Aujourd’hui tout le monde connaît cet établissement célèbre dans toutes les familles de sorciers pour la très grande qualité de ses enseignements. Cette école britannique de renommée internationale cache pourtant encore bien des secrets.
Le nom de chaque enseignant est connu y compris chez les Moldus, enfin presque, car jamais personne n’a entendu parler de Mlle Julie. Et pourtant quelle femme, un regard émeraude agissant mieux que tous sorts pour capter l’attention de son auditoire, un corps aux lignes si harmonieuses qu’on le contemple hypnotisé. Elle sait jouer de ses atouts mettant à son service des tenues élégantes, provocatrices sans ne jamais basculer dans l’indécence qui serait forcément réprimée ici.
Alors pourquoi cette femme plantureuse de la légendaire école est elle si méconnue ?
Tout simplement parce que les cours de Mlle Julie ne s’adressent qu’aux élèves d’études supérieures, il faut être majeur et en couple pour venir assister à sa classe. Un grand mystère règne autour de son enseignement.
Le voile se désépaissit si l’on s’intéresse au CV de notre enseignante. Après avoir obtenu ici les plus hautes distinctions en excellente sorcière qu’elle est, elle a rejoint une faculté de Moldus où elle a suivi des cours de médecine avant de se spécialiser en sexologie.
Vous comprendrez le soin porté à la discrétion autour de la classe de Mlle Julie. Au sein même de l’école, seuls les élèves de dernière année, majeurs et dont la relation amoureuse est connue reçoivent un parchemin enchanté indiquant pour eux la possibilité de suivre ce cours très particulier, l’horaire et le plan d’accès apparaissent aux seuls élèves formant le couple, et dès qu’ils le mémorisent, la feuille tombe en cendres à leurs pieds.
C’est cette mythique feuille enchantée qu’ont reçue Mickaël et Sandra. Ces deux complices en couple depuis le début de l’année scolaire vivent ensemble une belle histoire d’amour. Lui le solide capitaine de l’équipe de Quidditch, à la chevelure brune et aux yeux bleu azur, elle aux yeux d’un noir profond et à la lisse chevelure onyx, la plus douée des élèves de la plus renommée des maisons de l’école. Pour autant leur relation bien établie est restée totalement platonique jusqu’ici.
Ce matin ils marchent main dans la main dans la cour de l’impressionnante forteresse médiévale, ils entrent par l’entrée principale, prennent le couloir de gauche, passent devant les salles où ils ont passé toute leur enfance et leur adolescence, ils ressentent quelques élans de nostalgie sachant que dans quelques jours ils quitteront définitivement leur établissement, diplôme en poche.
Tout en suivant l’itinéraire indiqué, ils arrivent au bout d’un corridor richement décoré de beaux tableaux, mais aucune porte ne se trouve là où ils doivent passer. Voilà nos amoureux devant une nouvelle énigme : comment atteindre la salle de classe de Mlle Julie ? Après plus de 15 ans passés ici, Mickaël et Sandra ont pris l’habitude de ces situations et leur esprit s’est forgé dans cet univers, ils connaissent ces jeux mystérieux.
Ils observent donc très attentivement ce lieu, déchiffrent les tableaux, très vite ils découvrent que l’un d’eux représente Aphrodite et Ares s’embrassant nus. Pas de doute, le passage vers la salle de cours tient dans cette mystérieuse représentation. Mais hors de question d’imiter les deux amants en risquant d’être vus de tous. Mickaël se saisit donc de sa baguette, prononce une formule qu’il maîtrise parfaitement,《 muralus constructus 》, et immédiatement les deux amants se retrouvent seuls, emmurés au bout du couloir devant la magnifique peinture des Dieux Grecs. Dans cette intimité éclairée de quelques chandelles, les amoureux, les yeux pétillants de désir s’apprêtent à découvrir le corps de l’être aimé pour la première fois.
Mickaël est le premier à retirer sa veste, immédiatement imité par Sandra, puis ensemble ils dégrafent les boutons de leurs chemises qui se retrouvent très rapidement au sol. La belle demande alors à l’homme qu’elle aime de retirer son soutien-gorge. Avec ses gestes mal assurés, il a de très grosses difficultés pour détacher les petits crochets. Quand enfin il y parvient, ses yeux brillent d’étincelles humides en découvrant les seins ronds d’une pure pâleur superbement couronnés de tétons dardés par l’excitation dans leurs divines aréoles brunes. La peau légèrement halée de la jeune sorcière se révèle sous les flammes dansantes des chandelles, son superbe minois souriant, ses lèvres roses humides, sa nuque fine, pas besoin de sort pour tomber en admiration de ce tableau parfait.
Le souffle court, les amants débouclent leurs ceintures et sans voix ils retirent chaussures, chaussettes et pantalons. Ces deux corps éclairés de la lumière orangée des flammes, aux peaux lisses, imberbes, aux lignes élégantes, rivalisent de charme avec la représentation des dieux Grecs. Mickaël et Sandra sentent alors monter un mélange perturbant d’angoisse et d’excitation au moment de faire tomber le dernier voile qui les sépare du premier partage de leur nudité.
Surpris, Mickaël voit Sandra s’approcher, prenant l’initiative de lui retirer son shorty en tirant fort sur l’élastique pour franchir l’énorme bosse que forme le pénis érigé. Elle laisse au sol le morceau de tissu tout en attardant sa main sur le chibre qui l’impressionne et qu’instinctivement elle décalotte, laissant apparaitre un gland carmin trempé de désir.
Sandra laisse glisser les mains du sorcier sur ses hanches faisant rouler cette culotte en dentelle tâchée d’une auréole dont les doigts de Mickaël découvrent l’origine en glissant entre les lèvres recouvertes de mouille.
Les deux amoureux en totale intimité dans leur alcôve murée se laissent progressivement gagnés par la passion s’évaporant de leurs corps nus transcendés de désir. La main de Mickaël est comme aimantée au pubis de Sandra qui s’agrippe frénétiquement à cette queue qui ne cesse de la fasciner, raide, érigée, volumineuse entre ses doigts. Elle s’électrise de ce contact pulsatile qui lui permet de percevoir le rythme effréné du cœur de son homme emballé par le désir. Les mains s’agitent, il fait glisser ses doigts en rythme dans le sillon des lèvres de sa bien aimée, ce contact dans les chairs chaudes et trempées l’excite toujours davantage ; elle glisse ses doigts le long de la hampe, de bas en haut, passant son pouce sur la base du gland et récoltant en passant de plus en plus de ce liquide chaud suintant du sommet du pénis.
Curieuse, Sandra s’arrache à l’étreinte et se courbe jusqu’à ce que ses lèvres se posent sur le gland toujours plus brillant de désir. Elle est tellement hypnotisée par le chibre qu’elle salive inconsciemment et rapidement le laisse glisser entre ses lèvres au contact de sa langue. Des mouvements rythmés de la tête de la belle, Mickaël perçoit par l’hypersensibilité des milliers de terminaisons nerveuses qui aboutissent à son gland la douce et humide caresse de cette bouche voluptueuse qui lui offre le plus confortable des écrins. De ce contact de velours, doux et si puissant, il éprouve les plus belles sensations que son corps ait pu connaître. Cette bouche est comme à l’écoute de chaque cellule de son chibre. Bientôt n’ayant pas le temps de comprendre, il sent une vague le terrasser, elle s’arrache à l’étreinte mais pas assez vite pour échapper aux salves puissantes de sperme s’écrasant sur sa gorge et ses seins…
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Article écrit par Toni Parennebite
Passionné de littérature érotique, un jour j’ai décidé de prendre la plume et de répandre avec les mots les idées qui sommeillaient dans mon esprit.
Auteur en herbe, je vous propose ici mes premiers récits qui j’espère vous transporteront dans un univers sensuel plein de volupté.