- Lire le début de l’histoire : La Véritable Histoire de Sandrine Dion – Partie 1
Il était minuit passé de quelques minutes lorsque Sandrine pénétra dans l’hôpital où son père avait été pris en charge. Même les malades les plus mal en point qui attendaient d’être soignés furent tiré de leur douleur par la beauté irréelle de Sandrine qui interrogeait l’hôtesse d’accueil pour savoir où se trouvait son père.
Elle courut vers la chambre indiquée et trouva Marianne assise dans le couloir. Son visage était noircie par la suie et ses habits sentaient le brûlé. Dès qu’elle aperçut Sandrine, Marianne se jeta dans ses bras en pleurant, en s’excusant de ne pas avoir réussi à extraire son père plus tôt. Et Sandrine répondit à ces pleurs par d’autres pleurs…
Attiré ce vacarme de larmes, un jeune médecin sortit de la chambre du père de Sandrine et se retint de rire devant le spectacle de ces deux magnifiques jeunes filles sanglotant de désespoir alors que le blessé n’avait presque rien. Et pour ne pas les laisser dans cet état plus longtemps, il annonça avec un sourire rassurant que tout allait bien pour le père de Sandrine.
Ce sourire franc eut non seulement l’effet apaisant escompté, mais il fit également fondre instantanément le cœur de Marianne. Secouée par l’incendie auquel elle avait dû faire face dans son immeuble, la jeune femme n’avait pas remarqué à quel point le médecin qui s’occupait du père de Sandrine était beau.
Le jeune interne expliqua à Sandrine que son père n’avait été que légèrement intoxiqué et il salua le courage de Marianne qui avait parfaitement agi. Elle rougit aussitôt et hésita à repousser Sandrine quand celle-ci l’embrassa sur la joue. La belle jeune femme, toujours en tenue de soirée réajustée en vitesse après les caresses du Prince, demanda alors à Marianne ce qui s’était passé.
Des policiers qui arrivaient juste à cet instant répondirent à sa place. Quelqu’un avait volontairement mis le feu à l’immeuble à l’aide d’une grande quantité de tissus imbibés d’essence. Ils étaient là pour mener leur enquête. Ils posèrent quelques questions à Marianne qui n’avait rien vu ni entendu, puis ils laissèrent tranquille les deux jeunes filles. Le médecin leur garantit que le père de Sandrine était entre de bonnes mains, et il leur recommanda de rentrer se reposer.
Comme Marianne n’avait plus d’appartement et que Sandrine avait été chassée de chez elle, les deux jeunes femmes hésitèrent un moment avant de trouver une solution. Elles iraient dormir dans la chambre de Sandrine en passant par la fenêtre. Il était peu probable que la belle-mère et ses deux filles ne remarquent leur présence. Elles étaient trop épuisées et avaient besoin de repos avant de penser à la suite.
Lorsqu’elles arrivèrent, la maison était plongée dans le noir. Les trois méchantes femmes devaient encore être à la soirée avec le Prince Georges. Cette pensée déchira le cœur de Sandrine qui s’endormit en pleurant au souvenir des caresses si douces du Prince. Elles dormirent d’un trait et ne furent réveillées que tard dans la matinée en entendant la belle-mère et ses deux filles parler bruyamment.
Sandrine se leva sur la pointe des pieds et écouta leur conversation depuis le haut des escaliers. Elle voulait savoir si elle avait raté un événement majeur de la soirée. Ce qu’elle entendit la figea sur place…
– Il ne va sans doute pas tarder à se pointer ici. Après tout le tapage qu’il a fait la veille pour connaître l’adresse de la mystérieuse Sandrine qui avait disparu peu avant minuit, c’est certain que cet imbécile de patron de l’hôtel va lui dire de venir ici. Ca vous laisse une deuxième chance de mettre la main sur le prince, on ne va pas la laisser passer. Vous avez mis vos tenues ? Parfait.
Sandrine risqua un coup d’œil et aperçut les deux jeunes filles dans des chemises de nuit en dentelle très fines et très transparentes. On pouvait voir sans effort les seins pourtant très discrets de la sœur maigrelette à travers la dentelle et il en était de même pour la sœur plus en chair qui dévoilait quant à elle ses deux mamelles tombantes.
– Et pour ce qui est de Sandrine, on reste sur notre version. On lui dit que c’est une allumeuse, une pute, qui cherchait à mettre le prince dans son lit et à filmer leurs cabrioles pour le faire chanter par la suite.
Sandrine s’apprêtait à descendre l’escalier, folle de rage, mais elle sentit la main de Marianne la retenir.
– Et on risque pas de la revoir de sitôt, la Sandrine. Après le feu que j’ai foutu chez son autre salope de copine, elle va rester bien tranquille au chevet de son père.
Marianne lâcha Sandrine. Elles étaient toutes les deux livides, incapables de bouger. On sonna à la porte : c’était le Prince.
La belle-mère l’invita à entrer avec son majordome qui regardait autant que possible en l’air, offusqué par le spectacle grotesque des deux filles à moitié nues. C’était d’autant plus gênant que les deux filles prenaient des poses sexuelles exagérées. Le Prince, très mal à l’aise, demanda finalement :
– Je recherche Sandrine Dion, elle est ici ?
– oui
La mère sursauta en entendant la voix de Sandrine derrière elle. Le Prince se rua vers la jeune fille et ils s’embrassèrent comme si c’était la chose la plus naturelle. Folle de rage, la mère hurla et se rua sur Sandrine pour la décoller du Prince. Elle criait des insanités en promettant au Prince que les chattes de ses deux filles étaient bien meilleures.
Et comme les deux sœurs avaient toujours eu l’habitude de faire comme leur mère, elles se ruèrent également sur Sandrine et le Prince. Le tapage attira les gardes du corps du Prince qui entrèrent et attrapèrent les trois femmes qui s’étaient muées en furie à moitié nues.
Il ne s’écoula que quelques mois entre ces retrouvailles mouvementés et le mariage des deux amoureux célébré en Angleterre avec toute la famille royale et les très rares proches de Sandrine. Le père de la jeune femme affichait un sourire nouveau, toujours immobile dans sa chaise roulante. Et Marianne avait fait le voyage pour officier comme témoin de la mariée. Elle en profita pour lui présenter son fiancé qui n’était autre que le médecin qui avait soigné le père de Sandrine.
La journée du mariage se déroula sans encombre, au grand étonnement de Sandrine peu habituée à la tranquillité. Même les oppositions de certains membres de la famille royale à ce mariage avaient peu duré. Sandrine avait su charmer tout le monde par sa beauté et sa gentillesse.
Alors quand vint le soir, Sandrine rejoignit la chambre nuptiale avec son prince la peur au ventre, se demandant quel malheur allait encore se mettre en travers de sa route.
Comme un écho à la soirée où ils s’étaient rencontrés quelques mois plus tôt, le Prince murmura :
– Je ne l’ai jamais fait.
Et la Princesse Sandrine répondit :
– Je ne l’ai jamais fait.
Puis ils s’embrassèrent tout en se déshabillant lentement. Comme sur la terrasse de cet hôtel, ils embrassèrent chacune des parties du corps de l’autre au fur et à mesure qu’elles se dévoilaient, jusqu’à ce qu’ils soient tous les deux en sous-vêtements. Leurs corps frémissaient de désir, et Sandrine commençait à penser que le bonheur l’attendait peut-être finalement pour de bon.
Alors le Prince Georges retira le soutien-gorge de Sandrine et embrassa ses seins l’un après l’autre avant de les lécher avec l’enthousiasme incontrôlé de l’amant trop pressé. Sandrine fermait les yeux et goutait malgré tout avec un infini plaisirs à ces caresses délicieuses. Le Prince glissa ensuite sa main sous la fine dentelle blanche de la culotte de Sandrine et chercha le clitoris, cette petite boule rose dont on lui avait tant parlé.
Sandrine gémit et il comprit aussitôt qu’il avait visé juste. Ce cri de plaisir de la femme qu’il aimait plus que tout fit redoubler son désir. Son pénis dur sortait déjà par le haut du boxer où il était à l’étroit. Il se débarrassa de ce dernier habit et s’allongea nu sur le lit en entrainant Sandrine avec lui dont il dévorait toujours les seins.
La jeune mariée retira à son tour sa culotte et colla son corps nu contre celui du Prince. Certes les doigts agiles sur son clitoris lui étaient agréables, mais elle connaissait déjà cette sensation. Elle en voulait plus, plus loin.
Elle retira les mains du Prince et les plaqua au-dessus de sa tête, le forçant à s’allonger sur le dos tandis qu’elle grimpait sur lui. Entièrement nue, le sexe trempée de désir, elle chercha le pénis de la main, souleva son bassin, et caressa l’entrée de son vagin avec le gland humide.
Les deux amants se regardaient dans les yeux, émus de partager cet instant. Et au fur et à mesure qu’elle descendait son bassin et que le sexe du Prince la pénétrait, les amoureux ouvraient la bouche de plus en pus grand, transportés par un plaisir indicible.
Et c’est ainsi que s’acheva la véritable histoire de Sandrine Dion et que débuta la nouvelle vie de la Princesse Sandrine comme on l’appela bientôt. Son père vécut à leur côté jusqu’à sa mort, Marianne rendit visite à son amie aussi souvent que possible avec son mari et elle n’entendit plus jamais parler de son atroce belle-mère ni de ses deux abominables filles. Son Prince et elles vécurent indéniablement heureux et firent beaucoup… l’amour !