Pour beaucoup de jeunes lycéens ayant fraichement terminé le compte à rebours des classes commencé douze ans plus tôt, le choix de la branche dans laquelle poursuivre est parfois difficile. A 18 ans, son bac encore tout chaud dans la poche, on ne sait pas toujours la direction que l’on veut donner à sa vie professionnelle…
Si le sujet que nous allons aborder ici n’apportera aucun éclaircissement quant au choix d’un avenir professionnel plutôt qu’un autre, il permettra cependant à quelque étudiant passant par le blog de savoir dans quelle université se rendre pour avoir toutes les chances d’échanger quelques plaisirs du corps.
Voici donc, grâce à une poignée d’étudiants anglais qui se sont penchés sur la question, les taux de perte de virginité par branche d’étude !
Des études et des ébats
11 549 étudiants ont accepté de partager leur plus intime secret en dévoilant quelques info sur leur vie sexuelle de manière à obtenir ces moyennes virginales…
Les plus chastes
Si vous recherchez de la chaste compagnie peu portée sur la chose érotique, c’est indéniablement les futurs ingénieurs informaticiens qu’il faudra côtoyer puisque ces étudiants ont le plus fort taux de virginité : 10% n’ont encore jamais goûté aux plaisirs voluptueux. Vous pourrez également jouer à la belote avec ceux qui étudient la physique puisqu’ils suivent de près les informaticiens avec un taux de vierges dans leurs rangs de 9%.
La galipette avec un(e) débutant(e) : le temps, c’est de l’or
Si vous décidez d’aller vous jeter sous la couette avec l’un ou l’une de ces jeunes voluptueusement inexpérimentés, un seul mot d’ordre : prendre son temps ! Il est déjà fortement conseillé de s’adonner à de longs et langoureux préliminaires lorsque l’on a des milliers de galipettes au compteur, mais dès lors que l’un des deux ou les deux partenaires sont novices, c’est primordial !
Les caresses du corps, la stimulation des zones érogènes, l’éveil progressif du désir via de doux cunnilingus ou de délicates fellations sont autant d’étapes qui sauront mettre le corps à feu et le plaisir aux cieux…
Les sages à tendance coquine
Un peu plus loin derrière les précédents se trouvent les futurs dentistes avec 5% d’entre eux qui n’ont encore jamais expérimenté la galipette, talonnés de près par les chimistes, les étudiants en droit ou encore les ingénieurs et les futurs médecins, partageant tous le taux de 4% de vierges dans leurs rangs.
La galipette avec un amateur : la vibration au diapason
Si vous jetez votre dévolu sur un(e) de ces jeunes qui sait manier la jambe en l’air mais qui ne connaît pas encore toutes les subtilités extatiques du corps, passez à l’étape supérieure de l’exploration en incorporant quelques accessoires…
Commencez ainsi avec un masseur vibrant corporel pour un massage sensuel qui détendra d’abord les muscles du dos, de la nuque, des bras et des jambes avant de progressivement se diriger vers la zone intime… Poursuivez avec un masseur point G pour faire découvrir à la jeune demoiselle l’explosion de joie interne procurée par ce point de plaisir délicieux ou au jeune homme comment faire valser d’extases certaines demoiselles… Puis terminez par de torrides ébats accompagnés d’un masseur pour couples afin de découvrir les joies uniques de la vibration partagée !
Les plus dévergondés
Celle ou celui qui n’a jamais fait la bête à deux dos commencera à se faire rare si vous allez voir du côté des étudiants en sciences politiques, en philosophie, en langues étrangères, en économie ou en lettres, puisqu’à peine 2 étudiants sur 100 dans ces domaines n’ont encore jamais connu la jambe en l’air.
Et si vous recherchez la branche ultime où seul 1% des étudiants sont encore dans l’ignorance licencieuse, ce sera parmi les étudiants en art et ceux qui s’intéressent à la sociologie qu’il faudra vous aventurer…
La galipette avec un(e) pro
Si vous voulez en mettre plein les yeux à cet(te) étudiant(e) en art qui maitrise autant l’exploration artistique qu’érotique, montrez que vous aussi, vous avez l’esprit créatif en usant de tout votre savoir coquin.
Elle connaît le plaisir du point G ? Montrez-lui les ravages de délice du deep-spot… Il a déjà expérimenté le plaisir subtil du slow sex ? Faites-lui découvrir les délices de la stimulation prostatique ! Elle connaît l’amour les yeux bandés ? Ajoutez les menottes et le fouet pour expérimenter les joies du BDSM ! Il a déjà exploré les plaisirs risqués du sexe en voiture ? Montrez-lui ce que l’on peut faire dans une salle de cinéma… Surenchérissez le plaisir !
L’art de vivre de l’art
Les étudiants en art ne se font pas seulement remarquer dans les sondages coquins puisque le magazine d’économie Forbes a révélé que ces mêmes étudiants étaient également en tête des futurs travailleurs les moins bien payés du marché… De parfaits représentants de ce que l’on appelle vivre d’amour et d’eau fraîche !
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