Pour le bien de l’Humanité, la science s’intéresse parfois à certains maux auxquels personne n’aime à songer tant leur simple évocation provoque frissons d’horreur et tremblements d’épouvante… C’est précisément le cas avec ce sujet qui risque de faire vaciller ces Messieurs et créer des moues de compassion du côté de la gente féminine empathique : la fracture du pénis.
Les chercheurs d’une Université au Brésil se sont en effet penchés sur ce sujet douloureux afin d’en connaître un peu plus sur ce mal qu’ils qualifient eux-mêmes de problème assez rare, mais dont la nature même dissuade certaines victimes d’aller consulter immédiatement, se créant des conséquences plus handicapantes sur le long terme…
Les universitaires ont donc mener leur enquête auprès de patients ayant été victime de ce traumatisme pénien afin d’en savoir plus sur les manières dont cette fracture est apparue, voici leurs résultats !
Age, traumatisme, séquelles
Qu’est-ce qu’une fracture du pénis ?
La fracture du pénis consiste en fait en une rupture du corps caverneux (il n’y a pas d’os dans le pénis) provoquée en général par une intensité de pilonnage un peu trop élevée ou un mauvais angle de tir provoquant une pliure soudaine et violente du sexe en érection, et donc une déchirure interne.
Le blessé type
Dans l’échantillon étudié, il a environ 34 ans et s’est blessé lors d’un ébat torride hétérosexuel dans 86% des cas et donc dans une galipette fracassante homosexuelle dans 14% des autres.
Les symptômes
Si certains de nos lecteurs mâles sont un peu sensibles, je les invite fortement à passer directement au paragraphe suivant, mais si vous êtes prêt à affronter la vérité en face, alors sachez que sur la totalité des interrogés, 90% ont déclaré avoir ressenti une douleur (on se demande ce qu’on ressentit les 10% restant), 92% ont vu apparaître un hématome, 45% ont vu leur attribut enfler et 50% ont entendu un « crac »…
Les séquelles
Ces malheureuses victimes ayant été interrogées à l’hôpital, il s’agissait uniquement d’hommes ayant eu la bonne idée d’affronter le corps médical. La conséquence de cette prise en main est que seul 4% des interrogés ont constaté des séquelles consistant exclusivement en un dysfonctionnement érectile.
Circonstances de l’accident
Si vous souhaitez mettre les statistiques de votre côté en les contournant du mieux possible pour éviter la catastrophe, voici dans quelles situations ce fâcheux accident est arrivé.
Trébucher pendant la galipette
Dans 76,2% des cas, c’est bien lors d’un rapport que la fracture a eu lieu.
Et la position la plus dangereuse est indéniablement l’Andromaque qui est responsable à elle seule de 50% des fractures !
Elle est suivie par la levrette avec 28,6% et le missionnaire avec 21,4%…
Déraper pendant la masturbation
Dans 14,3% des cas, l’homme souffrant de fracture du pénis s’est débrouillé tout seul pour arriver à ce douloureux résultat (enfin, douloureux pour 90% d’entre eux…), ce qui prouve que le plaisir solitaire peut être également très fougueux !
Conserver une part de mystère
Pour les 9,5% de cas restant, les chercheurs n’ont pas réussi à clairement déterminer les circonstances de l’accident. En même temps, on peut comprendre que des messieurs ayant passé plusieurs heures à exhiber leur pénis à des médecins aient envie de conserver une petite part de mystère et d’intimité…
Conclusion
Même si l’on retiendra que la femme au-dessus de l’homme pendant le rapport est le principal chemin qui conduit aux urgences, il faut relativiser la dangerosité de ce doux exercice qu’est la galipette, le nombre d’accidents de ce type n’étant pas si fréquent. En effet, l’étude a été menée dans 3 hôpitaux pendant 13 ans et seulement 44 hommes ont ainsi vécu ce type d’accident pendant toute cette durée. Et si par malheur, Monsieur venait à briser son mât en allant chercher avec trop de ferveur à mener madame en haut de la vague de plaisir, en attendant de retrouver toute sa puissance d’antan, vous pourrez prendre son mal en patience en usant et abusant d’un fier vibreur qui servira de béquille dans un premier temps avant de devenir un fidèle assistant au retour de convalescence !