Je me tenais dans l’embrasure de la chambre principale, observant la scène. Les mains de Farah tenaient fermement la tête de lit. Encadré par ses cheveux noirs et bouclés, son visage était grimaçant. Je savais qu’elle aimait ce qui se passait. Elle prenait un réel plaisir à se faire baiser par l’homme au-dessus d’elle. Elle n’avait aucun remords.
Ses jambes étaient enroulées autour de sa taille, ses chevilles le maintenaient en place. Ses orteils étaient peints en rose vif. Ses jolis seins noirs rebondissaient d’avant en arrière, tournaient sur eux-mêmes, à chaque poussée. J’adore ses seins. Je les ai toujours aimés. Ils sont d’une teinte brune avec des éclats sombres autour d’eux. Ses mamelons sont gros et se raidissent si le sexe est possible.
De temps en temps, au cours de cet épisode, j’ai aperçu son cul. Il se froisse, se détend, puis se froisse à nouveau. Et avec ses jambes écartées, je pouvais voir la chatte toute pleine de sa bite.
Il s’y prenait bien. Farah faisait rarement du bruit quand elle se faisait baiser. Ce type, lui, la faisait grogner. Elle a même fait des ooh pendant l’escapade. D’habitude, elle fermait les yeux quand ça chauffait, puis elle les ouvrait pour observer les réactions de la personne au-dessus d’elle. Cette fois, ses yeux étaient bien fermés. Chacune de ses poussées déformait son visage. Sa lèvre supérieure se retroussait en un grognement. Puis, à la poussée suivante, ses sourcils s’arquaient en signe de joie, comme si c’était son anniversaire. Puis le grognement revenait.
Sur le côté du lit se trouvaient sa culotte violette brillante, une courte robe jaune, un caleçon noir, un t-shirt blanc et un jean. Je l’ai toujours aimée vêtue de cette robe jaune. Elle fait si bien ressortir sa peau brune. La robe épouse sa taille haute et étroite, puis s’évase. Elle me permet aussi de jeter un coup d’œil sur son décolleté profond et sombre. Si elle bouge d’une certaine façon, ou si elle se penche pour attraper quelque chose, la robe s’étire et s’ouvre légèrement. Je pouvais voir la rondeur de ses seins et la base de son soutien-gorge. L’idée de ce que ce soutien-gorge soutenait me fait encore battre le cœur plus vite.
En voyant leurs vêtements jetés de côté, j’ai su que leurs ébats avaient commencé rapidement. La robe jaune, qui se noue avec une ceinture assortie, tombe ouverte, comme un peignoir. Il n’a pas joué avec elle, ne l’a pas caressée, ne lui a pas fait la cour. Ils étaient là pour une seule chose, et tous deux l’obtenaient. Cela lui convenait parfaitement. Sexe, bain, dîner, c’est l’ordre dans lequel elle aime que les choses se déroulent. D’autres fois, cependant, pour elle, l’ordre donné est celui de la baiser et de la baiser vite. Pas de jeu.
Il s’est redressé sur les genoux. Ses jambes se sont déverrouillées. Il s’est repositionné pour pouvoir sortir sa bite et l’enfoncer en elle, profondément et lentement. Saisissant les pieds de la jeune femme, il surveille l’entrée et la sortie de son sexe. Pendant ce temps, les mains de Farah descendirent pour se frotter le clito. Cette nouvelle position ne dura que quelques minutes. Bientôt, il était de nouveau au-dessus d’elle, la baisant avec force.
Ses mains se sont alors portées sur son dos et elle a enfoncé ses ongles roses, assortis à ses orteils, dans sa peau. Des traces rouges sont apparues lorsqu’elle a fait glisser ses ongles vers le bas. Elle passa le entre ses reins puis les enfonça profondément dans chacune de ses fesses. Il se crispa en réponse. Un rictus traversa son visage, dépassant la lèvre hargneuse et les sourcils réjouis. Elle aime voir la douleur sur le visage d’un homme et faire se cambrer son corps. Elle a envie de faire grimacer les hommes de douleur. Elle ne permet pas aux hommes de ressentir un pur plaisir. Il faut qu’ils grimacent quelques fois, qu’ils ne se contentent pas de laisser la délectation recouvrir leur visage tout le temps qu’ils la baisent.
Elle l’a fait rouler sur le dos, puis elle est montée sur lui. S’accroupissant au-dessus de lui, elle s’est assise sur sa bite. L’homme s’est accroché à la tête de lit. J’aime toujours la voir s’asseoir sur les hommes. Cela me donne l’occasion de voir sa chatte engloutir une bite. Elle sait si bien s’y prendre, faire sortir la bite presque de son corps et se rasseoir ensuite.
Ses seins sont également adaptés à cette position. Ils se balancent d’avant en arrière, comme des fruits suspendus. Si elle se calme, ils se prêtent parfaitement à la succion et au mordillement. Mais si elle reprend son travail, vous pouvez oublier ses gros seins, les hommes sont invités à se concentrer sur la pénétration uniquement. Elle est impitoyable quand il s’agit de la chambre à coucher.
Elle roule à nouveau sur le dos. Il a grimpé sur elle, entre ses jambes. Il l’a baisée pendant quelques minutes encore, jusqu’à ce que tout son corps se raidisse. Il est devenu une statue pendant un moment, alors qu’il laissait jaillir une explosion à l’intérieur d’elle. Il s’effondra de soulagement. Son corps reposait sur elle, l’écrasant. Leurs corps se frottèrent, sa poitrine contre ses seins, son ventre contre le sien, sa bite se flétrissant et se reposant contre elle.
L’acte était accompli. Il était content et elle aussi. Il n’y avait rien de plus à faire.
Ces rendez-vous sont sensationnels. Elle est étonnante à regarder, une actrice, qu’elle soit allongée sur le dos avec les jambes écartées ou qu’elle regarde un homme de l’autre côté d’un bar. Elle vaut la peine d’être regardée. Elle et moi devons maintenant nous mettre en quête du prochain homme.
* Cette fiction érotique a été écrite en anglais par la talentueuse Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici !