- Lire la première partie de l’histoire : La Lutte des classes – Partie 1
Délicatement, les mains de ces mateurs me caressent, leurs doigts courent sur ma peau et s’insinuent dans des endroits jamais explorés par autre chose que mes doigts curieux. Un index se pose sur mon clito encore recouvert de mon string, il commence une danse enivrante avec mon petit bouton des plaisirs. L’information explose dans mon cerveau, mes yeux se recouvrent de feux d’artifices, j’ai de plus en plus de mal à me concentrer alors, bon gré mal gré, je pose la caméra et me laisse guider.
Ils m’accompagnent jusqu’à la Loveuse stylée XVIIIème siècle et m’encouragent à m’y lover. Là, je suis entourée par deux mecs bedonnants, le troisième s’agenouille devant moi, écarte mes cuisses et doucement glisse mon string de mes hanches. Je lance mon bassin en avant pour lui faciliter le passage de ma croupe qui n’a jamais été aussi souple. Je suis tendue au moment où sa langue entre en contact avec mon sexe déjà tout en sueur. C’est tellement agréable, tellement doux que je perds toute notion du temps. Mon esprit s’égare et s’évapore sous tant d’explosions sensorielles. Je ne sais plus où je suis, je me laisse aller à mon envie… à mes envies.
J’empoigne les deux sexes à portée de mes mains, les masturbe sans trop de rythme, en tout cas sans rythme régulier. Je singe celui du mec en train de laper l’antre de mes plaisirs, je dégouline et lui, il me déguste. Sa langue lape mon essence, s’introduit un peu partout. Je ne sais pas s’il se rend compte que je suis intimidée mais il est doux, presque tendre. Oui je sais vu la situation c’est un paradoxe, mais franchement c’est juste un moment parfait, un moment qui aurait pu faire partie de mes scénarios les plus coquins, les plus pervers …
Les deux bites que je branle s’impatientent, alors timidement je me penche sur celle de droite, pas énorme, presque … trop petite, il me semble. Du bout de la langue je le lèche et descend autant que ma contorsion me le permet, j’arrive à titiller ses bourses puis je remonte vers son gland. Son bidon me sert d’oreiller, c’est confortable, on s’y endormirait presque mais là ce n’est pas le moment !
J’enfonce ce sexe dans ma bouche sans difficulté, je le gobe et pourrais même assez facilement taquiner les bourses du bout de ma langue. Pourtant j’suis loin d’être ce que l’on nomme une « Gorge profonde ».
Suçant une bite, passant à l’autre, je suis toujours suspendue aux assauts de la langue qui s’occupe de mon con. Elle me pénètre, lèche mon vestibule et s’introduit, curieuse, dans mon vagin. Je ne sais plus si je mouille ou si c’est sa bave qui dégouline sur mes fesses, inondant mon anus. Pas le temps de me poser la question, il arrête de me lécher et d’un mouvement il me redresse, me retourne.
En levrette, je m’apprête à me faire profaner l’intimité.
Je me retrouve penchée entre les cuisses des deux hommes que je suçais il y a encore quelques secondes. Rapidement, le vide se comble et je me retrouve au-dessus de leurs bites raidies par l’envie d’être honorées par ma bouche. Je m’exécute bien volontiers.
J’engouffre la première qui passe à portée de mes lèvres, les coups de ventre du gars qui me pilonne me propulse en avant. Cette pine dans ma bouche s’enfonce un peu plus profondément et mon front percute le ventre mou de son propriétaire. Mes seins, bien que fermes, ballottent d’avant en arrière. Mes tétons durcis, dressés et fiers, attirent les mains de ces trois anciens mateurs devenus les acteurs de mon plaisir.
Mes fesses s’empourprent sous les « Clacs » et autre « Bing » distillés par mon bourreau. Sa verge entre rapidement et ressort lentement avant de s’enfoncer à nouveau. Les mains sur mes hanches, il ne me pénètre plus mais me fait coulisser sur son dard tendu.
Je dois dire que c’est assez agréable, alors je mime le mouvement puis l’amplifie légèrement.
Petit à petit, j’impose moi-même la cadence. Il se contente de desserrer sa poigne et de laisser ses mains me frôler pour me faire frissonner et faire pointer toujours plus les tétons. J’ai la chair de poule, mes aréoles se parent de leur petits boutons* montrant là mon état d’excitation.
Mes gémissements l’encouragent, l’excitent, rapidement il souille son préservatif et dans un râle de satisfaction cède sa place au deuxième larron. Probablement plus excité, ce dernier se déchaîne sur moi, ses va-et-vient sont rapides. Il me claque les fesses avant d’introduire un doigt dans mon petit trou qui n’en demandait pas tant. Je n’ai jamais été sodomisée… un « Aïe » noyé dans un gémissement de plaisir, trouve son chemin au milieu de mes dents et du chibre de mon premier baiseur au goût de ma cyprine. Surprise par tant de désinvolture, je m’avance et éjecte dans un bruit humide son sexe de ma chatte trempée. Autant vous dire qu’il me reprend d’assaut aussitôt, son doigt toujours logé dans mon anus, il me pénètre fougueusement. Son doigt fait place à deux puis trois. Trois doigts dans le cul, sérieux ! Moi qui n’ai jamais été sodomisée, je crois que ce soir ça va être LE soir …
Il alterne ses va-et-vient et fouille mon rectum de ses trois doigts déjà bien à l’aise, il me dilate l’anus, me prépare à une sodomie. L’idée m’excite encore plus et quand il sort machinalement, je me cambre et lui présente mon cul, mes jambes s’écartent, lui laissant libre accès à mon anus. Il le pénètre doucement, délicatement. Rien à voir avec mes trois comparses qui baisent allégrement ces trois femmes certainement plus expérimentées que moi. Il s’immisce en moi, et toujours en douceur, commence ses va-et-vient, lentement, doucement, profondément, puis il sort et se renfonce en moi.
Dès qu’il me sent prête, ses mouvements se font plus rapides, son pubis frappe mes fesses. A son maximum, il s’enfonce encore un peu, introduisant un peu plus la bite que je suce toujours, car oui je suce encore et toujours, j’aime sucer. Expérimenté en enculade, il ressort puis entre à nouveau, sans avoir oublié de contempler la dilation provoquée. J’aime ça, j’aime cette sensation. J’avais entendu dire qu’un anus aspirait la bite qui se présentait à lui et je dois dire que la sensation que j’éprouve à cet instant n’est pas loin de cela. J’ai réellement l’impression d’aspirer sa queue. Il me tient fermement par les hanches et termine par des va-et-vient rapides. Mon sphincter anal s’ouvre et se resserre autour de ce bâton de berger. Enfin je sais pas s’il est Berger, j’en doute mais bon … Je gémis et lâche les mêmes mots depuis près d’une demi-heure :
– Oh oui c’est bon oui ! Encore humm oui !
S’ils ne savaient pas que je manquais d’expérience, là, c’est sûr ils le savent. Je suis en boucle sur ces mots et ne trouve rien de mieux à dire. J’ai pas l’habitude de lâcher des mots trop… grossiers, au final les « Prends moi », « J’suis ta chienne », « Ta Salope », j’ai du mal à les dire. Je me sens bête mais je ne sais pas comment dire que j’aime ça. Je sais, je suis novice des vices…
Eux, par contre, ne le sont pas. Je me fais gentiment insulter. Ça ne me gêne pas du tout, au contraire même. Je dois dire que là, c’est plutôt excitant.
Par contre attention, le mec qui m’insulte dans la rue, il a le droit de voir mes progrès en Silat. Mon père m’y a inscrit à mes 8 ans, il a toujours peur qu’il m’arrive quelque chose. S’il savait, le pauvre…
Enfin, pendant que je me fais sodomiser, allez, j’ose, pendant que je me fais enculer, à cet instant j’aime me faire insulter :
– Humm ! Bonne Salope !
– Grosse pute t’aime ça !
– Putain de fion t’es une bonne chienne !
– Suce bouffeuse de couille !
– Garage à bites !
Bref, vous l’aurez compris ça m’excite, ça me plaît. Je sais que certaines d’entre vous vont me prendre pour une conne, et je m’en fous, franchement … je me dis que le sexe c’est quand ça devient crade que c’est bon. Et même si j’ai du mal à sortir ces mots, moi, j’aime bien les entendre. Peut-être suis-je un peu soumise …
Toujours à mon affaire, je suce alternativement les deux bites qui sont là, devant moi. Je les pompe, me délectant du liquide pré-séminal relâché en guise de lubrification, comme si ma salive ne suffisait pas. Et surtout, surtout, je me fais vigoureusement dépuceler le fondement. Gourmande, je tends encore un peu plus ma croupe, ouvrant mes entrailles à la rencontre de cette queue dressée.
Quelques instants plus tard, je le sens et l’entends lui aussi souiller son condom, recevant simultanément en gorge la semence du troisième, le plus timide d’entre eux. Il s’affale dans la Loveuse à côté de son pote déjà quasiment en train de comater. Ma salive mêlée de sperme se répand sur ce membre débandant.
Assez fière de moi, c’est nue, que je retourne à mon film, à temps pour le final.
Steeve est en train de se faire sucer par Paloma et Agnès pendant que Lucile se fait sodomiser par Max et pénétrer par Alex. Je n’avais jamais vu de double pénétration, et honnêtement avant ce soir, je pensais que ce n’était réservé qu’au porno. Bon, ok, c’est un peu ce que je suis en train de filmer là …
Les deux garçons sont en harmonie, quand un s’enfonce l’autre sort et vice versa. Ça doit être super agréable car vu ses gémissements, elle adore ça ! Son visage est en sueur, sa bouche, à la recherche d’un souffle, ne fait que gémir. Son plaisir marque son visage. Elle est en levrette, cambrée comme jamais je ne saurai le faire, la chatte soumise au sexe d’Alex et le cul tendu vers la queue de Max, qui vu sa taille, n’a pas besoin de tant d’ardeur.
Je regarde Steeve qui me fait un petit clin d’œil en m’indiquant de filmer. Il se lève, prend son sexe en main et là, devant lui, telles deux chiennes assoiffées, les deux jeunes femmes à genoux et bouches ouvertes, sont prêtes à recevoir leur pitance. C’est paradoxal, on croirait que Steeve domine la scène, mais en fait, il n’est que l’acteur de leurs envies. En cinq petits jets onctueux, il s’oublie sur le visage de ces deux femmes satisfaites. Puis, il s’écroule à son tour. A croire que toute sa force vient de s’évanouir en quelques jets.
A côté, la double pénétration a pris fin, merde, j’ai loupé ça … je ne peux filmer que les jets oubliés sur la croupe de la belle avachie sur Alex. Tous les sexes sont à présent pendant, les mecs sont sans force, sans âme tandis que les femmes satisfaites, se rhabillent.
C’est entièrement nue que je range le matériel en prenant soin de tout éteindre avant.
Bien sûr, j’ai beau être blonde, je sais qu’une caméra en route dans un sac ne sert à rien …
Sur la route du retour, Steeve me tend une liasse de cinq billets de 200 euros. Oui, là pour le coup, j’ai l’air d’une pute. Mais il me rassure en me disant que c’est simplement ma rémunération pour cette soirée … oui comme une pute quoi !
Ils me déposent devant mon domicile, et c’est satisfaite mais amère que je rentre chez moi. Je suis fatiguée, j’aurai tout le temps d’analyser tout ça demain. Cette nuit, je m’endors en un instant, mes rêves focalisés sur cette expérience …
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*tubercules de Montgomery : ces glandes produisent une sécrétion huileuse et permet de protéger l’aréole contre le dessèchement et les infections préjudiciables à l’allaitement […] elles sont stimulées par l’excitation du téton. Sources Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Glande_ar%C3%A9olaire
Note de l’autrice
Cette histoire est une fiction, volontairement libérée. Toutes les scènes décrites ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles.
Allez plus loin dans l’aventure
Retrouvez Ludivine dans mon e-roman : Aux services du vieux pervers : Chapitre 4.
Article écrit par Kmille
Kmille vous emmène dans son univers sexy et coquin où vous découvrirez des conseils, des avis, des tests et plein d’autres choses…enfin un site où l’on aborde tous les sujets sans tabous.