Jerry fit ralentir le pick-up sur la route non goudronnée, perdue au milieu de nulle part et tourna à gauche. Il s’engagea dans un champ de maïs qui venait d’être récolté. L’énorme pick-up se mit à ruer, comme un cheval fougueux, sur le sol accidenté et les tiges de maïs coupées. Jerry et Kitty s’efforcèrent de rester assis tandis qu’ils traversaient le champ. Ils se stabilisèrent du mieux qu’ils purent. Jerry tenait fermement le volant, Kitty s’arc-boutait avec une main sur le tableau de bord et tenant de l’autre, la poignée au-dessus de la portière passager.
« Tiens bon, Kitty ! C’est un rodéo ! »
« J’aime bien les rodéos… Aïe ! » Sa tête heurta le toit de la cabine.
Le camion s’arrêta enfin 500 mètres plus loin. Les phares s’éteignirent, les laissant dans l’obscurité.
« C’est là. Je viens ici depuis des années », dit Kitty en regardant par la fenêtre. « Jetons un coup d’œil autour de nous. Les étoiles y semblent plus grandes que partout ailleurs. »
Ils descendirent du camion.
« C’est vrai que c’est un peu loin, mais ces étoiles, si brillantes, valent le déplacement », dit Jerry.
Elle se blottit contre lui, parfaitement à l’aise. Elle lui montra Jupiter et Mars dans le ciel nocturne et décrivit la constellation de la Vierge.
Il quitta le ciel des yeux et la regarda. « Je ne crois pas les avoir déjà vues de si près. »
« Tu sais, Jerry, ça sera moins douloureux pour ton cou si on s’allonge dans la caisse arrière de ton camion, ou sur le capot. » Elle sourit.
Jerry vit son sourire lumineux malgré la nuit.
« L’arrière est plus confortable, je pense. On ne risque pas de glisser. Et on ne risque pas d’enfoncer le capot plus. »
« Tu penses à ce qui pourrait risquer de le cabosser n’est-ce pas ? »
« Ça m’a traversé l’esprit plusieurs fois. »
ll lui prit la main et la conduisit à l’arrière du camion. Il pressa son corps contre le sien. Leurs lèvres s’effleurèrent et il goûta son gloss à la fraise. Après une pause, il baissa le hayon et la souleva par la taille pour la poser sur le rebord. Elle saisit sa chemise et l’attira à nouveau contre elle, ouvrant les jambes pour l’approcher le plus possible. Elle sentit l’eau de Cologne Stetson dans son cou. Elle lui mordit le lobe de l’oreille pour s’amuser de sa douleur. Alors qu’ils s’embrassaient à nouveau, elle enfonça ses ongles dans son dos et le griffa de haut en bas. Elle sentit ses muscles se contracter sous l’effet de la douleur.
Il lui suça la lèvre inférieure, puis descendit jusqu’à la base de son cou. Il déposa un baiser à cet endroit ainsi que sur chaque clavicule. Elle laissa retomber sa tête en arrière dès le démarrage de son exploration.
« Viens ici avec moi », murmura-t-elle.
Elle posa les talons de ses bottes de cow-boy sur le hayon et se recula. Il monta d’une seule grande enjambée. Traversant la longueur de l’arrière du camion en un autre pas, il s’arrêta devant Kitty qui était assise contre la caisse transversale en métal. Elle était à la hauteur du gros bourrelet qui s’était formé dans son pantalon.
Il se pencha vers elle et sortit de la boîte deux oreillers et une couverture épaisse.
Cela la surprit. « Tu avais prévu cette nuit ou tu gardes toujours des oreillers et une couverture là-dedans ? »
« Un homme est toujours prêt. Mais cette nuit est spéciale, parce que tu es spéciale. »
« Ah, c’est gentil de dire ça. Allonge-toi à côté de moi, mettons-nous à l’aise. » Elle tapota l’oreiller.
Il s’allongea et l’attira contre lui. Elle sentit son sexe durci contre sa cuisse droite et frotta son corps contre cette grosseur. Elle en obtint ce qu’elle en attendait : une position droite, comme les aiguilles d’une horloge sonnant minuit.
Bientôt, elle enleva sa chemise en flanelle et se retrouva en débardeur blanc moulant. Se penchant sur lui, elle serra ses deux bras pour mettre en valeur son profond décolleté.
« Montre-les-moi », lui demanda-t-il, d’une voix suppliante.
Elle lui fit non avec son doigt. Au lieu de cela, elle passa la main sous son tee-shirt à lui, explorant son torse poilu à la recherche de ses mamelons. Elle les pinça avec force.
Il tenta de se protéger des petites pinces de la jeune femme. « Aïe ! Tu aimes me faire mal, n’est-ce pas ? »
Elle se contenta de le pincer plus fort en guise de réponse. Ils se chamaillèrent jusqu’à ce qu’elle le laisse prendre ses poignets et les écarter.
Quelques baisers plus tard, sa chemise disparut. Elle la fit glisser par-dessus sa tête et la fit voler loin du camion. Faisant glisser ses ongles le long de son torse, elle s’arrêta au niveau de la boucle de sa ceinture.
Ses doigts coururent le long de la ceinture de son jean. Elle effleura l’élastique de son boxer. Ses respirations se firent plus rapides et plus courtes.
« Je cherche quelque chose. Tu crois que je vais la trouver ? » demanda-t-elle.
« Oui, tu vas la trouver, crois-moi. Et tu vas l’aimer – Tu vas tout aimer. »
Elle défit sa ceinture et la fit coulisser à travers tous les passants du jean. Comme pour la chemise, elle l’envoya par-dessus bord, perdue, pour l’instant, dans l’obscurité. Elle déboutonna le pantalon et fit glisser la fermeture éclair. Mais elle s’arrêta là.
« J’ai besoin d’un peu d’attention avant toute chose. » Elle passa la main sous sa chemise et dégrafa son soutien-gorge. Ses seins lourds retombèrent. Elle fit sortir le soutien-gorge couleur chair le tenant au-dessus d’elle, attirant son regard, puis le laissa tomber sur le plateau du camion.
Il avait très envie qu’elle aille plus loin sur son propre corps, mais il était prêt à s’occuper d’elle. Il passa la main sous sa chemise et la souleva. Il vit apparaître son nombril profond et son ventre rond.
« Enlève-la. Mes seins ont besoin de tes lèvres et de ta langue. »
Il souleva la chemise et ses deux gros seins apparurent. Ses mamelons étaient petits par rapport à la taille des seins, mais ils étaient durs. Il jeta la chemise hors du camion, comme elle l’avait fait avec ses vêtements.
Il attrapa ses seins et elle se pencha pour qu’il puisse en mettre la plus grande partie possible dans sa bouche.
« Laisse-moi admirer ton travail. »
Ses lèvres entourèrent l’un de ses mamelons ; avec sa main il palpait l’autre sein, le pressant et le pétrissant. Pendant qu’il en suçait un, il pinçait et tirait légèrement sur l’autre mamelon. Elle se délectait du frisson que sa bouche et lui savaient lui procurer. Elle savait que quelque chose d’autre l’amènerait au bord du gouffre un plus tard. Bientôt, il changea de sein, tordant et mordillant l’autre, par souci d’égalité.
Quelques instants plus tard, à l’arrière du camion, ils étaient tous deux allongés, torse nu, profitant de la nuit. Sur le dos, les mains derrière la tête, elle avait une vue imprenable sur la lune, les étoiles et Jerry, et elle était prête à être explorée. Il passa doucement son doigt sur le côté de son sein droit, puis le fit remonter en suivant sa courbe. Il dessina un petit cercle entre ses deux seins et traça un contour sur le gauche, comme s’il écrivait de la calligraphie sur sa poitrine. Son doigt descendit au centre de son ventre et fit une boucle autour de son nombril. Comme elle l’avait fait auparavant, il détacha sa ceinture et sa grosse boucle métallique. Il la fit glisser de l’autre côté du lit improvisé. Kitty le laissa continuer. Il détacha le bouton de son pantalon et abaissa lentement la fermeture éclair. Ses yeux étaient rivés sur ce qu’il y avait en dessous.
Kitty portait une culotte moulante violette, avec un petit nœud sur l’élastique.
« Attends », chuchota Kitty, en posant ses mains sur les siennes, prêtes prêtes à entrer dans sa culotte.
« J’attends ? »
« Oui, attends, je ne suis pas encore prête. » Elle se redressa.
« Pas encore prête ? Qu’est-ce que je peux faire pour que tu sois prête ? »
« Allons d’abord nous baigner à poil. Il y a un ruisseau près d’ici, en bas. Je ne me suis jamais baignée nue… avec un mec. »
« Je parie que ce ruisseau est assez froid pour congeler une grenouille. »
« Il va falloir se réchauffer, ou rester à proximité pour se réchauffer. »
« On aura plus chaud ici. »
« Allez go ! » Kitty le repoussa et sauta par-dessus la rambarde du pick-up. Elle trottina à travers le champ, ses seins rebondissant sauvagement ; elle se dirigeait vers le bruit de l’eau gazouillante.
« Voyons, Kitty, pourquoi tu fais ça ? Tu me taquines et tout ça. Ce n’est pas drôle. Mais je te rejoins. » Il enfila ses bottes, trouva sa chemise sur le sol, puis courut à sa suite.
Près du ruisseau, il l’appela : « Kitty, tu sens comme l’eau est froide ? Si froide que tu ne peux pas me répondre. J’aurais dû rester dans le camion, à regarder les étoiles. »
Il s’approcha, essayant de l’apercevoir dans l’eau, malgré l’obscurité. « Je ne te vois pas, Kitty. Où es-tu ? »
Pas de réponse. Il n’entendait pas non plus d’éclaboussures.
« Kitty… Oh, Kitty », chantonna-t-il.
Il essaya de jouer le jeu tout en évitant d’être pris au dépourvu et d’être poussé dans le ruisseau ; comme s’il s’agissait d’une blague. C’est elle qui avait eu l’idée de se baigner et il ne voulait pas y aller en premier, surtout si elle n’avait pas l’intention de se mouiller.
Il ne la trouvait pas.
« Kitty ? », appela-t-il, plus inquiet à présent.
Elle s’était comme volatilisée et n’était sans doute pas prête à abandonner sa cachette avant d’avoir mis son plan à exécution.
Il fit un pas de plus le long de la berge et faillit glisser. Il ne perdit pas pied, mais il entendit le moteur de son camion se mettre à rugir. Les phares s’allumèrent. Il fut aveuglé par les feux de route qui projetaient de longues ombres sur la rive opposée du ruisseau et au-delà. Il leva les bras pour se protéger de la lumière et cria. Cependant, personne n’aurait pu entendre son cri même le plus fort alors que le moteur était en route.
Jerry savait que la transmission était en train de franchir la ligne rouge. Il cria plus fort et agita les bras avec plus de ferveur. « Ne fous pas mon camion en l’air, Kitty ! »
Il entendit la transmission s’enclencher et cria de terreur : « Kitty ! Arrête ! »
Les pneus arrière tournaient, remuant la terre, creusant de profonds sillons. Dans une réaction sauvage, craignant que le camion ne s’élance vers lui, il sauta dans le ruisseau froid.
Il gémit à nouveau. Cette fois, c’était un amalgame entre l’eau froide et la peur que son pick-up soit ruiné. Il remonta le cours d’eau de quelques mètres pour se mettre à l’abri de la camionnette. Il s’agenouilla dans l’eau, attendant, observant le camion. Soudain, les phares s’éteignirent. Le champ était noir et ses yeux mirent un peu de temps à s’y réajuster. Lentement, la lumière de la pleine lune transforma le champ en une étendue d’argent scintillant, à l’exception d’un point sombre : la silhouette de son camion.
Un instant plus tard, il entendit la porte se fermer et comme des bruits de craquements avancer vers lui.
Jerry se leva dans le ruisseau, il avait de l’eau jusqu’aux une cuisses, l’eau dégoulinait de ses vêtements. « Kitty, tu sais ce que tu as fait ? Foutre en l’air le camion d’un homme, c’est comme déclencher une guerre, ma fille – la troisième Guerre mondiale ! » Il tira sur sa chemise qui était collée à son torse. Elle se recolla immédiatement à sa peau.
Une forme ronde apparut sur la berge du ruisseau. « Prêt pour une guerre mondiale ? Je ne pense pas que tu pourrais avoir le dessus. »
« Kitty, Kitty », dit-il en glissant dans l’eau jusqu’à la rive. « Je suis prêt. Prêt à tout et à n’importe quoi. Tu as joué avec mon pick-up. » Il sortit du ruisseau et Kitty poussa un cri. Elle partit en courant comme elle l’avait fait auparavant.
Il lui lança un avertissement contrôlé. « Kitty, arrête. Tu ferais mieux de venir ici. »
Elle marqua une pause dans sa course, mais ne se retourna pas. Un soupçon de rébellion dans sa pause.
« Qu’est-ce que je viens de dire, Kitty ? » Jerry regardait la forme de son corps éclairée par la lune. Elle se tourna vers lui.
Il remarqua qu’elle portait à nouveau sa chemise de flanelle.
« Viens ici », dit-il fermement comme elle ne bougeait pas. Il répéta son ordre et montra ses pieds. « Mets-toi là. »
Elle fit de petits pas prudents, comme une jeune fille qui savait qu’elle recevrait une fessée sitôt qu’elle se trouverait à la portée de son père. Les tiges de maïs hachées craquaient sous ses bottes de cow-boy à chaque pas, se rapprochant de Jerry.
Lorsqu’elle fut assez près de lui, il la saisit rapidement avec une poigne d’ours. Après une lutte acharnée, il la tenait à présent contre lui et contre sa chemise trempée.
Elle couina tandis qu’il lâchait un rire de chapelier fou.
« Ew beurck ! Tu es trempé ! » cria-t-elle en essayant de se dégager.
« Tu ne pourras pas te libérer. Tu vas avoir froid et être trempée toi aussi. » Il la garda coincée sous sa chemise et la serra dans ses bras pour qu’elle ne puisse pas s’échapper. Mais il relâcha immédiatement son étreinte lorsqu’il sentit un pincement sur son mamelon tendu.
« Arrête ça », dit-il en l’éloignant de lui, mais il entendit sa chemise se distendre.
Elle s’échappa de sous sa chemise, mais ne put pas s’enfuir. Jerry lui saisit le bras et, en un instant, la hissa sur son épaule, son cul pointant vers la lune.
Elle couina de nouveau en frappant de ses poings le dos de Jerry et en battant sauvagement des pieds.
Malgré ses pitreries, Jerry la maîtrisait. « Maintenant », dit-il, « tu vas devoir payer pour ce que tu as fait. »
Elle le tapait sauvagement tandis qu’il avançait vers son camion.
« Je ne te laisserai pas partir, Kitty. Frappe tant que tu veux. Tu es à moi. »
« Non, je ne suis pas à toi. Non, pas question », dit-elle en riant, en criant et en s’épuisant. Finalement, elle abandonna. Son corps resta suspendu à l’épaule de Jerry jusqu’à ce qu’il arrive à l’arrière du camion. Il l’y déposa. Elle s’affaissa, fatiguée par les coups de pied, les cris et les rires.
Enfin, elle leva les yeux vers l’homme qui se trouvait en face d’elle. Il était fort et ce qu’il voulait était clair. Ce n’était pas le même type qu’il y a une demi-heure. C’était un nouvel homme. Il ne lui demandait pas la permission et ne la caressait pas gentiment. Jerry était ferme et direct. Elle aimait ce nouveau personnage.
« Tu vas me punir ici ? » demanda-t-elle.
« Tu as envie d’être punie, n’est-ce pas ? »
Elle arborait un sourire plein de désir.
Jerry attrapa sa chemise en flanelle mais avant qu’il ait pu la déboutonner, elle l’avait ouverte d’un coup sec. Les boutons sautèrent dans toutes les directions, disparurent, sans qu’on les voie.
Les deux protagonistes s’embrassèrent fougueusement. Leur passion naissait d’une satisfaction tardive, d’un ruisseau froid et d’une nuit passée à se taquiner.
Jerry passa la main à travers la chemise de flanelle ouverte et tâta ses gros seins. Sa main se porta ensuite sur la longueur croissante dans son pantalon.
Elle interrompit le baiser. « Pas de rétrécissement de ce côté-là à signaler, n’est-ce pas ? »
« Aucun ruisseau froid ne pourrait me faire rétrécir. » Il la replaça sur l’oreiller dans le « lit » du camion, près de la cabine.
Ses seins se balancèrent d’un côté puis de l’autre lorsqu’elle se recula. Elle baissa son short effrangé. Lui baissa son pantalon. Elle portait une chemise de flanelle ouverte et une culotte violette avec un petit nœud à la ceinture. Il était en caleçon foncé. Leurs mains s’agitèrent et s’empoignèrent jusqu’à ce qu’il soit nu et qu’elle n’ait plus sur elle lécha léchés sur toute leur surface, les grignota et les fouetta avec sa langue.
Alors qu’il continuait l’exploration de son corps, elle réussit à rassembler ses esprits et à prononcer la phrase suivante : « J’ai un tatouage. Tu le savais ? »
Il se redressa. « Non, non, je ne le savais pas. Où est-il ? »
« Tu veux le voir ? » demanda-t-elle.
Il devait reprendre ses esprits à son tour et s’extraire de toute cette folie sexuelle : « Tu joues encore un petit jeu ? »
Elle tendit la main vers son visage et effleura ses joues avec sa paume. « Ce n’est pas un jeu. »
Il s’écarta d’elle afin qu’elle puisse bouger.
« Descends du camion », lui dit-elle.
Il recula encore davantage et se retrouva debout sur le sol, près de la plate-forme du camion. Elle avançait à quatre pattes, dos à lui, les fesses en l’air.
Elle s’arrêta lorsque ses fesses rencontrèrent ses mains. « Enlève-moi ma culotte, lentement. »
Ses doigts coururent le long de l’élastique. Au niveau de ses hanches, il tira le tissu vers l’arrière. Bientôt, un petit tatouage apparut sur ses fesses pâles. Dans une fine écriture cursive, était écrit « rester sauvage ».
Il embrassa le tatouage et lui demanda : « Tu es sauvage ? »
Elle gémit doucement.
Il fit glisser la culotte sur ses fesses rondes. Lorsqu’elle sentit l’air frais l’envelopper, elle tourna la tête vers lui. « T’ai-je autorisé à me l’enlever complètement ? »
Il ne répondit pas. Il continua à faire glisser la culotte violette le long de ses jambes – qui rencontra bientôt ses bottes de cow-boy.
Ses mains tripotèrent ses grosses fesses. Ses doigts la touchaient et la pénétraient profondément. Quand elle roucoula, il la fit descendre du camion pour qu’elle se tienne dos à lui.
Elle tressaillit lorsqu’elle sentit sa bite se presser contre sa chatte. Elle leva les yeux et vit un nuage à la dérive bloquer la lueur de la lune.
Jerry pénétra sa chatte humide et des douleurs aiguës s’emparèrent de son corps. Elles furent immédiatement suivies par une chaleur qui se répandit de son cœur jusqu’à la pointe de ses orteils lorsqu’il retira sa bite, de sorte que seule son gland resta encore en elle. Les montées de douleur et de plaisir se poursuivirent sous le coup des poussées renouvellées alors que sa mouille recouvrait entièrement sa bite.
« Oui, oui », gémit Kitty.
Entendant ses mots, Jerry augmenta la pression et la vitesse, son estomac se tordait et son cœur battait la chamade. Il essaya de parler, mais son esprit et son corps grognaient mentalement et physiquement. À sa place, le pick-up commença fièrement à grincer et à couiner sous l’effet de ses poussées.
Elle le stimulait et l’encourageait. « Oui, baise-moi, baise-moi, baise-moi. » Elle passa la main entre ses jambes pour masser son clito en décrivant des cercles serrés. Son corps tressaillit. Son massage s’accéléra.
Lorsque le corps de Jerry se redressa et que son torse maigre s’infléchit, elle saisit sa nuque pour se préparer à la joie qui allait venir. Son dos se cambra tandis que Jerry s’enfonçait profondément, faisant tressauter sa chair.
Dans sa poussée, il lui saisit les cheveux et lui tira la tête en arrière. Elle vit que le nuage était passé et que le clair de lune brillait. Jerry, étendu sur son dos comme un loup hurlant, sifflant et grogna. Sa respiration était une succession rapide d’inspirations en staccato. Elles s’accélèrent, jusqu’à une pause soudaine.
Un moment plus tard, Kitty sentit une explosion en elle. En le l’accueillant, son corps se contorsionna et une vague de piques et de chaleur lui brouilla l’esprit. Le plaisir.
Alors que leur plaisir s’estompait peu à peu, la lune s’était éclaircie et Jerry était allongé à côté d’elle dans le lit du camion, dessinant des lettres sur ses seins.
« Ce tatouage t’appartient, tu sais, il te va bien. »
« Tu es l’un des rares à l’avoir vu. »
« J’espère que ça restera le cas. »
« Occupe-toi bien de moi mon garçon, et ça restera comme ça. Me laisser conduire ton camion n’est pas ce que j’ai en tête quand je te conseille de bien me traiter. »
« Je peux te traiter mieux qu’aucun autre chauffeur de camion ne pourrait le faire. Mais je n’arrive pas à comprendre ce qui tu as voulu faire avec mon camion tout à l’heure. »
« Relis le tatouage. »
« Je dois faire attention. »
« Oui, méfie-toi et reste du bon côté. »
* Cette fiction érotique a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici !