Elle se leva, les jambes en coton, et fit le tour du bureau. Sa main courait le long du bureau de bois pour assurer son équilibre.
Derrière le bureau, elle vit que le pantalon de M. Simmon était déboutonné et que son long sexe était posé sur le siège.
« Mon dieu ! M. Simmon ! »
Mme Mower était abasourdie. Elle était incapable de dire si ce qui la surprenait le plus était le fait de voir la bite du principal ou bien sa longueur hallucinante.
Elle détourna son regard du pénis du principal pour le regarder à nouveau dans les yeux. Il la regardait à nouveau avec ses yeux vert pale. Il redirigea son regard vers sa bite : « Est-ce que cette option vous plaît ? »
« Mais de quoi parlez-vous ? »
En regardant la troisième option, elle faillit la rejeter car elle ne lui permettrait pas d’être à l’heure au Chef de l’État sans avoir les joues rouges et avec le mascara coulé.
Elle passa les mains sur sa poitrine. Son cœur battait vite. Sa bouche commença à saliver.
La bite de M. Simmon était toujours là.
« A genoux », lui dit-il gentiment.
Elle s’agenouilla, comme en pénitence, devant lui. Elle fit glisser son pantalon sur ses genoux puis à ses chevilles. Ses mains remontèrent le long de ses jambes, attrapèrent ses cuisses et les écartèrent. Son visage était au niveau du siège, son menton sur le coussin.
Elle s’avança et donna un coup de langue sur le gland du pénis comme si sa langue voulait jouer avec lui et le réveiller. Elle le lécha à nouveau. Et la bite se réveilla, se durcissant lentement. En voyant le mouvement s’opérer, sa bouche s’ouvrit en grand et elle la goba en entier. Ses lèvres s’étiraient autour du sexe dur, de sa circonférence et de sa longueur croissantes.
M. Simmon s’appuya sur le dossier de sa chaise. Il laissa tomber sa tête sur le côté et sourit.
Ses genoux, enfoncés dans le tapis rugueux et industriel, commençaient à la brûler mais elle continuait à travailler dur avec sa bouche. Elle hochait de la tête et suçait si bien que son patron s’agrippa aux bras de sa chaise de bureau.
Il commença à gémir en murmurant son nom et en la complimentant sur son savoir-faire. « Vous êtes incroyable… Pas étonnant que M. Rungard…»
Il se tut, ses fesses se raidirent et sa mâchoire se serra. Il se retenait en criant « Mme Mower ! Mme Mower ! » dès qu’il le pouvait entre les vagues de plaisir.
Elle accéléra sa succion. Il éjacula encore et encore. Avec un grognement, il envoyait son foutre dans sa mouche. Giclée après giclée. Mme Mower l’avala et se releva ensuite avec un sourire satisfait.
M. Simmon était détendu dans sa chaise. Elle essuya un peu de sperme qui lui restait au coin de la bouche.
Elle se remit debout, soulageant ses genoux brûlants et s’assit sur le canapé. Elle reprenait ses esprits après s’être tant donnée sur la bite engorgée.
« Je fais donc toujours partie du corps enseignant et la vidéo sera bien effacée ? » lui demanda-t-elle.
Il se leva pour remettre son pantalon. « Considérez que personne ne l’a jamais vue. »
Elle était soulagée. Tout ce qui restait de cette nuit-là : les images de M. Rungard dans sa classe puis la baisant sur l’évier du vestiaire des filles avant d’éjaculer sur ses seins – ne subsistait que dans ses souvenirs.
Elle lui dit : « Vous avez un pénis extrêmement long et large. »
M. Simmon traversa la pièce pour la rejoindre sur le canapé. Il se pencha pour regarder dans ses yeux noirs : « C’est ce qu’on m’a dit en effet. »
Il posa cette fois ses mains sur les jambes de Mme Mower. Elle ne détourna pas le regard lorsqu’il se mit à remonter vers l’intérieur de ses cuisses. « On m’a également dit autre chose. »
« Ah oui ? Que vous a-t-on dit ? » lui demanda-t-elle, intriguée.
« Je peux vous montrer ? » lui dit-il en la plaçant devant lui.
« Montrez-moi. »
Elle le laissa lui retirer sa jupe. Il fit glisser sa culotte et l’envoya valser à l’autre bout de son bureau. Elle atterrit sur la photo de Mme Simmon. Elle était à présent nue à partir de la taille. La réservation du diner avec son mari lui traversa brièvement l’esprit. Cette pensée s’évanouit lorsque M. Simmon passa ses mains sur ses fesses et dans chaque recoin de son cul. Il écartait ses fesses en grand afin de laisser la lumière pénétrer son endroit secret. Son trou du cul s’étira jusqu’à en être tendu.
Elle s’adossa contre le canapé et ouvrit ses jambes en grand. Sa chatte fit son apparition. Deux grandes lèvres comme les lèvres d’un sourire ; il passa ses doigts sur ses lèvres puis enfonçant son majeur dans son vagin. Il le faisait entrer et sortir, luisant de cyprine. Elle adorait cette sensation.
Il mit son visage dans son giron nu. Il titilla son clitoris avec sa langue et le fit tourner. Sa bouche aspirait ses lèvres. Sa langue s’enfonçait profondément en elle. Les sensations devenaient si intenses qu’elle dut poser sa main sur le front de M. Simmon pour lui faire retirer sa langue.
Elle soupira. « Vous êtes… Wow ! Je crois que j’ai besoin d’une petite pause. »
M. Simmon s’assit sur le sol et s’appuya contre son bureau. En le regardant, Mme Mower ne put s’empêcher de penser à M. Rungard à la fin de la vidéo, appuyé contre le tableau blanc.
Elle regarda la pendule et décidé qu’elle avait un peu de temps avant d’aller diner. Ce rendez-vous n’était pas terminé et elle avait encore du pouvoir à exercer sur lui. « J’en veux plus. »
Sortant du canapé, elle poussa M. Simmon sur le dos et manoeuvra pour se retrouver pile au-dessus de son visage. « Vous allez m’en donner plus ?»
Elle sentit ses bras s’enrouler autour de ses cuisses et l’attirer à lui. Elle s’assit sur son visage. Il suçait et léchait sa chatte. Il sortait opportunément sa langue alors qu’elle se faisait rouler d’avant en arrière. Très vite, elle se mit à se tortiller sur son visage.
Ses mains sous ses fesses les soulevaient vers le haut. Il dût lui appuyer sur les hanches car elle refusait de bouger. Il a repris de l’air avant de replonger. La fois suivante, elle ne le laissa pas remonter avant qu’il n’ait montré toute sa force.
« Est-ce que cette chatte vaut l’air que vous respirez ? » lui demanda-t-elle. Plus qu’une question, c’était un jeu érotique.
Il haleta avant de replonger sa langue profondément entre ses lèvres. C’était sa réponse active. Elle sentit sa langue rugueuse frotter son clitoris jusqu’à l’explosion finale.
Il finit par se relever : le visage rouge, une veine apparente et qui pulsait sur le front, le visage luisant. Un mix de transpiration et de cyprine réparti entre les narines et le menton.
Il se rassit dans son siège. Elle reprit ses esprits et s’assit en appuyant son dos contre le bureau.
« Vous êtes un vrai Maître et vous ne vous rendez jamais » lui dit-elle.
« L’Armée m’a appris quelques leçons que je réutilise. Mais la plus importante de toutes c’est : ne jamais laisser une chatte à la traîne. »
« Pas besoin d’infirmier sur la base. Aucune femme n’a dû mourir dans vos bras ou plutôt sur votre visage. »
Il plissa les yeux et sourit fièrement. Sa lassitude ne lui permettrait pas d’en faire plus ce soir.
Elle vit que l’heure avait tourné. Il était presque 19 h. « Merci pour cette troisième option. Je suis vraiment contente que vous me l’ayez proposée. Mais il fait que je file, j’ai un autre rendez-vous. »
Elle rassembla ses affaires et sortit.
Elle gara son SUV sur le parking du Chef de l’État. Il était 19 h 06. La voiture de son mari était déjà là. Il n’y était plus. Il devait être à l’intérieur du restaurant, l’attendant à leur table.
Elle vérifia sa coiffure et son maquillage dans le rétroviseur. Le sexe la rendait toujours plus radieuse, lui donnait un joli teint. Mais le sexe aplatissait aussi ses cheveux et faisait partir son maquillage.
Elle courut en talons sur le parking. Elle pouvait sentir la brûlure du tapis sur son genoux. Elle se rappela aussi avoir laissé sa culotte dans le bureau de M. Simmon dans sa précipitation à s’en aller.
Ses yeux rencontrèrent ceux de son mari à travers la salle de restaurant. Il se leva et elle vit un petit box avec une bougie. Il l’embrassa sur la bouche : « Tu as cet adorable teint radieux. »
Elle lui caressa la joue du revers de la main : « Merci d’avoir remarqué. »
« Je t’attendais ici, lui dit-il. Tout va bien ? »
« Une grosse journée au bureau, répondit-elle. Elle s’était cogné le genou en entrant dans le box. Je n’ai pas beaucoup arrêté. »
M. Mower la scrutait attentivement : « Quelque chose de bien, de très bien même, t’est arrivé aujourd’hui. Je peux le dire en te regardant. »
« Tu es la meilleure chose qui me soit arrivé aujourd’hui. J’ai attendu ce dîner avec toi toute la journée. Rien ne pouvait le faire arriver assez vite. »
Il sourit : « J’ai commandé une bouteille de Pino Grigio. »
« Mais tu sais l’effet qu’il produit sur moi ? »
« Oui, oui. »
* Pour lire la première partie, c’est par ici.
** Cette nouvelle a été écrite par Claire Woodruff et traduite de l’anglais. Pour la lire en version originale, cliquez ici.