- Lire le début de l’histoire : La Perfection – Partie 1
On parla beaucoup de « l’expérience », dans les couloirs du centre de recherche. On murmurait partout combien elle avait été concluante au-delà des espérances. On racontait comment la jeune médecin pourtant entraînée et dotée habituellement de beaucoup de sang-froid n’avait pu se contenir. Elle avait joui plusieurs fois, demandant à trois reprises à son sujet, François Martin, de lui faire l’amour et sous les yeux de son mari.
Sur les scanners qui avaient immortalisé l’expérience, on pouvait voir les zones de plaisir dans le bassin et le cerveau des deux sujets s’illuminer de manière impressionnante.
Il y avait trois jours que l’accouplement avait eu lieu et c’était l’effervescence dans le centre. On était parvenu à atteindre l’objectif de toutes ces années de recherche. Le sexe aux dimensions parfaites avait été enfin identifié et testé.
Dans tous les hôpitaux du monde, on réaliserait des prothèses à partir du moulage du pénis de François Martin. Il deviendrait la référence pour tous les chirurgiens esthétiques, sans parler des créateurs de sextoys… On pouvait d’ores et déjà prévoir des ventes conséquentes du sexe de François Martin version vibrante… C’était un immense succès scientifique mais également financier. François Martin allait faire la fortune d’un grand nombre de personnes, à commencer par lui-même.
Ferdinand se réjouissait, comme tout le monde, de la façon dont ces années de recherches étaient sur le point de se conclure. D’autant que c’était lui qui en était à l’origine.
Depuis trois jours, François Martin était escorté jour et nuit dans tous ses déplacements par des gardes du corps armés. On devait le ménager avant de prendre l’empreinte de son sexe à tous les stades de sa raideur progressive. Or beaucoup de femmes rêvaient d’une galipette avec lui… Il ne fallait pas user ce sceptre si précieux !
Il régnait ainsi dans le centre une atmosphère résolument licencieuse que Ferdinand expliquait aussi par la joie partagée. Car jamais avant l’arrivée de François Martin, leur étude sur les pénis du monde entier n’avait provoqué un tel engouement lubrique. Ferdinand pensa alors à sa femme. Elle ignorait presque tout de son travail, elle ne pourrait pas comprendre ni pardonner ses écarts des derniers jours.
Car lui aussi, le chef du centre de recherche pourtant d’habitude si sérieux, s’était laissé emporter par la vague érotique qui avait submergé le centre.
Il y avait d’abord eu sa secrétaire, évidemment, parce que depuis le temps qu’ils travaillaient ensemble, se côtoyaient, une forme d’intimité était née entre eux. L’ambiance lascive avait fait le reste. Alors qu’ils célébraient la copulation exceptionnelle de François et de la jeune médecin un verre à la main, ils s’étaient embrassés fougueusement.
Puis ils s’étaient allongés sur la moquette de son bureau et bientôt leurs habits s’étaient envolés aux quatre coins de la pièce. Il l’avait pénétrée sans ménagement mais sans résistance tant elle était trempée de désir. Avec sa femme pourtant, il fallait des tonnes de lubrifiant, même après des préliminaires appliqués…
Il avait découvert chez sa secrétaire une toison fournie qui l’avait terriblement excité. Il avait adoré voir ses propres poils se mêler aux siens quand il la pénétrait. Et quand il avait joui, il avait senti son bassin craquer tant l’extase avait été forte ! Jamais avec sa femme il n’avait ressenti pareil plaisir, même au début de leur relation. Il en avait éprouvé une grande tristesse une fois la partie de jambes en l’air terminée, quand il avait observé sa jolie secrétaire se rhabiller le visage rougi par le plaisir.
Alors il s’était consolé dans les bras de sa collègue. Celle-là même qui avait fait l’amour avec François Martin pour la science. Et alors que son mari travaillait également dans le centre. Elle était venue le voir le lendemain, lui expliquant qu’elle était encore sous le choc de l’expérience, et comme il lui conseillait d’aller en parler au psychiatre qui travaillait avec eux, elle lui avait demandé de la sodomiser.
Comme ça, simplement, sans que cette requête n’ait aucun lien avec la discussion.
Ferdinand n’avait pas su quoi répondre. Tout était si bizarre depuis l’arrivée de François Martin, bien au-delà de ce qu’il avait prévu. Puis elle s’était levée, avait posé ses mains à plats sur son bureau en tendant sa croupe vers lui, le suppliant d’une voix sensuelle de la prendre par derrière. Il avait cédé, évidemment. D’autant qu’elle était une très belle femme, sportive, sensuelle. Lorsqu’il avait soulevé la jupe et découvert les deux fesses musclées et lisses, son pénis s’était aussitôt préparé au meilleur…
Le bout de tissu qui cachait à peine ses lèvres et l’entrée de son vagin lui avaient donné une seconde décharge de désir et il se sentait comme un adolescent maladroit devant cette merveille. Il baissa la culotte d’une main tremblante et découvrit sur la vulve une écume blanche et brillante. Il enfonça alors deux doigts dans cet antre excité.
La jeune médecin gémit et le pria de continuer… Et pendant que ses deux doigts allaient et venaient entre les lèvres, il observait l’anus de la jeune femme se dilater d’envie. Il brillait aussi et s’ouvrait parfois en même temps que la jeune femme poussait un gémissement de plaisir. Jamais il n’avait pratiqué la sodomie. Aucune des femmes qu’il avait connues n’en avait manifesté le désir… Et lui-même ne s’était jamais sérieusement posé la question.
Sans quitter des yeux ce rond rose au milieu des fesses, il retira ses doigts du vagin de la jeune femme, baissa son pantalon et son caleçon et appuya son gland gonflé sur l’anus offert. Il y eut une petite résistance, puis il s’enfonça en elle tandis qu’elle s’agrippait aux bords de la table, le souffle coupé.
Elle bafouillait mais il comprit qu’elle lui demandait de continuer. Alors il entama la culbute, la sodomisant d’abord doucement puis de plus en plus fort. C’était une sensation particulière, nouvelle, très agréable. Elle ressemblait à la pénétration vaginale tout en étant résolument différente… Comme si son pénis était retenue, enserré, et que le corps de cette femme voulait le garder. Il ne pouvait quitter des yeux l’élastique trop étiré de l’anus malmené. Et pourtant elle soufflait, criait, rugissait son plaisir. Elle aimait cette sodomie et ne le cachait pas. Quand il sentit l’orgasme monter, il ralentit sa cadence, effectuant des coups de bassin très lents. Si bien que lorsqu’il jouit finalement, son pénis était quasiment immobile.
La sensation fut tout aussi exceptionnelle qu’avec sa secrétaire. Il avait le sentiment de redécouvrir le sexe. Est-ce qu’il arriverait à rester avec sa femme après ces deux aventures érotiques hors norme ? François Martin avait tout chamboulé, pas seulement dans le centre de recherche, mais aussi dans son esprit et dans celui de tous ceux qui l’avaient approché ces derniers jours…
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