- Lire le début de l’histoire : La Véritable Histoire de Sandrine Dion – Partie 1
Après la scène à laquelle Sandrine avait assistée avec son amie Marianne, cette éducation accélérée aux joies lubriques de ses deux belles-sœurs par un étalon, Sandrine savait maintenant que les trois méchantes femmes assisteraient à la soirée du Prince Georges dans l’hôtel chic où elle travaillait.
Cette perspective ne l’enchantait pas, mais elle aurait dû s’y attendre. En tant que maquerelle pourvoyeuse de femmes dans toute la ville, sa belle-mère avait quelques entrées.
Puis Sandrine chassa ses idées noires. Si sa belle-mère avait pour ambition de mettre une de ses filles dans le lit du Prince Georges, elle n’avait aucune raison de la mettre dans une situation embarrassante pendant la soirée.
Elle alla travailler ce soir-là en tentant de chasser ses idées noires. Elle savait qu’il ne fallait rien attendre de cette soirée. Elle avait appris que l’espoir tue plus surement que n’importe quoi. Quand elle arriva dans les vestiaires de l’hôtel où les employés avaient leur casier, c’était l’effervescence.
On venait de livrer les costumes chics que tous les serveurs et serveuses devraient porter le grand soir. Tout le monde riait, se réjouissait, l’excitation était à son comble, cette soirée était attendue comme une fête exceptionnelle. Sandrine ne put s’empêcher de sourire en découvrant à quel point les tenues des femmes étaient moulantes. Pas de vulgarité, mais une savante mise en avant des formes.
Elle laissa la bonne humeur générale la contaminer et passa une soirée agréable durant laquelle elle s’amusa beaucoup avec ses collègues. Et les jours s’écoulèrent doucement et avec légèreté à l’hôtel. Et même à la maison, Sandrine ressentit un peu de tranquillité, ses belles-sœurs et sa belle-mère étant de bonne humeur dans l’attente du grand soir. Ce Prince Georges aura eu au moins le mérite de mettre un peu de baume dans le cœur de Sandrine. Au moins jusqu’à la veille du jour J.
Après sa dernière soirée à l’hôtel avant le grand soir, Sandrine rentra chez elle au petit matin, excitée à l’idée de la soirée avec le Prince. Quand elle arriva chez elle, Sandrine découvrit les tenues de ses deux belles-sœurs dans le salon, accrochées à des cintres. La belle-mère avait sorti les grands moyens en achetant deux robes hors-de-prix, mais Sandrine ne put s’empêcher de rire devant leur vulgarité. Couleurs criardes, échancrures exagérées, de la soie, de la dentelle, des fils d’or, tout y était dans une abondance sans raffinement.
– Qu’est-ce qui te fait rire, petite garce ?
Sandrine reconnut immédiatement la voix de sa belle-mère dans son dos. Elle ne répondit rien et s’approcha des escaliers pour les grimper et rejoindre sa chambre.
– Je t’ai posé une question, petite pute.
Sandrine hésita un instant, envahie par la colère, mais elle savait qu’il ne fallait pas répondre à la provocation.
– Alors je vais poser la question à ton père.
Sandrine avait immédiatement sentit la menace dans la façon dont l’avait dit sa belle-mère, et elle fit volteface à contrecœur.
– J’ai ri parce que mes deux belles-sœurs vont être les plus jolies femmes de la soirée dans ces tenues et cela me rend heureuse.
– T’as raison, fais la maligne. T’as intérêt à nous aider demain, sinon je me débrouille pour vous faire mettre dehors toi te ton père.
– Vous ne le ferez pas.
– Pardon ?
– Vous tenez trop à la pension de mon père pour le laisser partir.
– Je vais t’apprendre espèce de sale…
Et la belle-mère se précipita sur Sandrine et la tira par les cheveux. Sandrine se défendit en tentant de se dégager mais dans la précipitation, elle envoya une gifle involontaire.
La belle-mère vola sur le sol au moment où les deux belles-sœurs, médusées, firent leur entrée, alertées par le bruit.
– T’es malade ou quoi ? T’as levé la main sur maman ? Tu crois que tu vas t’en sortir comme ça ?
– Je ne voulais pas… C’est elle qui…
– Attrapez-la les filles !
Les deux sœurs obéirent et se jetèrent sur Sandrine avant qu’elle n’ait eu le temps de monter dans l’escalier. Elles la plaquèrent au sol et la sœur grassouillette s’assit sur ses deux bras placés au-dessus de sa tête pour l’empêcher de bouger tandis que la maigrelette lui tenait les jambes.
La belle-mère s’approcha alors de Sandrine avec une grande paire de ciseaux. Elle fit claquer les lames près de son visage.
– Un si joli minois… C’est fou ce que la beauté est éphémère. Il suffit de rien pour enlaidir les choses.
– Pitié, non…
La belle-mère glissa les lames entre les seins de Sandrine et commença à découper son haut en même temps que son soutien-gorge. Sandrine tenta de se débattre.
– Je te déconseille de bouger ma belle. Je voudrais pas te lacérer sans faire exprès.
Une fois le haut découpé, elle tira de chaque côté du tissu et le torse de Sandrine apparut, dévoilant ses seins épais et son ventre fin. Les trois femmes ne purent s’empêcher un soupir d’admiration.
– C’est vrai que t’es belle, dis-donc.
La belle-mère continua de descendre les ciseaux et Sandrine sentit la lame glisser sur son pubis jusqu’au fond de sa culotte. Elle s’immobilisa, tétanisée. Sa jupe et son sous-vêtement connurent le même sort. Et elle se retrouva complètement nue. Les trois méchantes femmes se taisaient. Aucun mot ne leur venait devant tant de splendeur. Même leur jalousie, leur haine pour Sandrine semblait s’amoindrir en cette seconde tant elle était parfaite.
Mais la belle-mère se ressaisit.
– Je ne le fais pas de gaieté de cœur Sandrine, faut me comprendre, je dois mettre toutes les chances de côté pour mes filles.
Elle sortit de la pièce quelques secondes pour se rendre dans la cuisine puis elle revint avec un rouleau à pâtisserie.
– Il ne faut pas tenter le Prince, tu vois. Alors on va s’arranger pour que tu fasses pas d’ombre à mes filles.
– Vas-y maman, refais lui le portrait à cette traînée.
La belle-mère s’agenouilla devant Sandrine qui pleurait de peur, incapable de bouger.
– Et pour commencer ma Sandrine, cette virginité que tu trimballes partout comme un graal sacré, le mieux, c’est encore de la perdre en famille tu ne crois pas ? Et ce rouleau à pâtisserie fait partie de la famille.
La belle-sœur maigrelette qui tenait les jambes de Sandrine les écarta en gloussant, charmée par l’idée démoniaque de sa mère. Sandrine ne parvenait même pas à se débattre, elle sanglotait sans pouvoir réagir.
– T’inquiète pas Sandrine, je sais y faire. Je vais pas te pénétrer sans préliminaire.
La belle-mère se pencha entre les cuisses de Sandrine et donna un long coup de langue en remontant depuis l’anus jusqu’en haut du pubis, comme un chien aurait léché une main pleine de chocolat. Sandrine pleura encore davantage, suppliant sa belle-mère de la laisser partir. La méchante femme approcha le bout du rouleau à pâtisserie entre les lèvres intimes de Sandrine.
– Putain que c’est dommage quand même, une vulve comme ça… T’aurais pu me rendre riche si t’étais pas aussi incontrôlable.
Puis elle chercha l’entrée du sexe de Sandrine pour enfoncer l’ustensile de cuisine. Mais au moment où elle s’apprêtait à l’insérer, une voix l’interrompit.
– Si tu lâches pas immédiatement ce rouleau, j’éclate la tête de ta fille.
Marianne était en bas des escaliers, une batte de baseball dans les mains, et de là où elle se tenait, la batte derrière l’épaule prête à partir, la tête de la sœur grassouillette était exactement dans son axe de tir.
La belle-mère recula sa main, un sourire mauvais aux lèvres, puis elle fit signe à ses deux filles de laisser Sandrine se lever. Ce que la jeune fille fit immédiatement. Elle courut se réfugier, nue, derrière son amie.
– Monte chercher quelques affaires, on s’en va ma Sandrine.
– Et papa ? demanda Sandrine dans un sanglot.
– Il vient avec nous.
Sandrine n’ajouta pas un mot et grimpa les escaliers vers sa chambre. Marianne poussa la sœur grassouillette à genoux de façon à ce qu’elle soit allongée sur le ventre, puis elle se positionna juste au-dessus de sa tête, la batte de baseball collé contre la joue de la sœur.
– Une de vous deux bouge, je lui éclate la mâchoire.
– Vous êtes foutues, toutes les deux.
Marianne regarda la belle-mère dans les yeux, appuya son talon sur le cou de la sœur à ses pieds, et souleva la jupe de la jeune fille à l’aide de sa batte.
– Tu ne bouges pas, et en plus tu fermes ta gueule.
– Tu la touches, t’es morte.
Marianne, un sourire aux lèvres, baissa la culotte de la sœur à l’aide de la batte de façon à découvrir ses fesses. Elle passa ensuite la batte entre les cuisses et la frotta doucement contre la vulve. Quand la belle-mère fit un pas en avant, Marianne enfonça le talon de sa chaussure dans le cou de la sœur et inclina la batte comme prête à être insérée dans l’intimité.
– Un pas de plus et sa chatte sera hors course pour plusieurs mois.
Les deux sœurs pleuraient tandis que la belle-mère ne quittait pas des yeux Marianne. Sandrine redescendit, habillée et avec deux sacs dans les bras, puis elle attrapa quelques affaires de son père. Pendant ce temps, Marianne continuait de frotter doucement la batte contre le sexe dévoilé de la sœur, un sourire aux lèvres. De temps en temps, elle tapotait la vulve, pour rappeler qu’elle pouvait lui briser le périnée en un éclair. Puis Sandrine s’approcha en poussant son père installé dans sa chaise roulante.
– C’est bon, Marianne, je suis prête.
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