ces trois personnes ?
La photo sur laquelle elle faisait une fellation l’intriguait. Il se demandait si elle aimait ça, sucer des bites. Si elle était douée. Combien elle en avait réalisé ?
* La suite la semaine prochaine.
** La première partie par ici.
*** Cette nouvelle a été écrite par Claire Woodruff et traduite de l’anglais. Pour lire le texte original, c’est par là.