— Il est arrivé, Monsieur le Directeur.
— Faites-le entrer.
Ferdinand se leva derrière son bureau pour accueillir son visiteur de marque. Sa position de chef du centre de recherche l’avait habitué à croiser la route de nombreuses personnalités importantes sans qu’il ne s’en émeuve, mais cette fois, le caractère particulier de cette rencontre lui donnait le trac.
C’était un grand jour, l’aboutissement d’années de travail et de recherches qui allaient enfin porter leur fruit. Alors pour la première fois de sa carrière, Ferdinand se demanda s’il allait être à la hauteur. Cette mission capitale tombait sur lui, c’était à la fois un honneur immense et une très grande responsabilité.
La porte s’ouvrit et il s’efforça de sourire pour avoir l’air le plus à l’aise possible. François Martin passa la tête timidement et entra lorsque Ferdinand lui fit signe de s’asseoir. Il était difficile de savoir lequel des deux hommes était le plus mal à l’aise, mais Ferdinand ayant plus l’habitude de dissimuler ses émotions parvenait à donner le change.
Une fois François Martin assis, ils se regardèrent en souriant bêtement, sans qu’aucun des deux ne sache comment entamer la conversation.
— Vous avez fait bonne route ?
Ferdinand regretta cette question anodine. L’homme qui se tenait devant lui valait plus que ça.
— C’est un immense honneur de vous avoir parmi nous.
— Je vous avoue que je suis un peu dépassé par tout ça. J’ai d’abord cru à une blague, vous savez.
— Certainement, c’est le genre d’événement qui vous tombe dessus sans qu’on s’y attende.
— C’est-à-dire que oui, je n’ai rien demandé.
— Evidemment
— Mais tout cet argent… je veux dire, ce n’est pas pour l’argent que j’ai accepté…
— Sans doute.
— Mais quand même, ça m’a intrigué.
La secrétaire de Ferdinand entra en poussant un chariot massif sur lequel toutes sortes de boissons et d’aliments trônaient, bien présentés. Depuis le café jusqu’au whisky haut-de-gamme, il y avait tout ce dont on pouvait avoir envie.
— Monsieur Martin, que désirez-vous boire ?
— Oh, je ne dirais pas non à gin tonique. Toutes ces émotions…
Et aussitôt la secrétaire s’exécuta, préparant la boisson désirée pour l’invité de marque et un whisky pour son directeur, la boisson des jours spéciaux. François Martin sirota son verre un peu gêné par Ferdinand qui l’observait avec curiosité. Après une profonde inspiration et comme l’effet de l’alcool se manifestait déjà grâce aux bulles du tonic, François Martin lança, d’un ton inquiet :
— J’imagine que vous voulez la voir ?
— S’il-vous plait.
Ferdinand déglutit pour ne pas trahir son impatience, et la secrétaire s’immobilisa, retenant son souffle. François Martin hésita un instant, indiquant la secrétaire d’un mouvement de tête.
— Je vais peut-être attendre que la dame parte ?
— Il va falloir vous habituer Monsieur Martin… Tout le monde la verra bientôt.
— Vous avez pas tort.
Il termina son verre cul-sec puis se leva et retira d’abord ses chaussure, ses chaussettes et son pantalon. Il avait l’impression d’être chez le médecin. Ce n’était pas très agréable d’avoir ces deux paires d’yeux qui vous observaient en train de vous déshabiller. Avant qu’il ne retire son caleçon, Ferdinand le stoppa d’un geste.
— Attendez, il faut tout de même… Louise, sortez la planche.
Et la secrétaire s’exécuta, rapportant d’un coin de la pièce un autre petit meuble à roulettes. Ferdinand appuya sur un mécanisme et une petite planche sortit du meuble dans un cliquetis. Il invita François Martin à s’approcher et, à l’aide d’une molette, il régla la hauteur de la planche de façon à ce que celle-ci soit à exact niveau du bas-ventre de l’invité de marque.
C’est alors seulement que celui-ci retira son caleçon et déposa comme une offrande son pénis flasque sur la planche. Ferdinand ne put s’empêcher de penser au premier homme sur la lune. « Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité. »
Le directeur et sa secrétaire avaient perdu toute retenue et se tenaient maintenant au-dessus du Pénis exposé sans masquer leur fascination. François Martin avait 39 ans mais avec sa calvitie naissante et son petit ventre, on lui en aurait facilement donné davantage.
Il était comptable dans une petite entreprise en Aveyron, célibataire, amateur de musique classique et membre d’un club de lecture. Il n’avait pas d’autre famille que sa mère atteinte de sénilité et à qui il rendait visite une fois par semaine, même si elle ne le reconnaissait plus. François Martin était un individu timide, qui se résumait facilement et pourtant, il avait une particularité qui allait faire de lui un homme très riche et très célèbre.
Ferdinand sortit d’une petite trousse des instruments divers qui inquiétèrent François.
— Je devrais attendre demain, mais ma curiosité est trop grande, Monsieur Martin. C’est un pan d’histoire que nous traversons. Je ne peux m’empêcher.
François approuva d’un mouvement de tête et Ferdinand se mit au travail. Il plaça tout un tas d’appareils compliqués autour de la verge du brave homme qui se retrouva éclairé dans des teintes orangées.
— Ca ne va pas faire mal au moins ?
— C’est la dernière chose que nous désirons, Monsieur Martin.
Sur le petit écran du directeur, des chiffres apparurent, fruit des calculs de ses machines ultra modernes.
— C’est extraordinaire, c’est tout bonnement extraordinaire… Louise, nous vivons un moment unique.
— Je sais Monsieur le directeur, je suis tellement excitée…
Ferdinand quitta son écran des yeux et s’adressa à François.
— A ce propos, Monsieur Martin, vous serait-il possible d’avoir une érection ?
— Je ne sais pas trop… C’est un peu gênant. Laissez-moi me concentrer.
— Ne vous inquiétez pas, Louise va vous aider.
La secrétaire leva des yeux plein de reconnaissances vers son directeur.
— C’est un immense honneur.
Elle approcha ses mains tremblantes vers le sexe et le prit délicatement. Elle commença à le masturber timidement.
— Reprenez-vous, Louise. Vous ne parviendrez à rien en tremblant ainsi.
— Pardon Monsieur le Directeur, je suis si émue.
Ferdinand se radoucit aussitôt. Il ne pouvait que la comprendre. La jeune femme déboutonna son chemisier et présenta sa poitrine imposante dissimulée derrière un soutien-gorge. François Martin était charmé par ce spectacle mais toujours aussi gêné. D’une main, Louise attira le visage de l’homme entre ses seins tandis que de l’autre, elle continuait de le masturber. La raideur apparaissait progressivement, mais Ferdinand n’était pas encore satisfait. La verge n’avait pas atteint sa rigidité maximale.
Louise se débarrassa alors de son soutien-gorge et François Martin fut émerveillé par la poitrine parfaite qui se présentait à lui.
— Je peux ?
Louise lui adressa un sourire encourageant et il attrapa les deux seins à pleine main en les pressant doucement. Son pénis se mit à durcir plus nettement.
— Excellent, Louise. Veuillez continuer je vous prie, vous faites du très bon travail.
La jeune femme, ravie, prit une des mains de François Martin et la posa sur sa cuisse, l’invitant à la faire remonter doucement sous son tailleur vers ses fesses. L’excitation de François redoubla mais il ne se sentait pas libre dans ses mouvements. Il était obligé de tourner son bassin pour caresser la jolie secrétaire tout en laissant le directeur étudier son sexe resté sur la planche.
Louise se mit à gémir, excitée par la situation et les caresses sur son sein et ses fesses. Elle guida alors la main baladeuse vers son bas-ventre, pour que l’homme la caresse là où ça la démangeait de plus en plus… Mais à cet instant, Ferdinand s’écria :
— Ça y est ! C’est parfait !
Des larmes coulèrent sur ses joues et il serra François Martin dans ses bras. L’homme était un peu gêné, son sexe en érection se tordait contre la cuisse du directeur. Ce dernier s’en rendit compte.
— Pardon… J’oubliais que… Ce doit être désagréable pour vous… Cette excitation soudaine… Louise, vous voulez bien ?
La jeune femme s’agenouilla devant François Martin et leva des yeux embués de larmes vers lui.
— Monsieur, jamais je n’oublierai l’honneur qui m’est fait aujourd’hui.
Puis elle ouvrit la bouche et engloutit le pénis tout entier. François dut se tenir au meuble près de lui pour ne pas tomber tant la sensation était saisissante de douceur. Tandis que Louise le suçait de bon cœur, à un rythme parfait, ni trop rapide, ni trop lent, il devinait ses seins sublimes se balancer.
Jamais il n’aurait osé imaginer qu’il pourrait un jour avoir une femme aussi belle dans ses bras… Ce qui lui tombait dessus était un cadeau du ciel. Le directeur lui parlait, mais il n’écoutait pas, trop absorbé par le plaisir divin qu’il ressentait.
Quand il sentit monter l’orgasme, il voulut retirer son sexe de la bouche de la jeune femme, comme il le faisait avec son ex copine à l’université pour qu’il finisse dans un mouchoir, mais à sa grande surprise, Louise s’accrocha fermement à lui, avalant encore plus goulument son sexe prêt à exploser.
Et quand les salves de son plaisir se répandirent, elle immobilisa sa bouche, avalant avec gourmandise chaque goutte qui sortait de son pénis. François Martin ne se souvenait plus la dernière fois où il avait autant joui. Quand la brume de l’extase commença à se dissiper, il entendit à nouveau la voix du directeur.
— … raison, Monsieur Martin. Les calculs le confirment. Avec une longueur de 13,9863892419 cm et une circonférence de 8,7928167392 cm, votre pénis est officiellement le plus parfait au monde. Celui capable de satisfaire la quasi totalité des femmes du monde. Merci, Monsieur Martin, d’être là aujourd’hui avec nous.
Et tandis que Louise continuait de nettoyer avec application son pénis entre ses jambes fébriles et qu’il ne portait que sa chemise, Ferdinand lui serra la main avec émotion.
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