Jeune et talentueux joueur de football, mon « incorporation » dans l’équipe première du club fut pour moi le souvenir d’une défaite mémorable (5 à 0) mais aussi l’occasion de la découverte du monde candauliste.
A l’issue d’un match au résultat amer, déçu et le moral dans les chaussettes, mon Président vint à mes côtés tandis que je m’apprêtais à me doucher.
— Allez gamin, il y aura d’autres jours plus drôles… Le succès ou la défaite sont deux menteurs. Ne te tracasse pas tu sais. Si tu veux ce soir, viens à la maison, on reparlera de tout ça. Ma femme a le don pour remonter le moral.
Un peu naïf, je pensais me retrouver chez lui avec d’autres joueurs, pour refaire le match, boire un coup, développer notre esprit revanchard pour le match retour…
Mais non, le propos et l’esprit étaient bien autre ! Je fus tout d’abord assez surpris de me retrouver seul dans la voiture avec lui :
— Monte, gamin !
— Et les autres ?
— Non, ils ne viennent pas, ils vont au Macumba Club. Tu connais ? Ils vont se « picher » pour oublier tout ça ! Draguer ou se faire draguer sûrement par quelques fans consolatrices… Peut-être en choper une ou deux et demain tu verras, ça ira tout seul à l’entrainement !
Un peu surpris par ces confidences transparentes, je regardais mes chaussures et ne savais trop quoi dire… Demain, moi, j’avais école et je ne voulais pas rentrer trop tard.
À dix-huit ans, on est majeur et en pleine forme, il n’empêche que le lendemain j’avais école.
— Oh, mais c’est qu’il est timide…T’inquiète pas, gamin, ma femme va nous faire un petit repas… Tu vas voir, tu vas te régaler !
— Merci, monsieur.
— Monsieur ? Appelle-moi Lucien ou Lulu comme les autres. Tu sais, après chaque match, je fais venir un joueur à la maison. J’adore refaire le match et le revivre au contact… De plus, tu vas voir, ma femme est super sympa et elle saura y faire pour nous décontracter et nous faire oublier la défaite !
Perdu dans mes pensées, je ne fis pas attention à la route menant vers sa superbe maison de Maître. Aussitôt à l’intérieur, mon Président me fit m’installer sur le grand canapé du salon cosy et bourgeois :
— Une bière, champagne, alcool ? Ma femme ne boit que du champagne… On en donne au mourant tu sais, dit-il, partant d’un rire sonore !
— Chéri, tu es déjà rentré ? Je ne t’attendais pas si tôt. Tu sais pourtant que j’aime me préparer pour tes joueurs et les après-matchs ! Oh mais qui voilà… ah, c’est le petit jeune dont tu m’as tant parlé ! Celui qui est doué pour son âge et aussi bien pourvu par la nature d’après ce que tu m’as laissé entendre ?
— Chérie, allons… laisse-moi d’abord te le présenter. Allez, viens nous rejoindre, ma belle !
— Non, je ne suis pas encore habillée. J’arrive. Je passe une robe et je suis à vous !
— Ne t’inquiètes pas, gamin, tu sais, elle est nature… Elle va te plaire et tu vas lui plaire j’en suis sûr ! Elle est belle, ma femme ! Elle plait à tous et j’adore qu’elle plaise !
Effectivement, elle était magnifique. Imaginez un gamin de dix-huit ans devant une femme belle, élégante, classe, brune altière au port de tête noble… Je rougissais et n’osais la regarder. Il ne lui avait fallut que quelques minutes pour mettre sa robe, et quelle robe, noire en satin, fendue jusqu’en haut de la cuisse agrandissant encore des jambes splendides et quasi sans fin, un décolleté de rêve plongeant vertigineusement au plus profond de ses seins. Elle s’assit à mes côtés, face à son mari et dit :
— Alors c’est lui ? Ce qui immanquablement me fit encore plus rougir. Oh mais oui, il est timide. Tu m’as dit que c’était peut-être cela qui l’empêcherait d’aller plus haut dans le foot. Mais il ne faut pas. Tu peux avoir confiance en toi. Et en nous… dit-elle en validant son propos par un regard espiègle à destination de son homme. Allez petit, tu vas voir, on est bien chez le Président.
— Et la Présidente ! ajouta encore plus coquinement son mari.
— Mets-toi à l’aise… Tu sais, ils sont tous venus à la maison et ça s’est super bien passé. Oui tous les joueurs, un jour ou l’autre sont venus ou viendront. Reviendront même pour certains privilégiés. Tu pourras leur demander ! Il y en a même qui insistent pour revenir. Et des fois à plusieurs, dit-elle en riant. Et alors les soirs de victoire… Je ne te raconte pas ! Hein mon Lulu, ils savent que je sais recevoir mon Amour ! Allez, détends-toi, je suis là pour toi… Rien que pour toi ce soir. Demande-moi ce que tu veux ! Toi aussi mon Lulu. Tu ne le sais que trop bien, la Présidente est toujours là les soirs de matchs et encore plus les soirs de défaite. Elle est généreuse, la Présidente, hein mon Lulu d’amour ?
— Oh que oui ma chérie ! C’est pour ça que je te l’ai ramené… C’est sa première défaite alors, soigne-le bien. Tu sais, j’ai vu qu’il n’avait pas le moral… Tu vas me le requinquer comme tu sais si bien le faire, ce gamin. Allez, je vous laisse quelques minutes. Faut que je téléphone aux autres clubs pour savoir les résultats et voir si on n’est pas trop descendus… Occupe-toi bien de lui, je reviens !
Alors qu’il venait à peine de nous tourner le dos, la Présidente mis sa main sur mon genou.
— Allez, parle-moi de toi, petit… tes études… ta vie… tes projets… tes copines… Je suis curieuse et j’aime tout savoir des hommes de l’équipe de mon chéri ! Ce sont un peu mes enfants, mes fils, mes amis, mes confidents, mes amants pour les plus doués… ajouta-t-elle en riant.
Je commençais à sentir petit à petit l’effet du champagne qu’elle me servait généreusement… Je n’en avais jamais trop bu et le match m’avait un peu vidé. Pour autant, je me sentais de plus en plus détendu… Sa main caressait sans cesse ma cuisse ou me la tapotait amicalement, suivant ce que je lui narrais, comme pour s’assurer de sa solidité.
Je me sentais moins rougir, quoique ? Elle me resservit une énième coupe… Pour ce faire et saisir la bouteille fraîche, elle se leva et tandis que je me redressais en avant sur le canapé, ses fesses admirablement galbées vinrent à hauteur de mes yeux, presque sous mon nez. Puis elle se rassit…
L’image de son cul magnifique, moulé dans sa robe féerique restait comme gravé dans mes yeux… Je sentais immédiatement une érection poindre. J’étais à la fois gêné et aux anges. Je ne savais pas quoi faire, comment réagir… Se rasseyant à mes côtés en me tendant le verre de nouveau empli par la divine boisson, elle fit glisser sa main jusqu’à la turgescence naissante de mon sexe sans me quitter des yeux. Elle me caressa par-dessus mon jean moulant. Imaginez mes pensées du haut de mes dix-huit ans !
Littéralement « scotché » sur ce canapé, mes yeux ne savaient où se poser ! Sur cette main massant délicieusement mon sexe durcissant ? Sur ces seins opulents et manifestement gonflés de désir ? Sur ces yeux d’un bleu clair si captivant ? Sur cette bouche qui ne cherchait visiblement qu’à me dévorer ? Sur cette porte par où Lulu, son mari, le Président était parti et menaçait à tout instant de revenir ? J’ânonnais d’ailleurs quelques syllabes en ce sens tant il me semblait entendre le bruit peu léger des pas de mon hôte. J’étais pétrifié, ce qui n’arrangeait rien ou ne gâtait rien au niveau de mon érection d’ailleurs !
Loin de s’arrêter à mes naïves considérations de jeune homme (pour tout vous dire, je n’étais pas un expert de la chose, j’avais depuis mon dépucelage à quinze ans fréquenté peut être cinq ou six amies avec qui j’avais eu des relations que l’on pourrait qualifier d’aléatoires, guère plus. Et encore moins celle du candaulisme dont j’ignorais alors jusqu’au nom et l’existence !) La belle s’activait à présent sur ma braguette ! Elle en sortit rapidement mon sexe m’apportant du coup la « libération » d’une douleur devenant insoutenable et m’octroyant la plus grande honte ou gêne jamais ressentie.
Là, à quelques mètres, son mari venait d’entrer. J’allais être viré de chez lui, c’est sûr ! Viré du club ! Faire fi d’une carrière éventuelle ! Ne pas obtenir le job d’été que j’espérais (Il était propriétaire d’une grosse entreprise de distribution de spiritueux et il avait promis de m’embaucher !), obligé de faire des excuses d’une faute que je n’avais même pas commise… Qui était ce jeune qui avait tenté de baiser la femme du Président qui l’avait invité à dîner ? Mais madame goba mon engin et monsieur s’assit tranquillement en face:
— Alors, gamin ? Je te l’avais dit qu’elle était super douée pour te décontracter après un match ! Quoique… Il riait fort. Quand on voit comment tu es tendu mon petit ! Ça laisse rêveur, elle a du boulot ce soir la Présidente… Mais je la connais, elle aime ! Laisse-toi aller. Laisse-toi faire.
— Tu vois chérie, je te l’avais dit qu’il était bien doté le petit dernier ! Va ma belle, fais-le bander, fais-le jouir, il a vraiment besoin de se changer les idées. Occupe-toi bien de lui, il le mérite. Il est doué tu sais… Enfin au foot en tout cas, il a du potentiel. À ce que je vois, il n’y a pas qu’au foot d’ailleurs… Bel outil mon garçon ! Il est pour toi ma chérie que j’aime et à qui je ne sais rien refuser. Je sais que tu as un appétit sexuel débordant, une passion pour le sexe et les hommes… C’est aussi pour me faire pardonner de mes absences, de cette passion, de cette maîtresse dévorante qu’est le foot et qui me prend tout ou presque de mon temps et de mon énergie. Quand je recrute un joueur, c’est d’abord à toi que je pense mon Amour. Je te dois tant !
Il s’adressa ensuite à moi.
— Moi aussi, j’en ai besoin au lit. Je suis quasi impuissant ou sans libido, vidé après chaque match, même les entrainements et ce depuis des années. Hors de question pour moi de me résoudre à voir ma femme malheureuse et à ne plus lui faire l’amour. Alors tu sais, gamin, quand on est comme moi marié à une aussi belle créature… Elle est belle ma femme, hein gamin ? Que l’on a les moyens… Qu’on est Président d’un club de sport populaire avec de beaux spécimens masculins que l’on paye et entraine pour être au meilleur de leur forme. Tu sais, quand après les matchs je vois toutes ces belles et jeunes bites sous la douche, parfois encore pleines d’énergie au vu du match que leur propriétaire a réalisé… Je m’en voudrais de ne pas les lui offrir, de gâcher tout ce potentiel, tout cet investissement, toutes ces frustrations liées aux défaites, toute cette énergie euphorisante liée à la victoire… Alors, oui, je n’ai qu’une envie, une seule envie, en faire profiter ma femme. Elle a tant sacrifié à ma passion… Alors lâche-toi ce soir, profites-en, ce ne sera pas tous les dimanche, dit-il en riant. On ne perdra pas tous les matchs et si tu es « sélectionné », surtout par ma femme en fait, tu pourras revenir aussi les soirs de victoire et là, c’est vraiment champagne ! C’est elle qui fait l’équipe ! Je n’ai rien à dire, je l’aime tant, je lui donnerais tout ! Comme toi, va gamin, va, donne-lui tout ce qu’elle attend, tout ce qu’elle mérite, car elle le mérite, crois-moi ! C’est votre première fan ! J’aime, j’adore la voir jouir et vous voir jouir. C’est comme si moi aussi je jouissais, vraiment, son plaisir, votre plaisir est le mien. C’est comme au foot, gamin, si tu savais… J’ai jamais su jouer, mais quand toi, tu marques, si tu savais le pied que je prends… la jouissance que je ressens… Alors, oui, baise ma femme, fais-le bien, donne-moi du plaisir gamin. Donne-moi du plaisir comme tu m’en donnes quand je te vois t’échapper avec le ballon, accélérer, distancer tous tes adversaires et tirer, tirer pour envoyer toute ta puissance, toute ta purée dans les filets adverses… Oui, baise-là à fond, tire, tire-la gamin !
J’ai fermé les yeux. Ses paroles tourbillonnaient dans ma tête. Sa femme à mes pieds, prête à toutes les offrandes pour moi, pour lui, pour le club… Quel moment, quel après match, quel club !
Madame se régalait de mon sexe tendu à l’extrême. Oui, je commençais réellement à me détendre l’esprit et le corps. Elle m’invita à me lever pour me sucer avec plus de confort pour elle et pour moi. Elle me caressait, flattait, léchait les bourses en me titillant le sillon fessier. C’était délicieux. Et elle y prenait véritablement plaisir, m’adressant de temps à autre une œillade gourmande et complice. Elle devait effectivement apprécier et m’apprécier ! Monsieur le président lui, semblait aux anges. Il n’arrêtait pas de flatter sa femme.
— Oui ma belle, vas-y, suce-le bien. Je sais que tu aimes. Hein tu les aimes mes joueurs ? Mes gamins… Comme moi je les aime. Caresse-lui les couilles, lèche-les… Tu es trop belle, j’aime te voir aussi le faire tu sais ma chérie. Oh merci mon Dieu de m’avoir donné cette petite femme d’amour qui succombe à ses désirs et aux miens… Hein gamin qu’elle est belle ? Tu sais il y en a qui pensent que je fais ça parce que je suis Président et que je peux tout me permettre, tout m’offrir… Oh non… ils pensent que ma femme est comme le club, ma soumise, mon objet, ma « pute », que j’en fais ce que je veux… Non, non, tu sais, ils n’ont rien compris gamin ! Rien compris du tout… Ma femme fait ce qu’elle veut, quand elle veut avec qui elle veut. Et c’est parce que j’aime la voir heureuse, libre, et parce que moi je ne peux plus lui donner tout ce dont elle a besoin que je lui accorde tout ce dont elle a besoin… Et oui gamin, tu vois, je ne peux pas tout me permettre. Même un Président à qui tout réussit. Qui a tout ce dont rêves les autres. Le pognon, les bagnoles, les filles, les femmes, la gloire, la vie facile… Oui, même un président comblé ne peut pas tout avoir… Retiens bien la leçon ! En fait, ce n’est pas moi tu sais qui donne… C’est elle et uniquement elle. Moi je suis là, je regarde, j’assiste, je lui propose… Parfois tu sais, ce n’est qu’elle qui décide. Faut que je te raconte un truc, tu vas comprendre. Dieu qu’elle est belle… Et toi aussi gamin, vous êtes si beaux tous les deux, là comme ça devant moi… Je la sens, je la sais heureuse. Je vous sens heureux… C’est bien… Et moi aussi vous me comblez… Allez donne-lui ta belle bite… Elle aime tu sais, cela se voit, je le sais depuis si longtemps, tu le sais toi maintenant ! Bande, bande… Pour elle, pour moi, pour vous, pour le club, pour nous… Fais-la jouir ! Jouis ! Jouis !
Il est vrai que du haut de mes dix-huit ans et sous l’expertise de Madame, je sentais que je n’allais pas tarder à partir… Plus je tendais mon sexe à la bouche divine de la Présidente, plus j’avais envie d’aller en son fond, qu’elle accélère, et plus je sentais aussi son envie de me dévorer ! J’avais d’ailleurs posé une main derrière la tête et commençais à imprimer moi-même le rythme que je souhaitais… Elle l’avait compris et me laissait la « main » si j’ose dire…
— Oh oui, j’aime ! tonnait le Président les yeux rivés sur les mouvements et les lèvres de sa femme. Oh oui, que c’est bon ! Tu sais, gamin, tu es doué, très doué même… La présidente aime. Je la connais si bien. Hein, ma belle, que tu aimes, que tu l’aimes ce minot et surtout sa bite. Je t’avais dit qu’il était sacrément prometteur et qu’il me tardait de l’incorporer dans l’équipe première, dans ton équipe première ! Tu sais ce qu’elle a fait un jour ? Tu vas voir ! Un jour de défaite, en finale en plus, une coupe de Normandie… Tu te rends compte gamin, une coupe de Normandie ! J’étais énervé, furieux après le match et pour faire passer ça, j’avais invité les deux plus mauvais du match à la maison ce soir-là… Je m’étais dit qu’ils ne pouvaient pas être aussi mauvais partout. Ou qu’étant si mauvais ce jour-là, ils n’arriveraient même pas à se lever la moindre poulette au Macumba où pourtant je laisse des tunes après chaque match pour qu’ils soient bien mes petits, oui, ça me coute un « bras » tu sais ! Mais quand on aime !
J’avais demandé à Josette, (c’était la première fois qu’il prononçait devant moi le prénom de son épouse) comme d’habitude, si elle voulait bien me faire plaisir et se faire plaisir en recevant les deux « zozos »…. Et tu sais ce qu’elle m’a répondu ma douce, ma belle, mon unique ? Oui, cette même belle et magnifique femme qui te suce en ce moment. Dieu qu’elle est belle, hein ? Non, tu ne vas pas me croire… Elle m’a demandé de faire venir également l’avant-centre et le gardien de l’autre équipe… Ceux-là même qui nous avaient humiliés sur le terrain ! Elle a insisté pour que je les invite au restaurant, que je paye un max et trinque avec ceux qui nous avaient battus… Et elle leur a fait tellement du rentre dedans que ce sont eux qui sont venus là… Oui, là, à ta place ! Et crois-moi, elle s’est donnée, elle ! Elle a fait le boulot, elle, ce soir-là. Et surtout, elle m’a fait du bien. Tu sais, elle nous a vengés… Elle, elle s’est vraiment donnée à fond ! Crois-moi ! Oui elle a été bonne… Bien meilleure que n’importe lequel de mes joueurs ce jour-là… Et je lui en suis éternellement reconnaissant, crois-moi. Oui, elle m’a montré ce qu’est le « vrai » travail d’équipe, la solidarité, le don de soi, de l’effort… En fait, les deux mecs du club, de mon club sont restés en retrait et elle les a obligés à la mater se donnant à l’adversaire comme une prise de guerre pour que nos joueurs, ces deux toquards -je l’ai ai virés depuis- comprennent bien toute l’humiliation ressentie par tous nos supporters et par moi en premier. Oui, c’est elle et elle seule qui a été digne ce soir de défaite, magnifiant, glorifiant ce jour en s’offrant comme jamais aux deux vainqueurs. Oui, elle est toujours aussi belle et pour moi c’est la plus belle femme du monde et je l’aime encore plus quand elle me pousse au maximum de l’amour… Oui tu sais gamin, c’est un « monstre d’amour » qui te suce en ce moment. Si tu savais la chance… Tu as à tes pieds la déesse de l’amour gamin !
Oh oui je mesurais la chance et comprenais réellement ce que ce fou amoureux, et de sa belle et du club de foot, me donnait, m’offrait comme leçon et comme définition du candaulisme. Je venais là, à cet instant précis, de lâcher la « cavalerie » dans cette bouche et sur ce visage si divin… Que c’était bon… Oh oui que c’était bon de jouer dans un tel club et pour un tel président. Ce fut mon unique club…
Fin
Article écrit par Kamadeva
Toulousain de 56 ans, hétéro curieux, libre avec un esprit « esthète » et « artiste », s’octroie la liberté totale par les mots et les textes. Cadre de la fonction publique, sérieux et passionné, s’évade des tabous et censures pour imaginer et vivre une sexualité libre et dénuée de préjugés.Philosophe de la vie, épicurien convaincu, coquin en Diable, son souhait? Vous entraîner vers tous les possibles et les imaginables…!