Une nuit, alors que Raymond n’arrivait pas à dormir et il se retrouva à regarder le téléachat de fin de soirée avec des animateurs pleins d’entrain. L’emphase de l’un d’entre eux attira son attention. Il vantait les mérites du dernier appareil qui, selon lui, révolutionnait le monde.
« Je vous promets que vous n’en reviendrez pas. Je n’y croyais pas au départ. Vraiment pas. Pas avant de l’avoir vu. Et quand je l’ai vu, j’ai été choqué ! Stupéfait ! J’ai dû fermer ma bouche avant de me mettre à baver. »
La caméra suivait le vendeur jusqu’à une table d’exposition sous les lumières du studio. Il posa ses mains sur l’appareil.
« C’est ça, l’Aigle. L’Aigle. »
L’Aigle avait la forme d’une mallette d’homme d’affaires des années 1980. Le vendeur tapota de nouveau l’appareil, comme il le ferait sur l’épaule d’un ami proche.
« L’Aigle propose une représentation visuelle de ce qui se trouve de l’autre côté d’une barrière solide – un mur, par exemple. Je ne parle pas de contours ou de vagues de chaleur scintillante – vous savez, ces zones de couleur rouges, bleues et jaunes. Je veux dire voir – littéralement voir de ses yeux vu – ce qu’il y a de l’autre côté du mur. En résumé, l’Aigle rend les barrières visuellement inexistantes. Oui, vous avez bien entendu. Inexistantes. Laissez-vous convaincre. Mais ce n’est pas tout. L’Aigle envoie des vibrations à travers la barrière pour briser et affecter ce qui se trouve au-delà du mur. »
L’hôte appuya sur le bouton d’alimentation pour démarrer l’Aigle. Il commença sa démonstration et l’appareil fit ce qu’il disait. Il fournit des images de l’autre côté des murs du plateau. Puis, un instant plus tard, une brique de l’autre côté d’un des murs se fendit en morceaux.
« Ce mécanisme a changé le monde ! Il l’a complètement bouleversé ! Il a déjà eu un impact sur les opérations d’élite de l’armée. Nos soldats l’utilisent en première ligne ainsi que pour des opérations de recherche et de saisie. Je n’ai entendu que des critiques positives. Elles correspondent à mon enthousiasme pour l’Aigle. Écoutez. La police et la gendarmerie veulent eux aussi leur part du gâteau. Ils commencent à mettre la main dessus. Lorsque l’armée et la police – notre gouvernement – sont prêtes à payer cher pour quelque chose comme ça, vous savez que c’est chaud ! Brûlant ! C’est maintenant, vous – oui, vous ! – avez une chance de mettre la main sur l’Aigle. Je veux que vous aussi vous possédiez cet appareil de pointe. »
Le vendeur s’arrêta alors de manière inattendue. Il garda le silence pendant un moment, tapotant ses lèvres avec son index. Il adopta un air sérieux et s’approcha de la caméra. Ses yeux se déplaçaient à droite et à gauche. Il plissa les yeux, comme s’il se demandait s’il allait ou non dévoiler un secret.
« Avertissement », dit-il lentement. « Je dois donner cet avertissement. Je ne sais pas combien de temps le gouvernement m’autorisera à vendre l’Aigle publiquement. Sérieusement, j’attends un appel direct de la Maison Blanche ou, pire, des hauts gradés du Pentagone, me demandant de cesser la vente. »
Il continua à démontrer les capacités de l’Eagle, tout en continuant à mettre en garde les téléspectateurs sur la brièveté supposée de l’approvisionnement et contre le gouvernement.
« Je dois vous le répéter. L’Aigle est disponible maintenant, mais pas pour longtemps. Il ne m’en reste que quelques-uns et – écoutez-moi bien ! Le plus important, c’est qu’à tout moment – à n’importe quel moment – le gouvernement pourrait arrêter la vente de l’Aigle. Ne ratez pas cette occasion ! Achetez maintenant ! »
Immédiatement, Raymond appela le numéro en 0 800 qui s’affichait en bas de l’écran de sa télévision et, six semaines plus tard, il ouvrait une boîte brune dans son appartement.
Raymond alluma l’Aigle et vit pour la première fois ses orteils à travers ses chaussures d’entraînement Reebok et ses chaussettes de sport. Il pointa l’Aigle sur le meuble et repéra sa poêle à frire qui était perdue dans le fond. Il regarda la porte du réfrigérateur avec l’Aigle et réalisa qu’il devait acheter des œufs. Lorsqu’il souleva l’appareil, il vit sa chambre à travers le mur du salon.
Il tapota l’appareil. « Cette chose est incroyable. »
Après quelques jours à jouer avec, il décida de ranger l’Aigle dans son placard.
Il le tenait au-dessus de sa tête pour le faire glisser sur l’étagère du haut, qui se trouvait à quelques centimètres du plafond. Sa main heurta accidentellement le bouton d’alimentation, et l’écran lumineux s’alluma.
À sa grande surprise, il pouvait voit à travers son plafond et à travers le sol de l’appartement situé au-dessus du sien. Il remarqua qu’une femme était assise sur son canapé. Puis elle sursauta, posa ses mains sur ses genoux, comme si elle avait laissé tomber quelque chose de petit, comme une boucle d’oreille ou un grain de maïs soufflé. L’instant d’après, elle se leva d’un bond. Elle regarda d’un côté à l’autre dans un élan de confusion. Elle tira sur la ceinture de son pantalon de pyjama pour jeter un coup d’œil à l’intérieur. La femme devint comme hystérique et se mit à battre des bras et à sauter. Elle se précipita hors du champ de vision de l’Aigle.
Sa réaction avait complètement déconcerté Raymond. En fait, il s’inquiétait de ce qui s’était passé. Et il était tout aussi intrigué.
Raymond tenait l’Aigle au-dessus de sa tête, regardant l’écran. Il trébucha dans son appartement, se cognant les genoux sur la table basse et les coudes contre les cadres de porte, à la recherche de la femme qui habitait un étage au-dessus du sien. Il se traîna dans son appartement jusqu’à ce que, depuis sa chambre, il la voie à nouveau. Il se mit debout sur son lit pour obtenir les meilleures images.
Elle était épuisée, allongée sur son lit et se tapotait la poitrine. On aurait dit qu’elle reprenait son souffle après un marathon. Ses jambes étaient molles. Un pied était posé sur le lit et un orteil de l’autre pied touchait à peine le sol.
Finalement, elle se déplaça jusqu’au bord du lit et glissa ses pieds dans une paire de pantoufles. Son corps – épaules affaissées, dos courbé, cou arqué – semblait encore usé.
Raymond l’observait au centre de l’écran de l’Aigle. Elle se remit debout, mais grimaça soudain, ses genoux se dérobaient. Elle posa sa main sur son entrejambe. Son autre main glissa le long de sa poitrine.
Raymond n’en revenait pas. Jusqu’à ce qu’elle se débarrasse de son pantalon de pyjama. Il se rendit compte qu’il la regardait profiter de quelque chose d’enivrant. Cela secouait son corps, le faisait vibrer. Elle enfonça ses mains davantage et écarta les jambes.
Quelques minutes plus tard, l’Aigle devint trop lourd pour que les bras de Raymond puissent le maintenir en l’air.
Il posa l’Aigle sur son lit et s’assit à côté.
C’est alors qu’il se souvint du téléachat. Les vibrations émises par l’Aigle à travers la barrière solide ont un impact sur ce qui se trouve de l’autre côté. L’animateur avait fissuré une brique pendant l’émission.
Il se redressa. « C’est l’Aigle ! Il la rend folle. »
Il essaya de trouver un moyen de maintenir l’Aigle sans utiliser ses mains. Il n’y avait rien à faire. Il souleva l’Aigle une fois de plus, mais la jeune femme était partie et il n’eut pas le courage de la chercher à nouveau.
Le lendemain matin, en partant au travail, il s’arrêta devant la porte d’entrée, la main sur la poignée. Il jeta un coup d’œil à l’Aigle. On aurait dit une mallette. Insoupçonnable. Il se saisit de l’Aigle.
Ce matin-là, il travaillait dans son bureau. Une jolie collègue, Susie, avait pris place dans le bureau voisin.
« Bonjour, Raymond », dit-elle.
Il la salua à son tour. Ils discutèrent pendant quelques minutes du programme de la journée. Elle avait une réunion ce matin-là. À partir de là, travail de bureau et appels téléphoniques s’enchaînèrent.
Raymond décida de tester son hypothèse sur les capacités de l’Aigle. Il installa l’appareil à côté du box où travaillait Susie.
Susie revint de sa réunion. Elle s’assit et Raymond alluma l’Aigle. Il entendit un jappement contrôlé, suivi d’une toux. Puis un étrange cri étouffé.
« Tout va bien, Susie ? » demanda un autre collègue.
« Oui… oui. J’ai juste avalé quelque chose. De travers. » Elle se força à rire, et toussa à nouveau.
Un instant plus tard, elle se leva d’un bond. Sa tête et ses épaules étaient visibles par tous les employés du bureau. Ses joues rougirent. Puis elle se rassit et disparut à la vue de tous.
Plusieurs autres collègues dans leurs box se levèrent lentement. Leurs visages pleins d’inquiétude.
« Susie ? Tu es sûre que ça va ? » dit un homme.
Il se dirigea vers son bureau et passa devant l’Aigle.
Il fit un léger bond en avant, émettant un « whoosh ». Son inquiétude pour Susie s’était stoppée net. Il se ressaisit.
« Heureux… heureux de voir que tu vas bien. Je te laisse travailler. À moins que tu ne veuilles qu’on se retrouve quelque part dans peu de temps. Envoie-moi un courriel. »
Il retourna à son bureau en traînant les pieds.
Raymond éteignit l’Aigle pour calmer l’atmosphère de l’open-space. Il se demanda s’il n’avait pas créé un couple, même si ce dernier ne se réunissait que pour dépenser de l’énergie sexuelle.
À la fin de la journée, Raymond prit l’Aigle, l’alluma et traversa son bureau pour se rendre à l’ascenseur.
Il entendit des grincements plus subtils et des cris soudains, quelques gémissements bas comme quelqu’un qui savourerait un chocolat, et un coup de poing donné sur un bureau, qui secoua le clavier et l’écran.
Raymond sourit.
Tard dans la nuit, il entendit frapper à la porte de son appartement.
Il regarda par le judas. Trois policiers étaient prêts à intervenir.
Il déverrouilla et ouvrit la porte.
« Bonjour, je peux vous aider ? Il essayait de sourire.
« Bonsoir, monsieur », dit la policière qui portait une casquette à visière avec un badge argenté sur le devant. « Je suis le capitaine Bianchi de la police de Johnsonville. »
Raymond garda le silence.
« Nous souhaiterions parler à Raymond Green », dit la capitaine.
« C’est moi. En quoi puis-je vous aider ? »
« Pouvons-nous entrer ? »
Raymond les fit entrer.
La capitaine enleva sa casquette à visière. Ses cheveux noirs étaient coiffés en un chignon serré qui illuminait son visage rond.
Pendant les premiers instants, les yeux des trois officiers scrutaient la pièce tandis que leurs lèvres se forçaient à sourire.
« M. Green, reprit Bianchi, nous avons des documents indiquant que vous avez acheté un appareil appelé Aigle. »
Raymond s’efforça de garder un visage impassible, sans réaction, jusqu’à ce que la petite capitaine aux courbes arrondies lui donne plus d’informations.
« En raison de graves préoccupations de la part de divers organismes juridiques – entités gouvernementales locales, étatiques et fédérales – nous échangeons avec les toutes les personnes ayant acheté l’appareil. »
Raymond sentit ses joues rougir et une fine ligne de transpiration se former à la racine de ses cheveux.
« Possédez-vous un appareil Aigle ? » La capitaine Bianchi esquissait un sourire morne.
Raymond remarqua que les deux autres officiers l’observaient, avant de se mettre à fouiller nonchalamment son appartement.
« Si vous nous aidez, nous pourrons résoudre ce problème rapidement et facilement. Alors, si vous avez des informations à nous communiquer, n’hésitez pas à le faire. »
La capitaine porta le bord brillant de sa casquette à visière à sa ceinture, cachant subtilement son arme.
« Qu’est-ce que je peux vous dire qui pourrait vous aider ? Je n’ai rien à cacher », dit Raymond.
Les yeux de Bianchi se sont rétrécirent.
« Premièrement, êtes-vous en possession de l’Aigle ? »
« Euh, oui. Mais je l’ai acheté légalement. J’ai le reçu comme preuve d’achat », dit-il.
« Un reçu serait utile. Il pourrait vous permettre d’obtenir un remboursement. Vous voyez, la possession de l’Aigle est illégale pour les citoyens. Je ne fais qu’appliquer la loi. »
« Mais… » commença Raymond.
« M. Green », interrompit Bianchi. Elle leva la main, paume en avant, et fit non de la tête, comme un professeur d’école primaire. « Il vous incombe de nous remettre l’appareil. Aucune autre action ne sera alors nécessaire. Nous pourrons chacun poursuivre notre chemin. »
« J’ai acheté l’Aigle auprès d’un vendeur et d’une entreprise réputés. Ce n’est pas comme si je l’avais acheté à une personne bizarre dans la rue. J’ai le reçu. »
Il se tourna vers son bureau pour prendre le reçu.
Le capitaine Bianchi l’arrêta en lui tendant la main. Les deux officiers qui l’accompagnaient firent un pas en avant et tendirent leurs armes de poing.
« M. Green, ne faites pas ça », ordonna-t-elle. « Tournez-vous lentement. Ne rendez pas la situation plus tendue. »
« Tendue ? Elle n’est pas tendue. Je veux juste vous montrer ma preuve d’achat. »
« Raymond, donnez-moi l’Aigle. Si vous ne le faites pas, je devrai sortir le mandat. N’allons pas jusque-là. »
Raymond décida de renoncer. Il s’imagina des membres du SWAT vêtus de noir lançant du gaz poivré dans l’appartement et enfonçant la porte, ou à des parachutistes brisant les fenêtres avec une précision militaire.
« Pas de problème ? On en restera là ? » demanda Raymond.
« Bien sûr. » Le capitaine Bianchi s’efforçait d’être sympathique.
Il se dirigea vers l’étroite table de la console qui jouxtait son canapé. Il se saisit de l’appareil.
« L’aigle est tout à fait incroyable », déclara-t-il.
« C’est pourquoi il est devenu illégal de… » La capitaine s’arrêta, soudain incapable de parler.
Elle se trouvait dans le champ d’action de l’Aigle.
« Oh, mon… » Elle se pencha en avant et gémit. Ses joues rondes rougirent. Elle se mordilla la lèvre inférieure.
Raymond recula pour capturer les deux autres officiers.
Leurs positions prudentes se relâchèrent et leurs regards se dirigèrent immédiatement vers la capitaine Bianchi, qui se penchait en avant. Son pantalon en polyester bleu foncé épousait ses larges fesses.
« Allez-y les gars », dit Raymond. « Elle vous veut tous les deux. »
« Je mate le cul de Bianchi depuis mon premier jour de travail », dit l’un d’entre eux en enlevant son chapeau à visière et en débouclant son ceinturon.
« Allez, Ricky. Donne-moi tout ce qui tu as », haleta Bianchi. « J’ai envie de te baiser depuis si longtemps. Mark, tu as une bite toi aussi non ? »
Tandis que Raymond maintenait l’Aigle en place comme un bouclier, les officiers se débarrassèrent de leurs uniformes et les deux hommes prirent le contrôle de la petite femme aux courbes arrondies qui haletait et se tripotait déjà la chatte.
Ils la mirent à genoux. Elle s’agrippa à la paire de bites dures. Levant les yeux vers les deux hommes, elle suçait une bite tout en caressant l’autre. La main de l’un des hommes guidait sa tête vers l’avant et vers l’arrière en tenant de son chignon. L’autre homme pressait ses gros seins.
Raymond était stupéfait par ce spectacle. L’Aigle avait mis ces trois représentants de la loi en ménage à trois. De façon inattendue, il entra dans le champ de vision de l’Aigle. Immédiatement, il reçut comme une décharge. Sa bite durcit. Sans réfléchir, il se dirigea vers la capitaine Bianchi, qui était toujours à genoux.
Elle agrippa sa bite fermement. « Je suis contente que vous ayez enfin rejoint l’équipe. Je préfère travailler en équipe. »
Elle passa sa langue sur le bout de sa bite, sourit, puis l’entoura de ses lèvres.
Raymond se délectait du plaisir et de la domination qu’il exerçait sur la capitaine de police.
Bientôt, elle chevauchait les officiers l’un après l’autre – prise en sandwich entre eux – tout en essayant de caresser Raymond. Elle se débattait, comme si elle se noyait. Leurs fortes poussées et leurs grognements grossiers faisaient rebondir Bianchi et la faisaient gémir. Ses seins se balançaient et s’agitaient dans la frénésie sexuelle. Ses fesses rebondissaient et se balançaient tandis que les deux bites s’enfonçaient en elle. Les poussées crispèrent son visage en une contorsion douloureuse. Elle grinça des dents au milieu de la baise. Elle poussa plusieurs cris, grogna et s’agrippa à la bite de Raymond, comme si elle tenait à sa vie. Elle la serra jusqu’à ce qu’elle devienne presque violette. Enfin, elle reprit son souffle.
Le policier le plus éloigna fut pris d’un sursaut. Il grimaça et son corps se cogna contre le sien à plusieurs reprises. Il se calma alors. D’un geste, elle concentra son cul sur l’autre homme. En un rien de temps, suivant ses ordres, son corps se cambra contre le sien. Il jouit à son tour. Bianchi roula sur le côté.
« Allez, mon garçon. Sur mon visage. Tout de suite. Je ne veux pas attendre. Je ne peux pas ! »
Raymond secoua sa bite. L’orgasme se réveilla au plus profond de lui et, quelques instants plus tard, il projeta une charge de sperme dans la bouche du capitaine Bianchi.
Raymond s’éloigna d’eux mais ce faisant il renversa l’Aigle. Il s’écrasa sur le sol.
Les trois policiers sortirent immédiatement de cet état de folie sexuelle. Ils semblaient se réveiller d’un rêve non maîtrisé. Ils se précipitèrent vers leurs uniformes en toile.
Bianchi glissa ses seins lourds dans son soutien-gorge de sport et tira sa culotte épaisse sur ses cuisses.
« Ce n’est pas quelque chose que nous mentionnerons dans le rapport », dit-elle, sa voix redevenant autoritaire et abandonnant celle d’une femme lascive.
Les deux officiers acquiescèrent.
Ils confisquèrent l’Aigle cassé. Quant à Raymond, ils signaleraient que Raymond Green possédait la preuve d’achat mais qu’il était prêt à la remettre à la police.
Ils quittèrent ensuite l’appartement.
Raymond s’assit sur le canapé, entendant la porte se refermer. Il savait qu’il valait mieux abandonner l’Aigle. Cela ne serait pas un problème pour lui. Il en avait déjà acheté un deuxième à un homme qui vendait l’appareil dans la rue.
* Cette fiction a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici.