Mardi matin, alors que je suis en réunion, mon portable affiche un numéro en 06. Je ne le reconnais pas mais réponds. Mon interlocuteur m’indique qu’il a des fleurs à me livrer et demande si je suis chez moi. Je réponds par la négative. Il s’enquiert alors de savoir quand j’y serai. Plutôt vers 19h/19h30, je lui réponds. Il me propose de faire la livraison entre 19h30 et 20h. Un collaborateur me fait remarquer l’amabilité de mon ton plus prononcée qu’à l’ordinaire. Il me questionne sur l’expéditeur des fleurs. J’assure l’ignorer, entretenant ainsi l’image de la femme mystérieuse et fatale qui fait ma légende…
Le fleuriste sonne à l’interphone peu après 20h. Je lui propose de descendre les 3 étages à sa rencontre, mais il est déjà en train de monter. Le bouquet est magnifique. Je reconnais le style de Monsieur mon mari. Il me tend un papier et demande une signature. J’échange le bon de livraison contre les fleurs et complimente le fleuriste à propos de sa très belle voix. Il me semble le reconnaître. Il me sourit et m’informe que nous devons y aller, tous les deux, car la voiture gêne. J’entends les klaxons dans la rue.
Nous arrivons à l’Opéra. Surprise. Nous avons la 301. Il s’agit de notre chambre. Hasard ? Peut-être pas. La boîte à jeux est déjà dressée près du lit. Une tenue couvre le lit au pied duquel se trouvent de magnifiques cuissardes. Très belles pièces dont je me saisis avant d’entrer dans la salle de bains. Quelques minutes plus tard, mon « fleuriste » m’y rejoint. Je suis dans le bain qui avait été coulé à mon intention. Il m’embrasse dans le cou et s’assoit sur le bord de la baignoire. Me regardant droit dans les yeux, il me dit à quel point je lui manque, et qu’il aimerait que ce soit de temps en temps réciproque. Étonnée, je le fixe. Amusée. Je pense que mon mari a le don pour organiser nos « rendez-vous amoureux ». Mon fleuriste continue et me dit qu’il me pardonne parce qu’il doit être finalement le plus chanceux des hommes d’avoir une femme aussi inspirée et inspirante sexuellement.
Tout en disant cela, il s’approche de moi et plonge sa main dans la mousse. Il caresse ma cuisse droite. Tâtonne. Atteint mon bas ventre et la naissance de mon pubis. Je ne me fais pas prier pour ouvrir les cuisses. Sa main s’y laisse glisser. Il entrouvre mes lèvres. Ses doigts jouent avec mon clitoris qu’il frotte longuement, qu’il pince et tournicote entre ses doigts. Je me laisse aller. Je commence à me détendre. Ferme les yeux. Il pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue glisse entre mes lèvres alors que ses doigts me pénètrent en même temps. Elle cherche ma langue que je ne lui cache pas. La chaleur qui me saisit ordonne à mon bassin d’accompagner les mouvements de va et vient de sa main en moi. Mon corps ondule dans l’eau, mon souffle suspendu à ses lèvres. Je pense que je vais passer un excellent moment avec la permission de mon mari, et que rien que pour cela il faudrait que je lui montre ma reconnaissance un peu plus souvent. Je suis dans cet instant voluptueux, toutes mes lèvres en émoi et mon corps bouillonnant dans l’eau, lorsque la voix de T. me fait ouvrir les yeux. Mais il n’est pas là. Mon imagination me joue des tours. On verra plus tard pour les remerciements. Pas maintenant. Les soins du fleuriste sont trop bons. Nous continuons de nous embrasser. De mes mains je guide sa tête vers mes seins. Il résiste et ce faisant je découvre une oreillette qu’il m’engage à mettre.
La voix de mon maître se fait entendre. T. est bel et bien de retour. Sa voix résonne en moi. En anglais, il me dicte ce que je dois faire. Je lui obéis sans discuter. Je suis détendue. Mon cœur bat un peu vite, d’excitation. Je n’ai pas peur. Juste impatiente de voir où il m’emmènera cette fois.
Je me sèche. Passe une huile parfumée sur mon corps. Tout mon corps. Le fleuriste me donne un coup de main pour mes parties intimes, en particulier mon anus qu’il travaille, assouplit et ouvre de ses doigts consciencieusement. Obéissante, je le laisse faire en gémissant de temps à autre. T. me susurre à l’oreille des mots crus qui attisent mon désir. Fleuriste me chausse des cuissardes et m’aide à mettre le corset steampunk. Ma taille est enserrée. Ma chatte et mon cul sont entièrement à découvert. J’adore ! Fleuriste me laisse seule quelques instants. Je reste silencieuse. Respirant à peine. Je me positionne en mode soumise. Fleuriste revient et se met face à moi. T. me demande de poser mes mains sur ses hanches, d’écarter les jambes, et de me pencher. Ce faisant, je me retrouve nez à nez avec la queue au garde à vous du fleuriste que je m’apprête à prendre en bouche avant d’être stoppée par T. :
« Not yet ! But keep your mouth opened… Yeah! You’re a good girl… my beautiful slut! ».
Je m’exécute et garde ma bouche de belle salope suceuse ouverte. Fleuriste me montre trois buds. Du plus petit au plus gros. J’entends T. dans mon oreillette: S, M et L. Fleuriste me fait sucer S, puis M et enfin L. Je mouille terriblement pendant tout ce temps. Il met L dans sa bouche. Puis M. M reste dans sa bouche. Il me refait sucer L puis le remplace par sa queue toute érigée et dure. Enfin, une belle queue ! Je m’applique. Il gémit très vite. La situation doit particulièrement l’exciter. Il s’enfonce un peu plus dans ma gorge. Ses mains plaquées sur mes fesses entretiennent le mouvement de va et vient. Il écarte mes fesses. Entre un doigt. Deux. Tourne. Et enfonce doucement le bud L dans mon cul. Je râle. Je respire à peine. Qu’est-ce c’est bon.
J’entends T. dans l’oreillette. Il doit être en train de se masturber et ça m’excite encore davantage. Il ne me voit pas et ne peut que m’imaginer. Imaginer mon cul qu’il ne peut prendre lui-même ce soir. Une fois le bud bien en place, fleuriste se retire de ma bouche et m’emmène dans la chambre. Là il m’assoit sur le lit. Face à moi un écran et au dessus une caméra. T. est face à moi. Nu. Une tête de femme entre ses jambes. Il me salue d’un sourire qui en dit long. Il stoppe sa suceuse de bite pour me la présenter. Il l’a fait tourner sur elle-même. C’est « Jardin d’interdit », la rousse de ma « bachelorette party ». Elle est magnifique dans sa combinaison en lanières de cuir qui souligne son corps en laissant tout apparaître. J’apprécie. Et le leur fait savoir. « Jardin d’interdit » me présente leur boîte à jeux et me montre chaque accessoire un à un. A peine a-t-elle terminé que fleuriste me bande les yeux. T. m’explique les règles du jeu. Chacun d’entre nous est équipé d’une oreillette. Lui et moi seront les seuls à avoir les yeux bandés. Lui et moi seront les seuls à nous exprimer pour demander, lui à fleuriste, moi à jardin d’interdit de faire à son partenaire ce qu’on aimerait lui faire si on était en sa présence. Je crois que c’est à ce moment-là que je me suis demandé pourquoi je n’étais pas plus amoureuse de cet homme.
Fleuriste appose sa main droite sur ma taille et me fait pivoter. Je suis face au lit. D’une tape sur la fesse droite il me fait basculer vers l’avant. Mes mains m’empêchent de tomber tout à fait sur le lit. Je suis maintenant penchée au dessus du lit en appui sur mes mains. Pas le temps de me rendre compte. Un claquement sec sur mon postérieur me fait sursauter. Puis un deuxième, troisième. Et ainsi de suite. Les coups sont de plus en plus forts. Je ne crie pas. Pas tout de suite. Je n’ai pas encore avancé ma dame. Dans ma tête, je passe en revue tous les objets dont dispose « Jardin d’interdit ». Entre deux halètements je lui ordonne d’équiper T. de la cage à picots. De bien y enserrer son sexe. De l’allonger sur le lit. D’attacher avec des cordes ses mains et pieds à chaque coin du lit. Par contre je veux que les cordes restent lâches. Je veux que sa volonté le maintienne attaché plus que les cordes elles-mêmes. Et de se munir non pas d’un martinet ou d’une cravache mais du long fouet. Celui qui fait le plus mal. À ma demande, elle le caressera avec.
Ne supportant plus les coups portés par fleuriste, je commence à demander grâce. Le bud dans mon cul sous les pressions de mon sphincter sollicité par les coups accentue les sensations. Fleuriste continue. J’étouffe mes hurlements dans les draps. J’ai envie de rendre sa politesse à T. Mais trop tôt. Pas encore. Je sais qu’il m’entend comme j’entends son souffle s’accélérer. Les coups s’arrêtent. Fleuriste caresse maintenant mon cul endolori. Ça fait mal et en même temps je suis excitée par ma propre chaleur. Celle qui irradie de mon cul mais aussi celle qui s’écoule entre mes cuisses. Ses doigts entre mes jambes, fleuriste apprécie le résultat de ses efforts. Il se frotte contre mes fesses à vif. Je sens sa bite dure. Ça lui plaît aussi. Il plaque un peu plus fort mon cul contre sa queue renvoyant le bud dans mon cul. Je gémis à la fois de douleur et de plaisir. Je sens le bud, mon cul et ma chatte enflammés. Sa main libre caresse maintenant mes seins. Tire sur les mamelons. Les tortures. C’est fou ce que j’aime ça ! Toutes ces sensations contradictoires. J’halète telle une chienne ! Qu’est-ce que c’est bon. J’accompagne ses mouvements avec mon bassin. J’en veux plus. Mais il ne me pénètre pas encore. Il embrasse mon cul. Lèche les boursoufflures qu’il vient de me faire.
Je profite de cette accalmie et surtout d’avoir récupéré du souffle pour demander à jardin d’interdit de poursuivre avec sa bouche les caresses tout en gardant à proximité le fouet. Je veux qu’elle s’attarde sur toutes les zones sensibles de son corps hormis son sexe en cage. Elle sait ce qu’il aime. Sa bouche d’abord. Je lui ordonne de l’embrasser langoureusement comme une amoureuse (ce que soit dit en passant elle est), longuement. Le lobe de ses oreilles. En particulier le gauche. La ligne de son thorax jusque dans le creux de son nombril où elle s’attardera également. Ne pas oublier ses tétons. Je lui dis mon désir de l’entendre exprimer son plaisir. Elle s’exécute avec ardeur. Je le sais. Je ne tarde pas à entendre les expressions de plaisir de T. Elles me ravissent d’autant que c’est moi qui prends le contrôle.
Après quelques mouvements de va et vient avec le bud dans mon cul, fleuriste le retire avec délicatesse m’arrachant un cri de plaisir non dissimulé. Il est maintenant dans mon anus. Avec sa langue. Beau muscle épais qui explore cette partie de mon anatomie dont je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse me procurer tant de plaisirs délectables. Je soupire. Tends mon cul. L’arrondis sous ses mains. (Je l’imagine observateur. Voyeur.) Et je lui donne un peu plus mon cul et ordonne alors à « Jardin d’interdit » de flageller T. et de ne pas cette fois oublier son entrejambe. Il est surpris. Il essaye d’étouffer un cri sourd et un « You durdy-dowgggggg ». Je demande à « Jardin d’interdit » de lui demander s’il souhaite que j’arrête. J’entends sa réponse haletante et criante : « NO! ».
Je lui demande de me supplier de continuer via « Jardin d’interdit ». Je sais qu’il ne peut qu’acquiescer. Cependant, il résiste ! Je demande à « Jardin d’interdit » de l’effleurer simplement. De parcourir son corps, des pieds au menton, de l’extrémité du fouet. De commencer par la gauche en marquant chacun de ses pas. Il bande. Je le sais. Il serre les dents. Je le sais. Je suis à l’affût de la moindre de ses respirations. Lorsqu’elle arrive enfin à la tête du lit, elle se penche, à ma demande, et lui susurre à l’oreille : « Demande moi ». Pas de réaction. Je le devine s’accrochant aux liens. Jardin recommence à droite. Martelant le sol à chacun de ses pas. Solennelle. La flèche du fouet monte le long de la jambe droite de T. Je le sens de plus en plus tendu. La cage de chasteté doit parfaitement œuvrer à contenir la moindre de ses érections maintenant. Je me délecte de la situation pendant que fleuriste fait de ma chatte un plat de connaisseur… Ne pas me déconcentrer. Rester connectée à sa respiration. À tout bruit émanant de cette pièce de l’autre côté de l’écran. « Jardin d’interdit » arrive enfin à la tête du lit. Elle se penche une nouvelle fois vers lui et murmure sous la directive mais cette fois à son oreille droite. « Supplie-moi de te donner le fouet ». Rien. Le silence.
Fleuriste est sur mon clitoris qu’il aspire avec voracité. À mon tour d’être tendue ! Je suis sur le point d’exploser. « Baabe, pleeease… Pleease… Babe… WHIP ME » T. vient de craquer. J’ai mon premier orgasme, lâché dans la bouche de fleuriste qui prend tout. Je me sens vraiment salope et ordonne à « Jardin d’interdit » de le détacher et de l’amener sans un mot à se mettre à genoux au pied du lit avant de lui mettre le humbler. Et de le fouetter avec les mêmes égards que ceux qu’il m’a accordés. Je l’entends respirer bruyamment. Dents serrés. Il tient les assauts prodigués par « Jardin d’interdit ». Il ne peut jouir. Il contient ses jurons.
Pendant ce temps, je décide (T. n’est pas en mesure d’ordonner quoique ce soit) de sucer fleuriste. Et je le fais bruyamment, façon film porno, afin que T entende bien. Je prends la queue de fleuriste dans ma main droite que je fais glisser… De bas en haut. Et de haut en bas. J’essaie quelques pressions au creux de ma paume ou du bout des doigts, près des bourses, le long de la verge ou près du gland. Sentir ce qu’il aime afin de lui donner le maximum de plaisir. J’approche ma bouche, pose un baiser sur son gland, puis un autre à la garde. Je continue de le masturber. Chaque fois que j’entrouvre le méat, j’y souffle doucement. A l’affût de ses réactions. J’aspire une couille. M’amuse avec dans ma bouche. Je m’occupe de la deuxième. Il pose une main sur ma tête. Je m’arrête. Lève mes yeux vers lui. Il entoure ma tête de ses mains. Caresse ma bouche. Il y glisse un doigt. Le passe sur mes incisives supérieures. Ma bouche est entrouverte. De la pointe de ma langue je veux le toucher. Il glisse un autre doigt. Doigte ma langue, caresse l’intérieur de mes joues avant de les enfoncer tous les deux dans un mouvements de va et vient dans ma gorge. Je sais ce qui m’attend. Je manifeste mon plaisir et mon impatience par des râles. Je n’ai que T. en tête. Je veux qu’il entende tout ce plaisir qu’il ne contrôle pas ! Fleuriste amène ma tête dont la bouche est restée ouverte à sa bite. Elle est droite. Bien dure. Comme j’aime ! Il pénètre dans ma bouche à queue. Jusqu’au bout, profond dans ma gorge… Telle une poupée gonflable, je ne bouge pas. Je ne le quitte pas des yeux. Il va et vient. De plus en plus vite. Il me défonce la gorge. J’ai du mal à rester immobile. Il m’étouffe. La quantité de salive… J’étouffe. Mais je pense à T. Je place mes mains dans mon dos en soumission « and I suck, suck and suck his cock like a perfect sex slave ! I’m cumming… » C’est l’inondation entre mes cuisses. Mes seins sont durs. Encore quelques sucions pour le mener au bord… Mais fleuriste s’arrête d’un coup. Semble avoir repris du contrôle…
Je sais qu’il va me faire ma fête. Fleuriste me redresse aussitôt et me bascule sur le lit. Il attrape quelque chose dans la boîte à jeux. J’essaie de me relever mais il est déjà à califourchon sur moi et me retourne. Mes mains sont attachées avec des menottes. Il me fesse. Avec force. Bien que je m’y attendais, je suis surprise par la situation. Ma respiration encore courte, je ne peux résister vraiment. Je pense même qu’il me faut rapidement faire part de mes ordres à jardin d’interdit :
- Un : libérer entièrement T;
- Deux : caresser et malaxer ses couilles avec délicatesse avant de lui tailler une pipe à sa façon. Digne d’elle.
- Trois : lui offrir son cul au moment où il fera prendre le mien.
Bien m’en a pris. En effet, fleuriste me met un bâillon boule. Alors qu’il me le place, il me murmure à l’oreille des mots salaces. Ça m’excite. Il me retourne. Tire sur mes tétons. M’ordonne de ne pas bouger. Il retourne à la boîte. Y prend une chaîne. Je reconnais : je vais aimer la suite… Il pince un téton. Puis le deuxième. Il longe la chaîne depuis le creux de ma poitrine et descend jusqu’à mon sexe en tirant juste ce qu’il faut. Ça tire sur mes seins. Je gémis. Je sais ce qu’il va faire maintenant et ça m’excite. Il écarte mes cuisses. Frotte ma chatte avec brutalité. J’entends T gémir. Elle le gâte bien ! Je lui fais entendre les miens. Qu’il sache que son traitement me plait. Je bouge mon cul vers la paume de fleuriste pour lui montrer qu’il peut aller encore plus fort. Il écarte mes petites lèvres et découvre mon clitoris qu’il pince. Il crache dessus (je n’ai jamais aimé ça!) et y appose sa bouche. Ses dents mordent mon clito. Quelques coups de dents qui m’arrachent de petits cris de douleurs puis de plaisir non dissimulé. Fleuriste pince chacune de mes lèvres qui se retrouvent reliées à mes tétons. Ma chatte est entièrement livrée à sa vue, nue et ouverte. Chacun de mes soubresauts entraîne un étirement de mes tétons et de mes lèvres…
Fleuriste admire son œuvre. Je vois le martinet à sa taille. Il s’en saisit et parcourt mon corps avec. Il frappe mes seins. Plusieurs fois. S’arrête pour régler la pression des pinces. Frappe de nouveau. Je crie. Il fouette mon ventre se rapprochant de mon sexe ouvert. Les lanières caressent mes lèvres, me font frissonner lorsqu’elles effleurent mon clitoris. Je me tortille, ce qui tire mes tétons et lèvres. Un supplice. Un vrai délice… Je m’attends à ce qu’il me fouette la chatte ainsi nue, mais il n’en fait rien. Il me retourne maltraitant mes parties pincées. Je gémis de douleur. Mais elle n’est rien face à celle que je vais ressentir.
La tête sur le côté et la bouche bâillonnée, à plat sur ma poitrine (mes tétons pincés dégustent), mains attachées dans le dos, ma chatte est tiraillée. Fleuriste me tire d’un coup sec par les jambes, agrippe mon cul qu’il remonte jusqu’à sa bouche. Je hurle. Il fourre de nouveau sa langue épaisse dans mon anus. C’est doux. Humide et chaud. Une pause toute douce et bienvenue avant la salve de coups (fessées, ceinture et fouet) que je reçois sur mon magnifique cul. Je crie jusqu’aux hurlements. Le supplie d’arrêter. Il me chuchote de lui demander de me donner la seule chose que je désire vraiment. Je ne saisis pas immédiatement. Alors les coups continuent de pleuvoir sur mon cul. Fleuriste répète inlassablement sous les ordres de T : « Demande-moi… Demande le moi ! ». Je finis par hurler
« Fuck my ass! Encule-moi bien fort et bien profond ! »
Il me la met bien. Profond et fort. Ses hanches claque mes fesses ! Je crie beaucoup. Mais la boule dans ma bouche étouffe les sons qui en sortent. Je peux donc me lâcher totalement. Je suis libre de me lâcher toute entière. J’entends de l’autre côté de l’écran les ébats de « Jardin d’interdit » et T. Il la baise très fort. Et j’aime l’entendre. Il ne va pas tarder à jouir. Tout comme moi. Tout mon corps est secoué par des tremblements. Je tremble de la tête aux pieds. Jardin d’interdit est la première à partir. Puis T dans un très beau râle. Moi et enfin Fleuriste avons pratiquement joui de concert. Quand la fièvre retombe, je ressens chaque partie de mon corps dont fleuriste avait pris grands soins. Il libère mes seins puis mes lèvres, les suçotant tour à tour pour soulager les douleurs infligées. Mmm… Qu’est-ce que j’adore ce que me fait ce mec. Douleur/plaisir. Plaisir/douleur. Si proche… J’ai encore envie. Mais mon mari est de retour et la fête terminée.
De retour à la maison le lendemain aux aurores, les fleurs sont dans un vase au centre de la table. Un carton est posé à côté. Je l’ouvre et lis « Comme ça… Juste pour le plaisir. » Je commence à l’apprécier grandement ce mari et ce mariage non conventionnel…
Article écrit par Théodora Gilbert
- Je suis née prématurée dans une forêt de Teck quelque part en Afrique dans un pays qui fût un grand Royaume et n’est plus. Il faudra 3 jours de marche pour déclarer ma naissance.
- Boulimique de connaissances, dès l’âge de 11 ans je m’intéresse aux civilisations anciennes et aux religions. L’Antiquité quelque soit le continent concerné me passionne.
- Bien que j’ai étudié la harpe très jeune et pendant des années (merci maman harpiste), j’ai aujourd’hui trouvé mon bonheur avec le violoncelle !
- De beaux diplômes (ingénieur, MBA) plus tard, je suis dans une vie honnête et louable, mais j’aspire à plus… La rencontre avec 2 hommes, dont l’un est aujourd’hui mon mari que j’ai côtoyé (et savamment évité) pendant 15 ans, m’a permis de pénétrer à mon rythme (et parfois pas) mais en toute sécurité des univers de jeux où j’ai appris à me connaître. L’apprentissage se poursuit…
- La correspondance que j’entretiens avec l’autre homme en ce qui concerne mes découvertes sexuelles sert de base à mes histoires.
- J’espère qu’elles vous inspireront autant que j’ai de plaisir à les revivre en les écrivant !