Un colis pour Mme Davis – Fiction érotique – Partie 2

Un peu plus tard ce jour-là, la porte du garage se souleva et le coupé rouge brillant y pénétra. Dans la maison, Dawn posa son sac à main et son cabas sur la table de la cuisine. Elle déboutonne rapidement son fin chemisier bleu afin de pouvoir retirer les pinces de ses mamelons, à présent tout engourdis. Les boutons défaits, elle jeta son chemisier sur le fauteuil inclinable et traversa le salon à grands pas pour se rendre dans sa chambre. Elle enleva une bretelle de son soutien-gorge en dentelle et s’arrêta net au milieu de la pièce.

L’ami de son fils était sur le canapé. Silencieux. Sa mâchoire était presque tombée par terre. Il regardait fixement.

« Oh, mon Dieu ! Steve ! » Dawn enroula ses bras autour de sa poitrine pour cacher ses seins à présent emprisonnés.

« Je suis désolé/e. Je ne savais pas… », s’écrièrent Steve et Dawn en même temps .

« Je ne savais pas que tu étais là », reprit Dawn.

Elle remarque que le visage de Steve était tout rouge. Il ne respirait pas et ne refermait pas sa bouche. Ses yeux étaient exorbités et il ne pouvait détacher son regard de la poitrine de Dawn.

Il toussa et se racla la gorge.

« Mme Davis, je suis tellement… » Steve bégaya. « J’attends Brandon… pour prendre quelques… euh verres. Vous voulez que je m’en aille ? »

« C’est bon, Steve », dit-elle en traversant latéralement la pièce vers la télévision jusqu’au couloir. « Nous ferons comme si rien ne s’était passé… »

Elle remarqua la bosse au niveau de l’entrejambe du short de basket de Steve. Il y déplaça ses mains, mais son esprit n’était pas assez concentré pour la masquer efficacement.

Ils restèrent l’un devant l’autre pendant une éternité, aussi brève fut-elle en réalité. Leurs esprits étaient pris au piège de l’inattendu et de la déviance sexuelle. Les fantasmes de Steve se réalisaient, et Dawn se rendait compte que son charme d’antan continuait à agir sur des hommes de tous âges.

Dawn rompit le silence.

« Nous ne le dirons pas à Brandon, d’accord ? Tu ne m’as jamais vue comme ça », dit Dawn. Elle baissa un bras pour remonter la bretelle de son soutien-gorge.

« Mais pourtant si. » Les mots sortaient de la bouche de Steve. « Je vous ai vue. »

« N’en parle pas. »

« Je ne peux pas l’oublier. »

« D’accord, ne l’oublie pas, mais ne dis rien. Ce serait mauvais pour nous et pour Brandon – très mauvais pour lui », dit Dawn.

« Vous êtes tellement sexy. Un corps incroyable », bredouilla Steve dans sa stupeur.

« Merci. »

« Je peux ? »

« Tu peux quoi ? »

« Voir. »

« Me voir moi ? »

« Oui. »

Elle détourna les yeux devant la maladresse de la demande. Il y a quelques instants, lorsqu’elle avait fermé la porte du garage, une telle situation aurait été réservée aux histoires érotiques absurdes. Aujourd’hui, c’était la situation bien réelle dans laquelle elle se trouvait. Un adolescent – Steve de surcroît – tout absorbé dans la contemplation de son corps.

Le voyant toujours sous son charme, elle lui dit : « Et après cela on n’en parlera plus, d’accord ? Plus jamais. »

Steve se contenta d’acquiescer.

Elle bougea les bras, bien qu’elle ait gardé son soutien-gorge. Ses bras pendaient le long de son corps, les épaules basses, tandis qu’elle sentait les yeux de Steve se poser sur ses formes généreuses et maternelles. Il prit son érection en main, essayant de bloquer la protubérance évidente. Lorsqu’elle le vit faire, sa gorge se serra, l’étranglant sexuellement. Sa chatte s’humidifia et ses lèvres se gonflèrent et se mirent à picoter. Pire encore, ses mamelons se crispèrent, s’opposant aux pinces. Elle empoigna ses seins, les serra. Dans ce moment de douleur, elle oublia le jeune homme devant elle. Elle passa la main dans son soutien-gorge et déclipsa la première pince. Elle passa la main dans l’autre bonnet pour libérer l’autre. Ses seins se sentaient enfin à l’aise. C’est alors qu’elle pensa de nouveau à Steve.

« C’était un accident, Steve. Je n’ai pas fait exprès. C’était une erreur. » Elle se précipita dans sa chambre, le laissant là.

Elle ferma et verrouilla la porte de sa chambre, puis s’effondra, rougissante et effrayée, dans le fauteuil à côté de son lit.

Elle s’essuya le front. « Est-ce que tout cela est vraiment arrivé ? »

Mais, si l’embarras la tenaillait, l’excitation s’installait aussi. « Je l’ai fait bander. Au garde-à-vous tout de suite. Il a une petite amie et plein de jeunes filles autour de lui. Mais il me trouve sexy. »

Elle enleva son soutien-gorge et frotta ses mamelons meurtris. Bientôt, elle les étira et les fit rouler entre ses doigts. L’excitation physique et mentale envahit tout son corps. Chaleur bouillonnante, tempes battantes, orteils recroquevillés, dos tendu, cuisses écartées. Ses doigts glissèrent sous le tissu fin de sa culotte, à travers son buisson taillé vers sa chatte humide.

Sa tête retomba en arrière sur le dossier de la chaise. Elle aimait cette sensation. Le nombre d’hommes qu’elle excitait ne cessait d’augmenter, à sa grande surprise. Cet ingénieur et maintenant l’ami de son fils. Elle s’imaginait se faire fouetter par chacun d’eux.

Sa respiration devint plus saccadée, son visage se crispa, une bouffée d’étincelles jaillit de son sexe vers la pointe de ses orteils et de ses doigts. L’orgasme l’encerclait et l’entraînait dans ses filets.

Mais le rêve s’évanouit lorsqu’elle entendit Brandon dans le salon.

« Le chemisier de Maman ! Mais qu’est-ce qu’il fait ici ? Elle me reproche toujours de laisser mes affaires dehors. Il va falloir que je l’engueule pour ça. »

Un peu plus tard, elle entendit Steve.

« Il était là quand je suis arrivé », dit-il.

Elle se calma en entendant la réponse de Steve. Malgré tout ce qu’il pouvait en dire, Steve gardait pour lui ce qui s’était réellement passé. Peut-être qu’elle serait en sécurité et que leur rencontre accidentelle serait oubliée.

Pourtant, il y avait un hic dans la chronologie. Quand Brandon était parti, sa chemise ne se trouvait pas sur la chaise. Dawn espérait que Brandon ne remarquerait pas cet détail. Le basket-ball ou les jeux vidéo sauraient l’occuper.

Dawn resta dans sa chambre, attendant que les garçons, et plus particulièrement Steve, soient partis.

Finalement, elle se dirigea vers le salon, vêtue de son soutien-gorge et de sa culotte échancrée. Son esprit était en train de s’émoustiller.

« Je ne savais pas que tu étais là », dit-elle comme si Steve était de nouveau sur le canapé.

Elle s’imagina que Steve s’était levé. Il n’était pas surpris par elle cette fois-ci. Au contraire, il avait un rictus de loup.

La main de Dawn glissa de son décolleté vers l’élastique de sa culotte.

« Tu as vraiment aimé ce que tu as vu ? Je t’ai fait bander ? » demanda Dawn.

« Oui, et pas seulement moi. »

« Oh là là ! Qui d’autre ? »

Il fit un signe de la main et deux autres hommes apparurent. C’était Sir et son date du congrès, l’ingénieur. Elle en fut très surprise.

« Quand êtes-vous arrivés tous les deux ? »

Steve répondit pour eux. « Je leur ai parlé de vous. Je leur ai dit que vous aviez vraiment besoin d’une bonne baise. Et que plusieurs hommes ne pouvaient que vous satisfaire. »

« Tu me connais mieux que tu ne le laisses paraître. »

« Je vous observe depuis des années, Dawn. Je ne suis ami avec Brandon uniquement pour pouvoir te voir. Il est temps pour nous trois d’avoir un morceau de toi. À genoux. »

Elle s’agenouilla et saisit la bite dure de l’ingénieur et celle de Steve. Elle en prit les glands dans sa bouche. Elle suça et lécha du mieux qu’elle pût avec sa bouche tendue à l’extrême. Sir se plaça derrière elle avec son habituelle douceur et sa suavité. Il écarta sa culotte, la laissant claquer contre ses fesses rondes. Il fit courir ses doigts le long de son cul et les enfonça dans sa chatte, en faisant des mouvements de va-et-vient. Sa chatte était déjà trempée et les palpitations dans son corps devenaient de plus en plus violentes.

Elle aimait l’attention de ces trois hommes. Elle avait besoin de ce sexe. Elle voulait être dominée, contrôlée et poussée dans ses derniers retranchements sans avoir le choix. Elle voulait être fouettée.

Avant qu’elle prenne ses aises dans cette position, les hommes en changèrent. Steve s’allongea sur le canapé. Elle s’assit face à lui, ses seins lui caressant le visage, et elle plaça sa chatte ouverte sur sa bite. Puis Sir poussa sa bite contre son anus. Elle le laissa s’assouplir jusqu’à ce qu’il puisse y entrer. Deux bites avaient étiré sa bouche il y a quelques instants. Maintenant, deux bites lui tendaient tout le bas du corps. Elle n’avait jamais été soumise à deux bites en même temps. La douleur était vive, mais seulement par vagues, car les deux bites travaillaient en tandem.

Pour ne laisser personne de côté, elle se mit à caresser l’ingénieur. Il la regardait fixement. Elle avait l’impression qu’il voulait aborder le sujet de ses peintures préférées. « Vous avez de très bons goûts en matière d’œuvres d’art. Je veux en voir d’autres », dit-il.

Puis Sir lui demanda vertement de se concentrer sur sa bite. « Tu m’entends, salope »

« Oui, Sir », répondit-elle rapidement.

Steve lui saisit les seins pour attirer son attention. Il lui tira les tétons, lui demandant si ses tétons étaient encore douloureux après une journée de pinces.

« Je les ai portés toute la journée et je ne suis pas encore habituée à la douleur, mais… »

Elle fut interrompue par les deux doigts que l’ingénieur lui enfonçait dans la bouche tout en attirant son visage vers le sien. Il avait une jambe enfoncée dans le coussin du canapé et sa bite attendait qu’elle se taise et ouvre la bouche. Ce qu’elle fit.

C’était la troisième bite qu’elle suçait en l’espace de quelques instants.

Les trois hommes lui donnèrent chacun une fessée, la faisant grogner et hurler. Elle ferma les yeux sous l’effet de la douleur provoquée par l’étirement de son cul et de sa chatte et du réflexe de bâillonnement provoqué par la bite de son ingénieur. Quelques instants plus tard, le plaisir reprit le dessus. Elle gravissait les collines du plaisir sexuel et glissaient dans ses vallées, avant de remonter à nouveau. Bientôt, son corps se mit à trembler et implosa en son centre, comme un feu d’artifice inversé. Elle resta un long moment dans le luxe de la débauche.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux et expira, le salon était vide. La pièce était silencieuse. Il n’y avait personne. Les hommes étaient partis. Ils n’avaient jamais été là.

Elle se retrouva sur la moquette, entre le canapé et la table basse. Ses genoux étaient douloureux et son coude avait heurté la table basse. Elle remarqua que, dans sa main, la tige nervurée qui se trouvait au bout du fouet était recouverte de sa mouille. Il avait fait un bon travail.

Elle avait oublié à quel point elle aimait ce genre d’attention, être la pièce maîtresse, être prise sans pitié et sans précaution sans sollicitude.

Une fois capable de se lever, elle tituba jusqu’à sa chambre. Elle se jeta sur son lit et dormit d’une traite. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle n’avait pas aussi bien dormi. Le lendemain matin, toujours sous couette, elle envoya un message à Megan.

J’ai adoré le jouet. Meilleure partie de tous les temps. Je te dois une fière chandelle.

Megan lui répondit par texto.

Imagine ce que tu pourrais faire avec le fouet !

Cette pensée fit saliver Dawn. Hmm.

 

* Cette nouvelle érotique a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Vous pouvez la lire en version originale en cliquant ici.

** Pour lire la première partie, c’est par .