La plage des Huttes, neuf heures du matin début juin par une pluie diluvienne. Personne. Pas un chat sur le sable trempé. Je reste bien au chaud abritée dans mon cabanon. Surveiller la plage quand il n’y a pas une âme, c’est un boulot plutôt ennuyeux, aussi j’en profite pour réviser mes cours.
La pluie est tombée d’un coup, je suis rentrée en catastrophe alors que je faisais une petite ronde matinale à foulée légère. Habillée de mon t-shirt blanc et rouge de secouriste, avec ma bouée règlementaire sur l’épaule, je me suis prise un peu pour Pamela Anderson. Je n’ai ni sa silhouette ni sa blondeur, mais ce fut mon petit moment de gloire personnel. Oui, parce que je suis métisse : un pied en Afrique grâce à mon père. Je n’ai pas la poitrine de la belle blonde d’Hollywood, mais de petits seins ronds que je compense par un fessier musclé et très cambré.
Une semaine que j’ai commencé ici ce petit boulot d’été et d’ordinaire le matin, je croise quelques badauds. Des vieux levés tôt pour promener le chien ou se tremper les pieds, des sportifs qui font leur jogging avant d’aller travailler, ou d’autres qui viennent s’entrainer en voile, surf ou que sais-je avant que la foule des touristes n’arrive.
Je n’ai pas hâte que vienne la pleine saison. L’après-midi, en juin, il y a peu de monde encore, mais en juillet c’est étouffant. Ça fait trois ans que je fais ce petit job pour me payer mes études, ça me plaît bien. Quand il y a du soleil. Là, les nuages ont recouvert nos têtes en quelques secondes et les promeneurs ont déguerpi dès que les torrents d’eau se sont abattus sur le sable fin. J’ai juste eu le temps de m’abriter pour ne pas être totalement trempée. Surveiller une plage vide sous la pluie, ce n’est pas la partie la plus passionnante de ce boulot, même si c’est magnifique. J’ai un peu froid, mais ça vaut le coup d’œil. Il y a même des éclairs qui zèbrent le ciel au loin. Je reste subjuguée par la beauté des éléments déchainés.
C’est alors que je le vois, il court vers le cabanon en s’abritant sans succès sous un journal qu’il tient à deux mains. Je me précipite pour ouvrir la porte et il s’engouffre sans même lever les yeux vers moi, ce qu’il finit par faire une fois qu’il est certain d’être à l’abri.
— Bonjour… Ça ne vous dérange pas si je m’abrite ici ? me demande-t-il timidement.
Il doit avoir vingt ans. C’est un jeune homme mince, d’un blanc laiteux, de grosses lunettes vissées sur le nez sur lesquelles se forment de la buée, une tignasse blonde désordonnée, quelques taches de rousseur sur le museau. Je devine des yeux bleus quand il retire ses lunettes pour les nettoyer. Il les remet et me regarde enfin avec une mimique gênée. Je lui réponds par un franc sourire.
— Pas de problème, vu ce qu’il tombe tu es mieux ici.
Il me fait un sourire en guise de remerciement. Il pourrait être mignon s’il ne portait pas sur lui le stéréotype du geek intello qui n’a jamais vu de fille. Il m’observe à la dérobée en faisant style de découvrir l’intérieur du cabanon. Je le vois grelotter, trempé de la tête aux pieds.
— Viens à l’arrière, il y a des couvertures, tu vas attraper froid si tu restes comme ça.
D’ordinaire, on les utilise pour ceux qui sortent de l’eau, mais vu son état c’est tout comme.
— Retire ton t-shirt et ton pantalon, tu ne peux pas rester avec des habits mouillés sur toi, tu vas attraper mal.
Il lève les yeux vers moi, étonné et gêné. L’arrière du cabanon est à l’abri des regards depuis l’extérieur, mais l’ouverture qui donne sur la partie avant ne ferme pas. Il ne peut pas se dérober à ma vue. Je lui souris gentiment pour le rassurer, tends une grande serviette de survie bien chaude de mes deux mains, prête à l’accueillir, et j’attends. Je me sens d’humeur facétieuse aujourd’hui.
Il hoche la tête sans rien dire et retire avec difficulté son t-shirt qui colle sur sa peau quasi diaphane où les muscles très fins ne cachent pas les veines qui courent dessous. Puis il fait de même avec son pantalon, dévoilant des jambes maigrelettes et qui n’ont jamais vu le soleil.
Quand il est enfin en slip – ce manque de classe ! – je m’avance et l’entoure de la serviette chaude. Il me remercie d’un hochement de tête.
— Tu t’es perdu ou quoi ? je lui lance d’un ton enjoué.
— J’ai été surpris par la pluie.
Il parle en tremblant, je l’invite à s’assoir sur la banquette à l’arrière et m’installe à côté de lui. Je lui frotte les épaules énergiquement, ce qui le surprend, mais il ne dit rien.
— Tu n’as pas l’air d’être du genre à te bronzer sur la plage très souvent.
— Non, je n’aime pas ça. Je suis en vacances dans le coin avec mes parents et ce matin ils ont commencé à s’engueuler, comme souvent, alors je me suis barré ici.
— Tu devrais les prévenir.
Il acquiesce d’un air entendu, fouille dans son pantalon posé près de lui sur la banquette, en sort un smartphone dernier cri et envoie un texto à sa mère.
— Reste ici le temps que ça se calme.
Je jette un œil par les fenêtres, la pluie n’arrête pas et continue à tambouriner sur les vitres. Le ciel est presque noir, il y en a pour un moment.
— Merci, me fait-il d’un air abattu.
Je l’observe. Il semble calme et posé. Il a une petite cicatrice à la base du cou. Ses taches de rousseur s’arrêtent sur les joues puis semblent reprendre dans la nuque.
— Alya.
Il me sourit doucement.
— Baptiste.
Je crois qu’on ne peut pas faire plus opposés. Il est d’un blanc laiteux, je suis quasi noire, il a une tête à rester plonger dans les bouquins toute la journée quand je ne vis qu’en extérieur, il est timide et je suis plutôt extravertie. Mais j’aime les différences, les contrastes, pour moi, c’est une sorte d’exotisme.
Je me lève et retourne à mon bureau près de la grande fenêtre vitrée à l’avant du cabanon.
— Je te laisse te reposer un peu.
Pendant que je lis mes cours fastidieux, je le vois du coin de l’œil s’arrêter enfin de grelotter. La pluie en dehors n’a pas faibli, nous sommes seuls sur la plage, comme deux naufragés. Il a passé quelques minutes à envoyer des messages, probablement à sa mère, maintenant il m’observe. Je sens qu’il veut me poser une question, mais n’ose pas. Je ne vais pas lui faciliter la tâche, je le laisse batailler.
Au bout de bien dix minutes :
— Vous lisez quoi ?
Ah, ça, les livres, ça l’intéressent.
— On se tutoie, hein ? J’ai l’air d’une vieille ?
— Non, non, ce n’est pas ce que je voulais dire.
— Tu as quel âge ?
— Vingt ans.
J’avais raison.
— J’en ai vingt-cinq.
Il hoche la tête.
— Je lis un manuel d’anatomie, je prépare le Capeps.
Il ne semble pas savoir de quoi il s’agit, j’explique :
— Le concours pour être prof de sport.
— Ah ! Ma mère aussi est prof.
— De quoi ?
— De sport aussi.
— Oh !
Il fronce les sourcils et je ne peux m’empêcher de rire.
— À te voir, on ne dirait pas.
Il prend un air outré avant de répondre :
— J’ai fait du sport. J’en fais encore.
— Tu fais quoi ?
— Du badminton.
— D’accord…
— Et toi ? me demande-t-il en ruminant.
— Je fais un peu de tout, mais principalement de la voile et de la boxe.
— Ah oui…
— Désolée, je ne voulais pas te vexer, tu as une tête à passer plus de temps sur la théorie que sur la pratique, mais je peux me tromper.
Il baisse les yeux et secoue ses épaules.
— Non, c’est vrai, je ne suis pas très sportif. Mais je ne suis pas un intello pour autant.
— Tu fais quoi comme étude ?
— BTS informatique, j’aimerais créer des jeux vidéo plus tard…
J’éclate de rire. Il me regarde avec des yeux ronds puis me rejoins en souriant doucement.
— Allez, je te taquine l’intello. Ça va mieux ?
Il hausse les sourcils d’un air dépité puis me fait oui de la tête.
On laisse un silence perdurer tandis que l’eau coule contre la vitre. La mer devient houleuse. J’attrape dans un placard un drapeau rouge et enfile une parka avant de lui annoncer :
— Je vais changer de drapeau, tu restes là bien sagement d’accord ?
— Tu me prends pour un gamin ?
Je lui souris et lui fais un clin d’œil avant de m’éclipser sous la pluie. Quand j’ai enfin réussi à changer la couleur de la plage pour avertir les touristes du danger, je reviens fissa jusqu’au cabanon où je retrouve Baptiste en train de lire mon manuel.
Il sursaute quand j’entre, comme pris en faute. Il rougit comme un puceau et retourne s’assoir dans le fond après avoir refermé le livre précipitamment.
— Ça t’intéresse, l’anatomie ?
Il hausse les épaules. J’ai une idée qui germe doucement dans ma tête.
— Oh ! Ça te dirait de m’aider à pratiquer ?
Sa surprise est évidente.
— Comment ça ? me demande-t-il.
— Rien de bien compliqué, mais je n’arrive pas à mémoriser autant de muscles et d’os, je ne suis pas une intello comme toi, moi !
— Et alors ?
— J’ai besoin de visualiser. Les images, là, c’est bien gentil, mais ça n’aide pas vraiment. Est-ce que tu me laisserais observer ton corps pour que je me familiarise avec tout ça ?
Baptiste est interloqué, puis il fait une remarque ironique :
— Vu que je suis un intello, comme tu dis, il n’y a pas grand-chose à observer.
— Rohhh, monsieur est susceptible. Figure-toi que d’après ce que j’ai vu, tu as de très jolis muscles. Ils manquent un peu de volume, c’est vrai que j’ai plus souvent l’habitude de voir ceux bien développés de mes collègues, mais ça ne veut pas dire pour autant que ce n’est pas agréable à voir.
Je lui passe un peu de pommade, ça a l’air de marcher, il rougit doucement.
— Faut que je fasse quoi ? finit-il par demander au bout d’un moment.
Je lui désigne la banquette en cuir rouge.
— Tu veux bien t’allonger ?
Il s’exécute tandis que je tire la chaise roulante du bureau jusqu’à lui après m’être assurée qu’il n’y avait toujours personne sur la plage. Vu la noirceur des nuages au-dessus de nos têtes, il faudrait être fou. J’allume un petit plafonnier pour nous éclairer – à dix heures du matin en juin ! – et je m’approche de Baptiste.
— Ça va aller ? Tu peux retirer ta serviette, tu n’as plus froid ?
— Non, ça va.
— Merci de m’aider, tu comprends c’est plus facile pour moi.
— Pas de souci.
Je l’aide à faire glisser la serviette et il me découvre son torse imberbe. Il se retrouve à moitié à poil dans mon cabanon, en slip noir et bleu.
— Tu sais, les slips, c’est un peu démodé.
Il soupire.
— Si c’est pour se moquer…
— Non, non, désolée, je ne me moquais pas, c’est parfait.
Son corps sent bon le savon de la douche matinale. J’attrape mon manuel et l’ouvre sur une planche de description des muscles du torse, puis je pose mon index sur sa poitrine. Il frémit, mais ne bouge pas.
— Alors…
Je le regarde par-dessus le livre : il observe attentivement le plafond, comme quand on va chez le dentiste, pour éviter de croiser de trop près le regard du praticien. Il me fait rire.
Je passe en revue les différents éléments qui le composent (et qui, normalement, compose tout être humain, du moins de la gent masculine) en les citant à chaque fois.
— Donc, nous avons les deltoïdes.
Mon doigt glisse en dessous de son cou, là où les taches de rousseur recommencent pour descendre dans le dos.
— Les pectoraux.
Je dessine les siens d’un doigt assuré, il tremble doucement.
— Les dorsaux.
Je pose ma main entière sur ses côtes et il souffle en esquissant un sourire.
— Oups, pardon ! Je vais éviter les chatouilles.
Je passe aux abdominaux agréablement dessinés sur son corps de jeune.
— Jolis abdos ! Contracte un peu que je puisse les dénombrer.
Il ne dit rien, concentré sur son rôle de mannequin amateur.
— Grand oblique…
Mon doigt glisse à chaque fois sur ses muscles délicats. Je l’entends qui souffle et je le regarde, étonnée. Il est rouge et continue de fixer le plafond.
— Grand droit…
Il respire par à-coups. Je souris doucement.
— Petit oblique…
Mon doigt descend vers les transversaux, à l’orée de l’aine. Je découvre que son slip est légèrement bombé, je comprends son émoi.
— Oh ! je vois qu’il y a aussi un autre organe qui se réveille. Oblique ou droit, celui-là ? Petit ou grand ?
Il devient rouge pivoine, je me délecte de sa peau au pigment pourpre. Il bredouille :
— Dé… désolé… je n’ai pas…
— Oh, mais je suis très flattée au contraire, ne t’en fais pas !
— Oui, c’est que… voilà…
— Tu veux bien me montrer cette partie-là de ton anatomie aussi ?
Il me regarde, deux billes exorbitées, puis détourne les yeux de honte. Pourtant, il ne bouge pas, ne dit pas un mot. J’attends un peu, ne voulant rien forcer et j’ajoute à voix basse :
— Pour m’aider professionnellement, bien entendu.
Je le vois hocher très rapidement plusieurs fois du menton. Ses lèvres roses tremblent. J’ai toujours aimé poser les miennes, brunes, sur celles d’un homme à la peau claire. Le contraste m’excite.
Je tire doucement sur son slip vers le bas, forçant au passage de l’intrigant qui résiste, pour enfin bondir hors de sa cage de tissu dans un sursaut sans complexe. Quelle jolie queue ! Je ne peux pas m’empêcher de le faire savoir :
— Hum ça ressemble à une grande et belle oblique.
Je retire complètement son dernier vêtement et il se retrouve nu comme un grand ver de terre tout pâle sur ma banquette rouge. Je sens qu’il a envie de placer ses mains sur son intimité, mais il résiste à la tentation. Je ne sais pas s’il s’offre par envie ou pour tenir son engagement. En tout cas, moi je sais ce que j’ai envie de faire.
Je fais passer mon doigt sur l’aine, il frissonne. Je parcours d’un doigt joueur les poils roux et blonds qui fourmillent sous sa queue tendue, je glisse vers les cuisses en contournant l’objet du désir.
— Là, nous avons le scrotum, fais-je en immisçant un doigt fureteur entre ses cuisses et les bourses qui reposent dessus.
Je l’entends soupirer de surprise et d’aise.
— C’est un endroit très fragile, à manipuler avec précaution.
Ce faisant, j’empaume ses couilles et les caresse doucement. De mon autre main, je viens à la base du long barreau de chair puis je l’effleure de mon index jusqu’au gland encore calotté. Il a une queue toute blanche et veinée. Plutôt fine et longue, qui donne envie de la glisser partout.
Je pince entre deux doigts la peau du gland et la tire doucement pour faire jaillir le nœud violacé. J’ai toujours été émue par l’étrange forme que prend le plaisir masculin. Cette espèce d’anguille frétillante, agrémentée d’une boursouflure rougeâtre et d’une sacoche pendante, et qui dans le moment fatidique explose dans une gerbe poisseuse et abondante. Étrangement excitante.
Il respire fort et hoquète chaque fois que je tire sur la peau pour le découvrir. Cachée, coucou ! Cachée, coucou ! Je m’amuse comme une gamine, c’est probablement mon jouet préféré. En fac, j’en ai croisé pas mal, la plupart du temps celles de mecs trapus et vaniteux. Leurs queues étaient de même, elle en perdait souvent toute saveur. Celle-ci semble encore timide, elle n’a pas l’habitude d’être ainsi bousculée.
Je le branle, de plus en plus vite. Il bloque par moment sa respiration, je sens qu’il ne va pas tenir très longtemps, aussi je m’arrête d’un coup pour qu’il puisse reprendre son souffle.
Dehors, la pluie a baissé d’intensité et le soleil commence à faire des incursions à travers les nuages. Il va falloir que j’aille travailler, les touristes vont bientôt réapparaitre. Il faut que j’en termine avec cette session bien agréable.
— Baptiste, tu aimes ?
Il me regarde enfin, le rouge aux joues, et acquiesce sans un mot.
— Tu aimerais que je te suce maintenant ?
Il écarquille les yeux comme jamais et à nouveau secoue la tête.
— Je n’ai pas compris, fais-je avec un petit sourire coquin.
— Ou… oui…
— Oui quoi ?
— Oui, j’aimerais bien.
— Il faut que tu sois plus précis. Tu aimerais que je fasse quoi ?
Je le taquine, je veux que ça sorte de sa bouche. Puis de sa queue. Chaque chose en son temps.
— J’aimerais que tu me suces, s’il te plait.
— C’est demandé si gentiment !
Je n’attendais que ce signal. Je me penche et l’embouche sans attendre. Il a un goût sucré. J’avale le pré sperme qui suinte de son méat avec délectation. Je fais tourner ma langue sur son gland. Je ne l’entends plus. Je lève les yeux vers lui, il est rouge, tout rouge, il retient son souffle, il me regarde comme si c’est la première fois qu’on lui fait une pipe. Peut-être est-ce le cas !
Je m’enfonce, je ne peux pas la prendre en entier, mais une bonne partie disparait dans ma gorge. Le barreau blanc qui coulisse dans ma bouche de métisse, ce doit être un spectacle torride. Il expire enfin et me jouit entre les lèvres en même temps. Je le laisse se vider sans bouger, avalant goulûment sa liqueur d’homme, puis je me retire en prenant bien le temps de tout aspirer sur mon passage.
Il a l’air comme paralysé de bonheur. Il me regarde me relever, m’essuyer la bouche d’un revers de main, hallucine de voir qu’il n’en reste pas une goutte, et se remet à trembler de plaisir. Je lui souris, taquine :
— Tu peux rester à te reposer, mais rhabille-toi au moins.
Quand il sort de mon cabanon, il me fait un petit geste de la main et s’enfuit vers les dunes qui bordent la plage. Il m’a promis de repasser.
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Article écrit par Léon de Griffes
Depuis le berceau toulousain, j’écris par passion depuis quelques années. Mes histoires sont parfois tendres, parfois torrides, souvent drôles. J’aime aussi y ajouter de temps en temps une touche de fantaisie.
J’ai publié une dizaine de nouvelles érotiques sur Amazon depuis janvier 2015. Suite à un concours de nouvelles érotiques organisé par B-sensory que j’ai remporté, je suis désormais édité sur leur plateforme. J’y publie en particulier une série fantastique et érotique. J’ai aussi participé à plusieurs collectifs, en particulier 20 Histoires de Sexe et de Pouvoir chez La Musardine ou Indécence 2016 chez Évidence Editions.
En avril 2016 je publie Simon, à demi-mot puis Les vies d’Adèle en juin 2016 et enfin le deuxième tome de Simon, mots-croisés en octobre 2016.
Début 2017, je me lance dans l’aventure Tipeee en essayant de conjuguer érotisme et fantasy.
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