Mme Davis avait posé son bras sur le dossier du canapé, les jambes croisées, assise en amazone. Ses cuisses épaisses étaient légèrement dénudées, et sa poitrine pointait vers lui. Situation de flirt évidente. Elle était enfoncée dans le canapé, câlinant un oreiller.
Steve marmonna son prénom, comme pour la gronder légèrement. « Je ne peux pas y croire. »
L’homme était lui aussi installé entre les coussins. Il s’étalait largement dans un coin du canapé, comme s’il la défiait de venir vers lui.
Ils semblaient mener une conversation fluide. Ces deux-là avaient une connexion, qu’il s’agisse d’une attirance physique ou simplement de l’absence de pause dans une conversation intrigante et approfondie sur un sujet qu’ils appréciaient tous deux.
Une autre paire de phares projeta de la lumière dans la cour et sur la façade de la maison. Il s’arrêta, immobile. Il se sentait comme un évadé de prison pris sous les feux des miradors. Après ce qui lui sembla être une éternité tant il était inquiet Steve, les lumières des phares poursuivirent leur route ailleurs. Il ne s’était rien passé. Mme Davis ou son cavalier ne l’avaient pas remarqué.
Après quelques minutes nécessaires pour regagner en assurance, Steve se leva pour jeter un coup d’œil.
Ses yeux faillirent exploser. Il haleta.
Mme Davis était déjà penchée en avant. L’homme également. Ils s’embrassaient !
Leurs baisers étaient doux et prudents, mais ils devinrent plus intenses.
Si Brandon le savait, il en mourrait !
Pour Steve, ce soir-là, elle n’était plus Mme Davis. Elle était Dawn ! Pas une « Dirty Dawn », mais elle s’apprêtait à s’envoyer en l’air avec son cavalier.
La main de l’homme avait glissé le long de sa cuisse dénudée pour se poser sur ses fesses rebondies. Sa main parcourut d’abord ses cheveux noirs, puis descendit vers le creux de sa poitrine. Puis leurs têtes se mirent à tourner dans un sens puis dans l’autre dans le feu de leur baiser profond. Sa main se dirigea vers sa taille et la tira plus près. Elle réajusta sa jambe sur la sienne. Ses jambes étaient écartées, mais seulement légèrement.
Dawn interrompit le baiser.
Réalisait-elle qu’elle était allée trop loin à s’être ainsi laissée courtiser par cet homme ?
Mais elle toucha sa lèvre inférieure avec son doigt de manière sensuelle. Elle se pencha à nouveau vers lui, avec plus de force cette fois. Sa robe se releva jusqu’à ce qu’il soit évident qu’elle portait une toute petite culotte, car on pas encore l’apercevoir.
« Merde, Dawn ! » marmonna Steve dans un murmure. « Tu as vraiment un côté sauvage. »
Les deux s’embrassèrent sur le canapé pendant un long moment. Aucun vêtement ne fût détaché. Elle repoussa ses mains avides loin de ses seins à plusieurs reprises. La fois d’après, lorsque ses mains s’approchèrent de sa poitrine, elle les redirigea vers ses fesses. Il les attrapa fermement. Elle arqua son dos, peut-être sous le coup de la douleur, et interrompit leur baiser à nouveau.
Dawn s’essuya les lèvres d’un revers de main. Elle respirait visiblement très fort.
Elle se leva, tirant sur sa robe pour couvrir ses jambes. Elle essayait de reprendre le contrôle de la situation, et d’elle-même.
Le prétendant se leva lui aussi, après avoir été laissé seul sur le grand canapé. Il semblait s’excuser, en posant ses deux mains sur ses épaules, alors qu’elle lui tournait le dos.
Peut-être qu’ils s’appréciaient trop pour aller trop loin. Peut-être qu’il travaillait dans la même entreprise – un subordonné – ou un membre du conseil d’administration de sa société. Il avait l’air un peu jeune pour être un riche membre d’un conseil d’administration dirigeant une société d’ingénierie en pleine croissance vers le succès. Cependant, tout était possible de nos jours. Il était même possible pour Dawn d’aller jusqu’au bout ce soir. Cette pensée fit déferler une vague d’excitation dans ses veines.
Dawn et son cavalier quittèrent le champ de vision de Steve. Ils s’étaient dirigés vers la cuisine. Steve connaissait bien la disposition de la maison.
Il envisagea les différentes options qui s’offraient à lui par rapport à l’agencement des fenêtres. Le porche arrière !
La maison était construite sur une colline. L’arrière-cour était plus basse que l’avant. Le porche était au même niveau que le rez-de-chaussée, il était donc suffisamment haut pour qu’il y ait une porte en dessous menant à la salle de jeu au sous-sol.
Il risquait de se retrouver dans une position plus délicate s’il allait dans l’arrière-cour. À cause des projecteurs. Ils s’allumaient au moindre mouvement. S’y faufilant un jour tard dans la nuit, Brandon et lui avaient déjà été surpris par la mère de ce dernier. Cela ne s’était pas très bien terminé pour eux.
Il pourrait s’installer sous le porche. Mais ils pourraient décider de sortir de la maison pour se rafraîchir. Il rit à l’idée de se faufiler par la porte de la salle de jeu au sous-sol. Il connaissait le mot de passe pour la déverrouiller. Si on le trouvait dans la salle de jeu, il aurait une meilleure excuse pour être là que de rôder dans le noir. « Bonjour, Mme Davis, j’attendais Brandon et Mark. Ils ne viennent pas ? Je suis vraiment, vraiment désolé. J’ai dû mal comprendre. Je peux me joindre à vous sur le canapé ? »
Il y avait tellement d’endroits dans la maison où Dawn pouvait emmener son rencard. Mais il y avait assurément plein d’endroits où elle ne voudrait pas aller.
Steve choisit de se diriger vers l’arrière en dépit des projecteurs. En fait, Steve pensait qu’il pourrait même les utiliser à son avantage.
Il courut devant la maison et traversa l’allée en courant. Il glissa sur la pente raide de l’arrière-cour.
Il déclencha les projecteurs et se précipita dans le bosquet d’arbres au bord de la cour.
La lumière éclairait l’herbe verte bien entretenue, le barbecue au centre et le large porche.
« Qu’est-ce que je fais ? » maugréa-t-il en se tenant droit derrière un grand chêne. Il regrettait son choix. « Je suis tellement stupide. Tellement stupide. Il faut que je sorte d’ici. »
Mais Dawn avait conduit son cavalier sous le porche.
« Les cerfs et autres animaux déclenchent systématiquement ces lumières », disait-elle.
« Tu as fait du bon travail ici. Je suis impressionné », lui dit-il. « J’apprécie toujours un beau jardin. C’est l’endroit idéal pour se reposer. »
« On ne sait jamais ce qu’il y a dehors », répondit Dawn. « Quelqu’un pourrait nous observer en ce moment même. »
Ils rirent.
« Vous vous servez souvent du barbecue ? » lui demanda-t-il.
« Moi, pas souvent. J’ai été trop occupé avec ce nouveau contrat d’affaires. Je n’arrive pas à me détendre suffisamment. Mon fils et ses amis l’utilisent, donc ce n’est pas seulement un ornement de pelouse. »
Il y eut une pause dans leur conversation. Ils regardaient par-delà les lumières, dans l’obscurité des arbres. Steve priait pour qu’ils ne remarquent pas le voyeur.
Le prétendant lui tourna le dos et s’appuya contre la balustrade. Il admirait la maison. À travers les grandes fenêtres, il vit la cuisine, la salle à manger et le salon bien éclairés, où se trouvait le canapé qu’il connaissait bien désormais. À l’avenir, chaque fois que Steve s’assiérait sur ce canapé, il se souviendrait de ce qui s’était passé lors du rendez-vous galant de Mme Davis.
« Tu as vraiment une maison incroyable. Mais aussi incroyable que toi », lui dit son chevalier servant.
Steve s’étouffa devant la stupidité de la déclaration de cet homme.
« Aw, tu es gentil », dit Dawn et lui donnant une petite tape sur le bras.
L’homme se tourna vers elle. Il lui toucha l’épaule. « Tu m’as montré une grande partie de la maison. Je veux en voir plus. Tu me montres ? »
« Quelle pièce est-ce que tu veux voir ? »
Steve fut stupéfait par la réponse de Dawn. Et prononcée en plus sur un ton délibérément séduisant.
« Il y a d’autres œuvres d’art que tu veux me montrer ? »
Pas si mal, pensa Steve.
Elle était elle-même l’œuvre d’art que son rendez-vous avait envie de découvrir. Il ne se souciait pas d’une quelconque peinture, de ce sa signification, ou du style et de l’époque à laquelle elle avait été peinte.
Steve pensa à la maison et ses œuvres d’art. Le tableau du salon était son préféré. Il y avait un autre tableau dans la salle à manger un peu formelle. C’était une de ces peintures abstraites qui n’ont aucun sens pour le commun des mortels et devant lesquelles les créatifs feignent d’en comprendre le sens et la beauté. Dawn avait un autre tableau. Il se trouvait dans le grand couloir qui menait à son bureau, le même couloir qu’elle avait emprunté pour demander à Steve de lâcher la télécommande avant d’allumer la télévision. Une porte plus loin se trouvait sa chambre. Si elle l’emmenait voir ce tableau…
« Bien sûr, j’en ai d’autres à te montrer », lui répondit Dawn.
« Oh, merde ! Dawn, tu révèles ton côté sauvage », chuchota Steve dans son étonnement.
Si Brandon savait !
Quittant le porche, Dawn se dirigea vers l’œuvre d’art abstraite. Bien qu’incapable d’entendre ce qui se disait, Steve pouvait voir que son cavalier essayait de l’entraîner ailleurs en lui indiquant le couloir. Elle le poussa dans l’autre sens. Mais il n’avait pas l’intention d’y aller et Dawn céda rapidement.
Steve avait besoin d’une autre cachette. Il ne pouvait pas voir par la fenêtre de son bureau. Il aurait dû grimper à un arbre mais il ne pouvait pas le faire. La seule option restante était d’aller près de la fenêtre de la chambre de Dawn. Située à l’angle avant de la maison, il y avait deux fenêtres à travers lesquelles regarder, si l’homme arrivait à convaincre Dawn d’entrer dans sa chambre. Ce serait de la folie.
Quel autre choix avait-il ? Il pouvait potentiellement passer à côté de beaucoup d’action. Son repérage aurait peut-être dû s’arrêter à ce moment-là.
Steve se faufila entre les arbres pour éviter de déclencher les lumières et remonta la pente du jardin jusqu’au rez-de-chaussée.
Devant la première fenêtre de la chambre, Steve trouva les stores baissés. Ce n’était pas inhabituel. Elle n’était pas du genre à laisser à ses voisins une vue plongeante sur son intimité. Bien que l’ami de son fils ait pourtant pu en avoir un bel aperçu, pensa Steve. Il fut surpris par la deuxième fenêtre. Elle ne donnait pas sur la rue mais seulement sur les arbres. Les rideaux étaient tirés, mais ils étaient relativement transparents. Il serait capable de distinguer les formes et des mouvements mais ne pourrait voir que peu de détails.
Il se blottit au pied de la fenêtre. Pendant trois minutes, Steve resta là, coincé dans les limbes. Devait-il trouver un autre endroit où se terrer ? Dawn conduirait-elle son rendez-vous dans sa chambre ? Cela signifierait que le rendez-vous se passait très bien.
Aucune forme ne se manifesta dans la chambre. Après sept minutes d’attente, Steve choisit de revenir vers la fenêtre de devant.
Il se déplaçait à 4 pattes – sur le paillis et les pierres de la façade jusqu’à ce qu’il soit à nouveau installé près de la fenêtre. Il osa jeter un coup d’œil.
Dawn les avait menés du couloir jusqu’au canapé. Steve était soulagé de les avoir retrouvés, même s’ils n’étaient pas dans la chambre.
Ils bavardaient à nouveau. Ayant entendu l’homme sous le porche et sa tentative pour emmener Dawn vers le couloir, Steve savait que le type attendait plus que quelques baisers.
Steve se demandait si Dawn avait l’intention de le tenir à distance. Il y avait à présent un peu plus d’espace entre elle et son prétendant. Il était difficile de déterminer l’alchimie entre eux après que Dawn avait interrompu leur séance de pelotage.
Pendant ce temps, Steve se tenait là, incitant le rencard de Dawn à bouger à nouveau.
« Allez, mec. Tu n’as pas beaucoup de temps. Ne gâche pas toute cette nuit. »
L’homme fit rire Dawn.
C’était bon signe.
Dawn posa son coude sur le dossier du canapé et tint sa tête avec sa main. Elle s’était détendue, mise à l’aise.
Il lui parla à nouveau, poussant plus loin la conversation. Puis il y eut une pause entre eux. Steve retint son souffle par anticipation.
Le prétendant lui toucha l’épaule, puis se pencha en avant. Sa main alla jusqu’à son genou, et il embrassa sa joue à nouveau.
Dawn le laissa déposer un court baiser sur sa joue.
Le cœur de Steve se réjouit avec une série de battements accélérés. Continue !
Il embrassa l’autre joue.
Dawn semblait ne pas réagir. Peut-être essayait-elle de lui résister, de se contrôler, de cadrer les choses tout en prenant le plus de plaisir possible.
Il déplaça sa main plus haut sur sa cuisse. Ses doigts touchèrent l’ourlet de sa robe. Dawn ne bougea pas. Elle ne le rejetait pas mais ne réagissait pas non plus.
Il changea de place sur le canapé et attrapa sa main gauche. Il la massa. Le corps de Dawn se détendait. Le mur défensif qu’elle avait érigé était en train de s’écrouler. Cet homme devait se dire qu’il maîtrisait les secrets du massage.
Steve nota le goût de Dawn pour le massage des mains.
Dawn fit passer ses cheveux sur son épaule, dévoilant ainsi largement son cou à son cavalier. Il tira sa main vers lui et se pencha pour l’embrasser.
Il posa ses lèvres sur son cou. Un baiser de vampire. Dawn posa ses mains sur sa tête pour le retenir. Une fois de plus, le désir avait eu raison d’elle.
Ses mains guidèrent celles de l’homme vers le bas de son dos. Puis ces mains se glissèrent sous sa robe. Il n’attendit pas cette fois. La patience était une vertu qu’il avait laissée sous le porche.
Sa main souleva le tissu fragile de sorte que ses cuisses et sa taille en furent dénudées. Steve aperçut la bande d’une culotte de couleur sombre.
Il suppliait l’homme de la déshabiller entièrement. C’était une chose de voir des images numériques d’elle. Dans la vraie vie – même à travers une fenêtre – les choses prenaient une autre ampleur.
Dawn le poussa soudainement vers l’avant, de sorte qu’il s’aplatit sur le canapé. Pendant un instant, Steve se demanda si elle était en colère. Elle ne l’était pas. Elle releva sa jupe pour qu’elle ressemble à un tutu autour de sa taille. Puis elle monta sur lui et plongea avec passion.
Sa culotte était minuscule, surtout comparée à la taille généreuse de ses fesses.
La bouche de Steve se trouvait soudain desséchée et le pouls de ses tempes s’accélérait régulièrement en voyant tout cela. La mère de Brandon embrassait un type que Brandon n’avait rencontré qu’une seule fois. Elle prenait les devants. Elle était sur lui et semblait déchaînée.
Elle lui ôta sa chemise. Il lui donna la réplique. Sa robe passa par-dessus sa tête. Les deux habits avaient été jetés et gisaient oubliés sur le sol.
Le prétendant se releva et mit Dawn sur le dos. Les jambes de la femme s’écartèrent pour lui permettre de se rapprocher d’elle. Ils s’embrassèrent plus fougueusement.
Les lèvres de son chevalier servant descendirent à nouveau le long de son cou, déposèrent deux baisers rapides sur ses clavicules, puis prirent la direction de ses seins. Ils enlevèrent le soutien-gorge de Dawn, le jetant sur le côté. Puis il englouti ses seins. Dawn appréciait manifestement. Ses mains ébouriffèrent de nouveau ses cheveux en désordre. Ses jambes se s’enroulèrent autour de lui, ses chevilles se verrouillant, puis se déverrouillant pour se frotter à son torse.
Malheureusement, Steve ne pouvait pas entendre les sons typiques d’une partie de jambes en l’air émis par le couple. Il voulait entendre Dawn crier ou gémir, entendre son corps se heurter au sien, l’écouter lui ordonner de le baiser et de le sucer, l’entendre jouir en poussant un cri sauvage. Cette fenêtre bloquait tellement de choses. C’était comme une vidéo porno en sourdine.
Mais Dawn s’était arrêtée. Elle avait repoussé son amant. Steve se demandait si elle allait se mettre à genoux. Il savait qu’elle suçait des bites. Dans la seule photo d’elle qu’il avait vue, elle avait une grosse bite dans sa bouche.
Cela ne se passa pas du tout comme ça. Dawn s’essuya la bouche d’un revers de main. Elle réajusta sa robe, renonçant à ré enfiler son soutien-gorge.
Son amant et elle entamèrent une discussion. Il en voulait plus. Elle sentait de son côté qu’elle était allée aussi loin que possible pour ce rendez-vous. Bientôt, la porte d’entrée s’ouvrit.
« Je suis désolé si je t’ai contrariée », lui dit-il en sortant.
« Ce n’est pas ta faute, c’est la mienne. J’ai laissé les choses s’emballer », répondit-elle.
« On pourra se revoir ? » demanda-t-il.
« Oui. » Le mot était sorti maladroitement de sa bouche, comme si elle n’était pas sûre d’avoir envie de le revoir.
« J’espère qu’on aura l’occasion de se revoir. J’ai apprécié cette soirée, surtout notre conversation. » Il lui sourit. Il avait tiré des conclusions du ton qu’elle avait employé. Il évita bien entendu de lui dire à quel point il avait apprécié ce qui s’était déroulé après leur conversation.
Il partit, dépité, et démarra rapidement. Dawn était à présent toute seule dans la maison.
Steve la vit ramasser son soutien-gorge, puis quitter le salon. Peut-être qu’elle était…
Steve se précipita vers la fenêtre de sa chambre. À travers le rideau transparent, il distingua la forme de Dawn entrer par la porte. Elle enleva sa robe.
Dawn s’allongea sur le lit. Elle ne perdit pas un instant. Elle se saisit de quelque chose. Steve crut deviner ce que c’était. Quand elle le plaça entre ses jambes, cela devint évident. Elle l’enfonça, tournant la tête et arquant le dos. Elle allait de plus en plus vite, de plus en plus fort et plus profondément. Elle attrapa l’un de ses seins, le massa, puis pinça son mamelon, l’étirant.
Steve sortit sa bite durcie depuis longtemps et se mit à la caresser. Il l’imaginait en train de crier : « Steve, je me suis retenue en t’attendant. Je ne voulais pas de lui. C’est avec toi que j’ai envie de baiser ! »
Steve la regardait se masturber, se baiser à fond. Elle était comme possédée. Quand il entendit un cri sauvage, il sentit une montée en puissance à l’intérieur de lui. Au deuxième cri de Dawn, il envoya du sperme chaud sur le mur de la maison et sur le paillis.
Dans un état de somnolence et de fatigue, il jeta une nouvelle fois un coup d’œil à travers la fenêtre. Dawn était allongée, tenait un long gode, et regardait la plus grande bite qu’elle ait sentie depuis longtemps, voire depuis toujours. Elle était l’incarnation parfaite d’une femme se prélassant dans son orgasme.
Steve se faufila dans l’obscurité.
Il revit Brandon une semaine plus tard et orienta la conversation vers le sujet du prétendant de sa mère.
« Comment s’est passé le rendez-vous ? » demanda Steve.
« Aucune idée. Comment le saurais-je ? Pourquoi veux-tu savoir ? »
« Comme ça. » Steve imita un haussement d’épaules innocent. « Je veux juste me tenir prêt pour le moment où on sera à nouveau mis à la porte de la maison. »
« Il est possible que ça nous arrive à nouveau la semaine prochaine. »
* Cette nouvelle érotique a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici.