L’ophtalmologue, le docteur Mahoney, accueillit la fine Michelle dans son bureau : « Comment allez-vous aujourd’hui ? »
Avec beaucoup d’assurance et ses courtes boucles blondes, elle répondit simplement : « Tout va bien. »
Il lui proposa de s’installer dans le fauteuil d’examen et éteignit la lumière.
« Qu’est-ce qui vous amène ? »
« Juste une visite de contrôle. » Elle souriait dans le noir.
« Très bien, nous allons vérifier » lui dit-il de son ton sympathique de docteur.
Le Dr Mahoney ajusta l’étrange réfracteur devant le joli visage de Michelle. « Avancez-vous de manière à ce que le haut de votre nez touche l’appareil. »
Elle se tourna légèrement sur son siège. Le Dr Mahonay fit rouler son tabouret vers elle. Un souffle de son eau de toilette, fraiche et collant parfaitement à sa personnalité avenante, s’était échappée de lui. Plaisante et attirante.
Le Docteur poursuivait son examen. Il lui défiler différentes lentilles qui lui faisaient voir la pièce de façon floue. Après plusieurs changements, la pièce redevint nette.
« Vous allez lire les lettres qui sont au mir. Commencez-par la ligne du bas » lui dit-il.
Elle plissa les yeux : « Y-U-X-T-B-E. »
« Très bien. » Il ajusta à nouveau les lentilles. « Pouvez-vous lire la dernière ligne à présent ? »
« Oh mon dieu ! » cria Michelle en se reculant de l’appareil et en riant face au beau médecin. « Docteur, je vais lire ce que je vois. Je vous préviens, je ne fais que lire ce que je vois. »
Il acquiesça et elle se replaça contre le réfracteur.
« Je vois un B, un A, un I, un S et un E. »
Le Dr Mahoney gloussa. « Pas tout à fait mais c’est pas mal. »
« Est-ce que vous faites exprès de projeter ce genre de mots au mur pour rendre les patients mal à l’aise ? » Puis en baissant la voix : « Parce que si c’est le cas, j’aimerais continuer à en lire. »
« J’ai bien peur que vous ayez mal lu cette série de lettres, Michelle. »
« A quel point est-ce que je me suis trompée ? »
« Pas de beaucoup.”
Il déplaça le réfracteur et vint s’asseoir en face d’elle.
« Je vais placer cette petite lampe directement dans votre œil. Maintenez bien votre regard par-dessus mon épaule. »
Il se pencha vers elle avec sa petite lampe. Michelle le sentit se rapprocher et sentit à nouveau son parfum. En regardant droit devant elle, elle remarqua ses cheveux noirs fraichement coupés, son oreille bien formée et son lobe qu’elle adorerait mordiller.
« Michelle, j’ai besoin que vous mainteniez votre regard par-dessus mon épaule. »
« Désolée, j’étais aveuglée par la lumière. »
Elle se concentra pour regarder par-dessus son épaule. Le sentant si près d’elle, elle écarta les jambes autant que sa jupe le permettait, feignant l’innocence. L’espace d’un instant électrisant, son genou toucha celui du médecin.
« Excusez-moi » dit le Dr Mahoney.
« Non, c’est moi. » Michelle parlait d’une voix sensuelle. Elle laissa son genou contre celui du docteur. « Je ne voulais pas… »
Le Docteur Mahoney était calme, composé et réfléchissait. C’est alors qu’il lança son approche. Il se rapprocha d’elle et posa sa main sur sa cuisse tiède, juste au-dessus de son genou. Ce faisant, il continuait son examen avec la petite lampe. Pourtant, ce n’était pas dans les yeux qu’elle avait envie d’être examinée en cette fin d’après-midi.
« Qu’est-ce que vous préférez ? Comme ça ? » lui dit-il en lui massant la cuisse. « Ou comme ceci ? » Sa main était montée plus haut, sous le tissu léger de sa jupe et ses doigts avaient atteint sa culotte à l’endroit où la cuisse rencontre la hanche.
Elle gloussa à son contact. Elle était prise au dépourvu. Elle se demandait jusqu’où cette main poursuivrait son exploration. Elle se délectait de chaque centimètre parcouru par cette main puissante.
« Et que pensez-vous de ça ? »
Il avait fait pivoter le tabouret devant elle et avait posé son autre main sur sa cuisse. Elle sentit sa main chaude agripper sa chair. Il passa sa main sous sa jupe et s’aventura plus profondément.
« C’est beaucoup, beaucoup mieux » murmura Michelle.
« J’en étais sûr » dit-il sévèrement, en plaçant sa seconde main sur sa hanche.
Ses doigts passèrent sous les élastiques de sa culotte et se promenèrent sur sa peau avant de se planter fermement dans celle de ses fesses.
Son torse ferme était posé sur ses genoux. Elle baissa les yeux et observa la raie parfaite dans ses cheveux bruns, assombris par la faible luminosité, son large front. Il releva la tête un instant et leurs yeux se rencontrèrent. L’atmosphère redevint électrique. Mais il y mit un terme rapidement.
Il l’attira vers le bord du fauteuil d’examen. Ses fesses étaient presque à l’extérieur et sa culotte était à présent sur ses genoux. Ses mains à lui tenaient fermement la chair laiteuse de ses jambes.
Il la maintenait ainsi prisonnière sur le fauteuil. Avec ses yeux sévères et impénétrables, Presque féroces. Elle ne reconnaissait pas le docteur souriant qui l’avait accueilli dans son bureau et avait commencé à lui examiner les yeux. Elle était à présent face à un animal. Il s’était métamorphosé sous ses yeux sans qu’elle s’en rende compte. Imprévisible jusqu’à ce dévoilement.
Il semblait plus grand, il était silencieux, il était imposant, il devenait inquiétant. Elle avait quant à elle un penchant sadique inexploré. Son cœur se mit à battre plus vite. Elle se sentait instable et son cou était tendu. Ses mains calleuses la serrèrent plus fort. Un rude massage sur ses jambes lui fit mal aux tendons et aux muscles. Ses mains agrippèrent ensuite ses chevilles sans merci. Il serra sa prise alors qu’elle se penchait en arrière. Un petit souffle frais la surprit lorsque sa jupe tomba par terre. Elle réalisa qu’il l’avait progressivement allongée sur le fauteuil d’examen. Ses pieds étaient plus hauts que sa tête. Sa petite culotte rouge était toujours au niveau de ses genoux.
Le Dr Mahoney retira l’un de ses stilettos à hauts talons et semelle rouge. Puis l’autre. Il posa sa paire de Louboutin sur le comptoir par-dessus les clichés de sa rétine.
Il sortit de son champ de vision l’espace d’une seconde avant de réapparaître derrière elle. Elle vit que sa bite était sortie. Avant que son esprit ne puisse enregistrer l’information, il lui avait collé son sexe durci sur le visage. Il dessinait avec le contour de ses pommettes, la passait sur son nez, entre les sourcils puis sur ses sourcils. Puis il la biffla sur une joue. Puis une seconde fois.
Elle n’avait rien à dire. Jamais elle ne s’était retrouvée dans une telle position. Elle était abasourdie. D’une voix graveleuse, il lui dit de manière inattendue : « Sors ta langue. »
Elle s’exécuta, sans réfléchir. Le bout de son sexe toucha celui de sa langue. Elle sourit, appréciant le contact avec la brute qui se trouvait au-dessus d’elle. Il enfonça ensuite sa bite dans sa bouche, brutalement et profondément. Elle commença par s’étouffer et s’agita sur sa chaise. Elle attrapa les deux accoudoirs. Ses jambes se levèrent malgré sa culotte aux genoux. Il attrapa ses deux chevilles d’une main forte, collant ainsi ses jambes et les forçant à se lever.
Elle trouva le rythme de ses va et vient. Chaque entrée faisait s’enfoncer sa joue, la gonflant et la faisant ressortir. Il se retira de sa bouche. Un long filet de salive tenta de les maintenir liés. Le fil se rompit et revint dans le visage de Michelle.
Le docteur se déplaça et elle le regardait dans les yeux. Leurs regards se connectèrent à nouveau alors qu’elle sentait qu’il baissait le fauteuil. Elle restait silencieuse et en attente, totalement sous le contrôle de cet homme. Il fit un pas en avant et posa ses lourdes couilles sur son front, les fit glisser sur ses yeux, sur son nez. Une nouvelle odeur envahit ses narines. Une odeur chaude, noire et puissante. Il posa enfin ses couilles sur sa bouche.
Elle commença à les embrasser, doucement et gentiment. Elle ne savait pas si le docteur trouvait cela agréable.
« Tu ferais mieux de prendre ces couilles dans ta bouche et de les sucer si tu as envie de respirer à nouveau. Je veux qu’elles soient trempées par ta salive. »
Elle ouvrit la bouche en grand. Les couilles y furent introduites. Sa langue lécha ce sac rugueux et dur alors que ses lèvres embrassaient, enroba chaque testicule séparément. Ayant retrouvé un certain équilibre dans cette position étrange, elle lâcha les accoudoirs. Et continua de lui faire plaisir.
Il se tenait debout au-dessus d’elle. Une main tenant toujours fermement ses chevilles.
« Tu es essoufflée ? » la gronda-t-il.
Sa main libre s’introduisit sous sa blouse puis sous son soutien-gorge. Il pressa ses seins doux. Il pinça ses tétons tendus.
La bouche toujours pleine, elle déboutonna sa blouse. Encore quelques boutons et elle tomba sur le sol. Elle attrapa les coques de son soutien-gorge et libéra ses seins. Sa main à lui attrapa son sein gauche sans ménagement. Il tirait le sein avant de le presser, l’écrasant contre son torse. La brutalité lui fit tourner la tête et chercher de l’air. Mais le docteur ne lui permit pas de reprendre son souffle. Il se pencha un peu plus sur son visage, tout en continuant à maltraiter son sein gauche. Il inhala son odeur par les narines. Lui se balançait au-dessus de son visage et pressait ses seins.
Quand elle secoua la tête, il relâcha la pression. Son visage était rouge, en surchauffe et perlé de sueur, marqué par la peur.
Il lâcha ses chevilles. Ses jambes redescendirent et s’ouvrirent – autant que le permettait sa culotte rouge. Il se pencha en avant pour déposer un baiser sur son nombril. Il la regarda dans les yeux – ses yeux à elle pleins de peur. Son regard la transperçait, il semblait la regarder au-delà de son enveloppe physique, là où personne ne l’avait jamais regardée. Elle apprécia le moment. Il reprit le contrôle des opérations immédiatement après.
Elle sentit deux doigts puissants écarter les lèvres de sa chatte avant de s’y introduite. Ces doigts virils aux larges articulations étaient rugueux contre l’endroit le plus doux de son corps, malgré les différentes couches de cyprine. Il enfonça ses doigts profondément plusieurs fois. Puis il les retira et les porta tous les deux dans sa bouche à elle. Elle s’attendait à devoir les sucer mais de façon inattendue, imprévisible comme il était, il essuya le jus sous son nez au-dessus de sa lèvre. Il revint à sa chatte pour attraper plus de mouille et la déposer cette fois ci sur ses paupières. Il y revint une troisième fois et la déposa sur son nez. La 4e fois, il l’appliqua sur son menton. Et la 5e fois, sur ses lèvres comme s’il s’agissait d’un baume.
Il commença à redresser le fauteuil. Sa cyprine séchait sur son visage notamment sur ses paupières ou dans les petits poils de sa lèvre supérieure. Une fois totalement relevé, il la sortit du fauteuil et la poussa sur son tabouret. Ses seins dépassaient du tabouret, ses genoux frottaient contre le tapis rugueux. Ses fesses étaient à découvert.
Le Docteur Mahoney attrapa ses stilettos sur le comptoir. Il claqua les semelles rouges l’un contre l’autre ce qui produisit comme une décharge électrique. « Jolie paire » dit-il puis il posa un genou au sol à côté d’elle avant de plonger son regard dans le sien. « Dès que je t’ai vu dans ses chaussures, j’ai immédiatement su que ça finirait comme ça. »
Recouvrant un peu de force, elle lui dit : « Rien qu’avec mes talons ? »
L’homme féroce dessinait des cercles sur chacune de ses fesses avec le talon d’une de ses chaussures puis enfonça le talon dans la chair de ses fesses. Un sourire mauvais apparut sur son visage : « Oui, juste avec ces talons. » Un instant après, elle sentit comme une brûlure sur la fesse. Elle se répandit dans tout son dos. Il la frappa sur l’autre fesse, deux fois plus fort. Ça brûlait, elle se contorsionna sur le tabouret.
Il la regarda. « Est-ce que tu réalises que le rouge de ces talons en dit long sur l’état mental et les plaisirs désirés par la femme qui les porte ? »
Il fit une pause, mais sa non-réponse lui valut, une autre tape sur le cul. Il la tapa durement sur le bas des fesses. Et la tapa de plus en plus fort jusqu’à ce que cela devienne une punition pour sa non-réponse.
Lorsqu’il s’arrêta, la douleur sur ses fesses nues de brûlante devint froide : « Non, je l’ignorais. » murmura-t-elle.
Il poursuivit : « Ses chaussures sont typiques des femmes qui aiment se faire maltraiter au lit. Tu as la peau laiteuse idéale pour que ton cul devienne aussi rouge que la semelle de tes chaussures. Et je sais que c’est ce que tu veux. » Il la frappa sur les fesses à nouveau. « Ton cul réagit bien et devient bien rouge. » Il lui donna encore deux fessées avec ses stilettos.
Ces dernières minutes, ses fesses d’un blanc perlé étaient devenues roses puis rouges.
Le Dr Mahoney s’interrompit lorsqu’il entendit un coup frappé sur la porte. Michelle haleta, consciente de la position dans laquelle elle se trouvait, les fesses à l’air et échevelée.
« Je suis en consultation » dit le docteur, ayant récupéré sa voix calme et profonde.
« Je sais Monsieur. Je voulais juste vous prévenir que votre prochain rendez-vous venait d’annuler. »
« Merci Mindy » dit-il calmement.
Il se tourna vers Michelle, toujours penchée sur le tabouret. Sa voix avait peut-être changé mais sa bestialité était toujours la même. Il caressa son sexe, le faisant durcir et grandir un peu plus.
« Pas de rendez-vous à 16 h alors ? » demanda Michelle.
« Si, j’ai rendez-vous à 16 h » dit-il en accélérant la cadence de sa masturbation.
« Il vient d’être annulé. »
« Non. » Il marcha jusqu’à elle. « C’est toi mon rendez-vous de 16 h. Allez, ouvre la bouche en grand. »
Elle repoussa le tabouret. A genoux, elle accueillit sa bite pleinement gonflée dans sa bouche humide.
Il avait un goût piquant, une saveur qui se répandait sur sa langue. Elle aimait la sensation de son sexe dans sa bouche, bougeant sa langue pour faire se tordre son corps et se serrer sa mâchoire. Elle savait qu’elle avait encore du pouvoir, malgré un corps et un esprit usés. Ses talents allaient fonctionner.
Bientôt, il attrapait ses cheveux pour éloigner sa bouche vorace. Il était sur le point de tout lâcher dans une explosion finale. Elle souhaitait cette explosion elle aussi. Mais pas maintenant. Elle voulait qu’elle advienne selon son propre timing. Elle voulait être la maîtresse du temps, celle qui avait le pouvoir.
Il tira sur ses cheveux pour éloigner sa bouche à nouveau. Sa langue tendue essayait d’atteindre le gland rougi du médecin. Incapable d’y arriver, elle lui dit « Est-ce que tu sais ce dont a besoin une bite rouge et chaude ? Elle a besoin d’une bonne chatte. »
« Tu penses que ta chatte est bonne à ce point ? »
« Il est 16 h. Je te laisse le découvrir. »
L’horloge sur le mur sonna 4 coups.
Le docteur se plaça derrière elle. Il allongea Michelle sur le tabouret à nouveau, appuyant sa main sur son dos. Elle écarta son cul rougi. Il se saisit de son sexe rageur et s’introduisit profondément dans sa chatte trempée. Elle laissa échapper en un soupir la pression de cette poussée initiale. Ses yeux restaient exorbités sous le coup de l’assaut brutal du médecin. Elle se mordait les lèvres pour se contrôler. Elle expirait et gonflait ses joues à chaque fois qu’il sortait d’elle avant de re-rentrer aussitôt. Ses bras s’accrochaient au tabouret comme si sa vie en dépendait. Elle ne tarda pas à grogner et à se soulever, aboyant même par moments. Ses boucles blondes étaient comme un vague autour visage. Elle était simplement baisée sans ménagement.
Quelques instants plus tard, eu lieu ce moment imparable où un homme surfe sur la crête entre finir et profiter des derniers moments de plaisir. Le Dr Mahoney gémit et poussa ses hanches avec force contre le cul de Michelle pour enfoncer sa bite plus profondément dans sa chatte. Elle atteint son apogée grâce à lui. Sa chatte aspira littéralement sa bite. Encore une rapide série rapide de va et vient, et il explosa à son tour à l’intérieur d’elle. Il resta immobile, toujours connecté à elle. Une fois qu’il eut récupéré, il poussa le tabouret en avant. Tabouret sur lequel Michelle se trouvait toujours.
Lui restait sur le fauteuil d’examen, le pantalon aux chevilles. Son visage était rouge, en surchauffe et de la sueur perlait sur son front. Elle remit sa culotte en le regardant. Elle reboutonna sa blouse et constata qu’il retrouvait son visage initial. Elle enfila ses stilettos, son visage était redevenu doux. Celui de l’ophtalmologue.
Michelle attrapa son tote bag blanc : « Il faut que je change de lunettes prochainement. Mais il est trop tard aujourd’hui. Je vais prendre rendez-vous auprès de ton assistante. »
Avant de partir, elle appuya sur la pédale du siège qui commença à se renverser en arrière. Le Dr Mahoney était trop fatigué pour s’en soucier.
Michelle passa devant l’assistante puis s’arrêta et lui dit : « Mindy, il est possible que le Docteur ait besoin d’un coup de main là-dedans. » Puis elle sortit.
* Cette nouvelle a été traduite de l’anglais. Pour la lire dans sa version originale, écrite par Claire Woodruff, cliquez ici.