Quelqu’un demande un cappuccino et tu lèves la main, pour signaler que tu t’en charges. C’est une journée animée, typique d’un samedi. Ça fait déjà quelques semaines que je n’ai pas vu passer ton petit ami. Il venait assez souvent pour profiter du café gratuit, et t’embrasser en coup de vent. Il disparaissait dès qu’il avait son café. Pour être honnête, j’ai jamais compris ce qui te plaît chez lui. En plus d’être fade, il semble indifférent à tout, et surtout à toi. Alors que toi… t’es un grand huit d’aventures et d’excitation.
J’suis sans doute pas très objectif. Tu m’as toujours attirée, et dès que tu as commencé à travailler ici, j’ai senti une tension entre nous s’installer. J’me souviens encore de notre rencontre, lorsque notre patronne nous a présentés : nos yeux se sont croisés et j’ai cessé d’écouter ce qu’elle disait… j’ai l’impression que t’as vécu la même chose. T’avais un sourire timide mais ton regard laissait deviner une personnalité forte : il était perçant et intrigant.
Quand on a commencé à bosser ensemble, c’était comme si on devinait les pensées de l’autre, et comme si on était attirés l’un par l’autre comme des aimants. Notre sens de l’humour nous a vite rapprochés, on est devenus très complices… Et puis j’ai rapidement dû me rendre à l’évidence : j’te désire tout le temps. J’aime ton assurance, les piques que tu me lances parfois et qui m’excitent. J’aime ta voix, ta façon de bouger… Je n’peux pas m’empêcher d’imaginer que notre amitié pourrait évoluer un jour. Et j’suis convaincu que ça ne te déplairait pas que l’on fasse du corps à corps… Qu’est-ce que je donnerais pas pour t’enlever sauvagement ton tablier et te baiser sur le comptoir, là… te voir jouir… encore et encore… Le dernier client de la file attend son café et j’tente de le divertir. Je raconte une blague stupide sur les baristas. J’aperçois ton sourire gêné dans mon champ de vision. Tu secoues la tête, consternée par ma blague. Puis, j’remarque que le cœur que j’ai dessiné dans son café avec le lait ressemble davantage à des fesses… Je m’excuse. Le client rit et tu t’y mets aussi. En te voyant rire puis rougir, une sensation de chaleur parcourt mon corps. Le client part avec son café. J’te demande pourquoi tu rougis. Tu réponds que les fesses du café ressemblent aux tiennes, et tu m’accuses en riant de mater ton postérieur.
« Ah ouais, tu penses que je me suis inspiré de toi ? » Tu me lances un regard malicieux sans répondre, et tu t’éloignes dans l’arrière-boutique pour ranger les briques de lait. Tu montes sur un escabeau pour atteindre les étagères du haut. J’te suis, et proteste vivement contre tes accusations. Tu ris et te tournes sur l’escabeau pour me regarder. Tu me demandes si je ne suis justement pas en train de te reluquer. Tu te déhanches en descendant très lentement de l’escabeau, tout en me fixant avec intensité. Je ne peux pas m’empêcher de te regarder avec des yeux chargés de désir. D’abord tes yeux, puis tes fesses quand elles passent devant mes yeux… Ton corps se rapproche du mien et je sens sa chaleur à travers le fin tissu de tes vêtements et de ton tablier. On est à quelques centimètres l’un de l’autre. Je retiens mon souffle pendant quelques secondes… Un long silence s’installe. Tes yeux se baissent et remontent lentement de mes chevilles à mon menton, et s’arrêtent brièvement au niveau de mon entrejambe. Tu mordilles légèrement ta lèvre inférieure, dans un étrange mélange de confiance et de pudeur. Ma bouche s’entrouvre à peine, juste de quoi inspirer. Puis, je rassemble tout mon courage.
Ma bouche vole à ta rencontre et un baiser intense atterrit sur tes lèvres. Le bout de nos langues se touche et je rapproche ton corps du mien. Quel plaisir de sentir tes seins contre ma poitrine… Je recule un instant pour observer ton visage. T’as un sourire irrésistible, un regard presque fiévreux. Tu ris en te cachant le visage avec tes mains, gênée, avant de reprendre ton sérieux. Tu approches ta bouche de la mienne, tandis que tes yeux se ferment. Notre baiser est intense, fougueux. Ma langue joue avec la tienne et lèche tes lèvres… Mmmh… Je m’avance vers toi, jusqu’à ce que tu t’adosses contre les étagères. Les bocaux tintent bruyamment sous le choc, comme pour m’encourager. On a juste poussé la porte de l’arrière-boutique, et si un nouveau client rentre dans notre coffee shop, on pourrait carrément se faire prendre… Je saisis ta taille d’une main et, de l’autre, j’attrape ton cul, qui a si souvent habité mes fantasmes. Ton short peut à peine contenir ton magnifique postérieur et je ne pense qu’à y enfouir mon visage. Je bande déjà à fond et tu rapproches ton bassin du mien pour sentir mon sexe contre ton corps. Tu dénoues mon tablier et tu plonges ta main dans mon pantalon pour apprécier mon érection. Ma langue s’aventure sur ton cou et je te mordille doucement, tandis que mes mains glissent sous ton haut pour caresser ta poitrine. Tu ne portes pas de soutien-gorge et ma bite palpite d’excitation. Tu l’attrapes avec fermeté, et ton contact me rend dingue. J’ai qu’une envie : m’enfoncer dans ta chatte. Je relève ton t-shirt pour exposer tes seins parfaits. Tes tétons sont durs, prêts à être léchés et pincés. J’en mets un dans ma bouche pour le taquiner avec la langue. Mmmh, t’es exquise…
Notre désir devient explosif, à mesure qu’on découvre le corps de l’autre, qu’on se touche, s’embrasse… Tu me tires les cheveux tout en déboutonnant ton short. Je m’agenouille et j’enlève ton short et ta culotte en même temps. Wow… Je contemple ta chatte parfaite, tes lèvres humides, ta fente délicieuse. Ta respiration est lourde et impatiente, et ta main pousse ma bouche vers ton entrejambe trempée d’envie. J’explore d’abord ta chatte avec ma langue, j’ai une telle envie de te goûter… Je lèche tes lèvres et ta cyprine envahit ma bouche. Ma langue glisse vers le haut de ta chatte pour laper ton clitoris durci. Tes doigts agrippent ma tête pour la presser encore plus contre la source de ton plaisir. Je suce doucement ta vulve, et tu retiens un gémissement pour ne pas être entendue. Je te lèche plus vite et plus intensément et ton corps tendu d’excitation secoue les étagères derrière toi. Un carton de lait tombe au sol, mais qu’importe.
J’ai du mal à y croire : tu es là, face à moi, contre moi, et t’es divine. J’attrape ta jambe et la mets sur mon épaule, pour que tu puisses te frotter contre mon visage pendant que j’te dévore la chatte. Je glisse deux doigts dans ton trou, j’les insère profondément en toi. T’adores ça. Ma langue danse autour de ton clitoris pendant que mes doigts baisent ta chatte affamée. J’ai tellement fantasmé ce moment : te baiser encore et encore de différentes manières, dans différents endroits. J’veux pénétrer tous tes trous avec ma bite. Lécher tout ton corps. Te voir jouir plusieurs fois. J’me relève, mes doigts toujours en toi, et je mordille tes tétons. Tu saisis ma bite que tu branles, en la serrant fermement, comme je l’aime. D’un mouvement rapide, je te retourne et presse ma bite contre ton cul. T’entrouvres légèrement les jambes et tu te penches un peu en avant, pour t’offrir à moi. J’écarte tes fesses pour contempler ton sexe magnifique. Ma bite te pénètre lentement pendant que mon pouce se presse contre ton trou du cul. Tu laisses échapper un gémissement et tu couvres immédiatement ta bouche avec ta main : on doit rester discrets.
La sonnette du comptoir sonne. Probablement un client qui attend… mais là, c’est le dernier de nos soucis. Toute cette attente et cette tension accumulées entre nous explosent enfin, et il n’y a plus rien qui compte. Mon pouce applique plus de pression et tourne autour de ton anus, tandis que tes gémissements me guident et m’imposent le rythme. Dans un chuchotement, tu m’ordonnes de te baiser plus fort, et je sens que mon sexe palpite, le sang pulse dans mon bas-ventre… J’accélère la cadence, et j’enroule mes bras autour de toi. Je te sens au bord de l’orgasme. Ma bite va et vient dans ta chatte de plus en plus étroite, serrée par les contractions de ton orgasme qui monte. Tu m’préviens que t’es sur le point de jouir et je te donne un dernier coup de reins avant de sentir tes muscles se contracter puis se détendre. Ta mouille dégouline le long de ma queue. Oh… t’es incroyable….
De l’autre côté de la porte, le client s’énerve sur la sonnerie. J’suis trop proche de l’orgasme pour m’en préoccuper. Tu te retournes pour me faire face, toute rouge du désir qui règne encore en toi. Tu regardes ma queue, sur le point d’exploser. Tu la caresses de haut en bas, en exerçant une pression optimale. Oh bordel… C’est trop bon… Tout mon corps se tend, j’agrippe une étagère pour ne pas tomber en arrière. T’es sacrément douée avec tes doigts. J’me penche en avant et tu comprends que j’suis à deux doigts de jouir. Tu t’agenouilles vite pour mettre mon gland dans ta bouche et recueillir mon sperme. Tu avales tout, et me regardes en souriant, tandis que tu te relèves. J’suis encore sonné par ce qui vient de se passer, et j’ai des dizaines de compliments qui se bousculent dans ma tête. Toi, tu reboutonnes déjà ton short et te rattaches les cheveux. Tu pars t’occuper du client, avec cette démarche assurée qui n’en finit pas de me couper le souffle.
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