poupee gonflable luberon

Lubrique Lubéron – Partie 2

 

Pas une seconde Fabrice ne s’était inquiété de ma longue absence. J’étais rentrée trempée de sueur et il m’avait simplement suggéré de prendre une douche après avoir à peine levé les yeux de son journal. Habituellement, j’aurais fulminé, mais mon esprit était ailleurs. Mon corps aussi…

Je ne parvenais pas à les oublier tous les deux, au bord de la piscine. Le mâle magnifique faisant l’amour à sa poupée parfaite. Si je ne l’avais pas touchée moi-même, si je n’avais pas vu de mes propres yeux qu’elle ne respirait pas et qu’aucun signe de vie ne l’habitait, je n’aurais pu croire qu’elle était fausse. Elle était si belle, si pure, si parfaite.

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Sous la douche où je m’étais rendue surtout pour être seule, je fixais le mur carrelé en revoyant en boucle les mouvements de bassin des deux amants quand leurs sexes s’unissaient. Elle avait une peau si douce, un corps si superbe… Sans m’en rendre compte, je commençai à caresser mes bras, imaginant que c’était elle qui glissait sous mes doigts. Je fermai les yeux.

Je fis mousser le savon en douceur sur mes seins qui durcirent aussitôt. Je les saisis fermement en déplaçant mes mains pour les caresser. Je revoyais en même temps les seins de la poupée sous les doigts de son amant, pareillement pressés, avec la même fougue et le même désir. Comme j’aurais eu envie de les attraper à mon tour…

Tandis que ma main gauche continuait ses faveurs sur ma poitrine, je fis descendre lentement ma main droite le long de mon ventre. Il était chaud, comme tout mon corps. Il était lisse et plat, comme celui de la poupée, avec un petit nombril discret. Il m’était facile de me servir de mon corps pour m’imaginer que je caressais le sien.

Puis je parvins à mon pubis. Je ne m’étais jamais masturbée. Ce n’était pas par conviction, dégoût ou je ne sais quoi… Mais simplement parce que je n’en avais ressenti le besoin ou l’envie. Jusqu’à maintenant.

Quand mon majeur atteignit mes lèvres, je fus surprise de sentir à quel point elles étaient ouvertes et gonflées. J’étais bien plus excitée que ce que j’avais imaginé. Je fis tourner doucement mon doigt sur mon clitoris et je serrai les jambes dans un réflexe tant il était sensible. Pour me détendre, je focalisai à nouveau mes pensées sur les images de la belle poupée. Je pris une profonde inspiration et mon esprit revint au bord de cette piscine, à côté des deux amants faisant l’amour. J’étais à côté d’eux mais ils ne faisaient pas attention à ma présence.

Je m’accroupis à côté d’eux et j’observai les muscles de leurs corps se contracter sous la peau au fur et à mesure de leurs va-et-vient. Elle était si réelle… Peut-être parce qu’il la rendait réelle, qu’il lui faisait l’amour avec le même vertige que si elle avait été une véritable femme. Peut-être qu’il compensait et qu’il lui faisait l’amour avec encore plus de passion dans l’espoir que son amour lui insufflât la vie…

Mon majeur avait maintenant pénétré mon sexe. Il montait et descendait lentement. C’était tellement bon et tellement frustrant à la fois. Je voulais être avec eux, j’en voulais plus. J’éteignis le robinet de la douche, et sans prendre la peine de me sécher, je sortis de la salle de bain en me dirigeant vers le salon.

Fabrice était toujours en train de lire son journal. Il leva des yeux étonnés quand il me vit débarquer nue et trempée. Je restai plantée devant lui avec des yeux brulant de désir, attendant qu’ils réagissent comme je l’attendais. Il promena ses yeux sur chaque partie de mon corps, depuis mes jambes fines et musclées jusqu’à mon pubis parfaitement taillé, mon ventre musclé au milieu d’une taille impeccablement fine, mes seins fermes et pointus, et quand ses yeux parvinrent à mon visage, je me jetai sur lui.

Il essaya de m’enlacer, mais je l’en empêchais. Ce n’était pas ce que j’attendais de lui. Je défis rapidement les boutons de son short et de son caleçon et sortis son sexe déjà presque au garde à vous. Je le caressai quelques secondes avant qu’il devienne suffisamment dur. Puis je m’installai sur lui.

Mon sexe trempé de désir glissa sans effort sur son pénis et il émit un cri de plaisir mêlé à la surprise. Je fermai les yeux, je retournai à ma piscine pour contempler mes deux amants. Accroupie sur Fabrice, je montais et descendais pour me sentir pénétrée et participer à leur incroyable osmose sexuelle. Chaque fois que Fabrice essayait de me caresser les seins ou de saisir ma taille, je plaquai ses bras le long de son corps. Au bout d’un moment il cessa ses tentatives, trop heureux de me laisser prendre les commandes. Je ne voulais rien d’autre que son pénis, qu’être pénétrée et sentir mon vagin se remplir au même rythme que celui de ma superbe poupée…

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