Evelin de l’Administration – Fiction érotique

TW : scènes de domination.

Une légère sonnerie retentit sur l’ordinateur de Shawn ce matin-là. Un nouvel email venait d’arriver dans sa boîte de réception à 8 h 17. C’était un message destiné à tous les employés.

« Bonjour !

Je tenais à vous faire part d’une grande nouvelle. Evelin Webber a été nouvellement nommée directrice de la division administrative. Je suis ravi de voir ses compétences ainsi reconnues dans notre organisation. Evelin est unique en son genre. Elle est enthousiaste, ouverte et prend son travail très au sérieux.

Félicitations à Evelin ! »

En lisant la nouvelle, Shawn s’adossa à son bureau et sourit. Il ne souriait pas nécessairement à cause de la récente nomination d’Evelin. Elle était vraiment la bonne personne pour diriger la division administrative. En fait, Shawn avait bien d’autres raisons de sourire. Il avait lui aussi appris qu’elle était unique en son genre. D’un genre que personne d’autre dans la société ne connaissait.

Il aimait la position dans laquelle il l’avait mise cette nuit-là. Et, tout autant, la position dans laquelle elle l’avait mis.

Shawn se remémora l’Evelin de la nuit.

Il lui avait dit qu’il s’échappait du bureau, plus tôt, pour une fois. Il l’avait même encouragée à faire de même, mais elle lui avait répondu qu’elle avait trop de choses à faire au bureau. Ce faisant, il lui dit qu’il avait donné sa candidature à un chasseur de têtes. Elle le retrouva finalement au bar de Harkenrider.

Assis sur sa chaise de bureau ergonomique, Shawn plaça ses mains derrière sa tête. La nuit lui revint comme en plein jour.

Il se trouve qu’Evelin avait ce soir-là une paire de menottes à portée de main. Et elle lui avait fait une fellation d’enfer. En fait, c’était la meilleure qu’il ait jamais reçue. L’image d’elle laissant le sperme s’écouler de sa bouche l’excitait encore plus maintenant. Ça l’avait choqué sur le coup, cette nuit-là, comme la plupart de ce qu’elle avait fait – le jeu de rôle et tout. Elle arrivait à transmettre tellement de choses rien qu’avec ses yeux. Ils pouvaient la faire passer instantanément du statut de biche innocente à celui de femme fatale. Il avait dû se battre pour avoir le dessus. Elle était dure à saisir, dans différents sens du terme.

Après avoir fait cette fellation, elle s’était transformée en femme dangereuse, alors qu’il giflait ses joues avec sa bite épaisse. Le sperme gluant et la salive qui étaient déjà descendus jusque sur son menton avaient éclaboussé sa veste de travail et la portière de la voiture.

« Comment c’était ? » demanda Shawn.

Evelin sourit. D’un sourire lisse mais sale, au bord du grognement. « J’ai adoré. » Puis ses yeux bruns se rétrécirent. « Mais tu… »

Il gifla son visage à nouveau avec sa bite maintenant dégonflée. « Qu’est-ce que tu as dit ? »

Elle adopta le sourire d’une bête affamée. « Je ne t’ai pas laissé finir. Tu n’es pas responsable. »

« Pas responsable ? C’est moi qui suis debout ici. Tu es assise là avec des menottes ! » Il frappa le toit de la voiture pour insister.

« Ouais, eh bien, des adjoints du shérif sont à tes trousses. Ils seront là d’un instant à l’autre. Ils m’ont utilisée pour arriver jusqu’à toi », lui dit-elle.

« Salope, aucun adjoint du shérif n’est en route. Mais… » Il lui attrapa le visage, lui pinçant les joues pour que ses lèvres se gonflent comme un poisson. « Je parie que le shérif et tous ses adjoints jouiraient grâce à toi. »

Le pénis de Shawn était trop dégonflé pour la frapper au visage comme il l’avait déjà fait. Alors il fit glisser le bout de sa bite sur l’arête de son nez. Ses couilles pendaient devant ses narines, dégageant une odeur rude.

« Tu as fait jouir tous ces hommes, n’est-ce pas, bébé ? » insista Shawn.

Puis elle se pencha vers l’avant, le regardant fixement. « Oui, chacun d’entre eux, sans exception. Même la petite dame de la troupe. »

Une fois de plus, son commentaire l’arrêté. Il était enraciné dans le sol. Ce ne dura  qu’un bref instant, mais, dans ces circonstances, il eut soudain l’impression qu’Evelin avait le contrôle sur tout. Sur lui.

Comment avait-t-elle pu imaginer tout cela si rapidement ? pensa-t-il.

Shawn a essayé de reprendre le contrôle de la situation. Il la poussa en arrière dans la voiture. Elle était couchée sur le côté. Il a soulevé ses pieds et la poussa à l’intérieur.

« Qu’est-ce que tu fais ? » lui demanda-t-elle.

« Peu importe ce que je fais, je n’en ai pas fini avec toi. » Et il claqua la porte pour la fermer.

Alors qu’il sortait la voiture du parking, elle se redressa. Elle se pencha entre les deux sièges avant.

« Qu’est-ce que tu vas me faire ? » demanda-t-elle une fois de plus.

Il appuya sur l’accélérateur. Evelin bascula en arrière à cause de l’accélération. Shawn s’arrêta ensuite brutalement au feu rouge, la faisant revenir vers l’avant.

Shawn la regarda dans son rétroviseur. « Je n’ai pas confiance en toi – quelqu’un d’aussi proche du shérif. Je suis sûr que tu caches un micro », lui dit-il.

« Je n’ai pas de micro. Pourquoi est-ce que j’en aurais un ? »

« Tu as probablement un code pour attirer les flics vers toi. »

« Si je portais un micro, ils seraient en ce moment même tous en train de nous écouter. Tu crois que le shérif a aimé m’entendre te sucer ? »

Shawn fit une pause, son esprit bafouillant à cause de ses derniers mots. Il se reprit.

« Pas de micro hein ! Je savais que tu n’avais qu’aucun adjoint du shérif n’était en route. Tu parles comme si tu savais quelque chose. »

« Mon garçon, j’ai d’autres moyens pour attirer ses adjoints chez moi. Tu ne peux pas comprendre. »

« Tu penses que je suis trop stupide ? »

« Je n’ai pas dit ça. Mais tu entends quand je dis que je ne suis d’accord ? »

« Tu ferais mieux de surveiller ce qui sort de ta bouche avant d’y ré-entrer. »

« Ma bouche est fermée. » Elle s’assit et leva le menton, comme une petite fille en colère.

Cependant, en regardant dans le rétroviseur, Shawn y vit une femme méchante et dure. Ses cheveux étaient en désordre, crépus et tombants. Une grande partie de son visage était couverte de crachats et de sperme séché. Sa veste de travail pendait sur ses épaules, son chemisier était tiré sur le côté. Une bretelle de soutien-gorge était visible. Une belle bretelle d’un soutien-gorge à armatures contenant deux gros beaux de chair qu’il avait hâte de taquiner.

En arrivant chez lui, il ouvrit la porte arrière de la voiture. Son avertissement était clair. « Prépare-toi à une fouille corporelle. »

« Une fouille corporelle ? Vous avez un mandat pour me fouiller ? »

Shawn ignora sa question. Il la traina hors de la voiture.

Elle retira violemment son bras maintenu serré par Shawn.

« Tu ne m’as pas lu mes droits, mes droits Miranda. »

Shawn la tira brutalement. « Tes droits Miranda, hum. Comme quoi ? Garder le silence, un avocat, ne pas répondre aux questions ? Écoute, il n’y a pas de droits Miranda qui tiennent ici. »

Il la conduisit dans sa maison et la poussa sur son canapé en cuir usé. Il la pointa du doigt.

« Même si je t’accordais des droits, je te soupçonne toujours d’avoir un micro. Rien ne m’arrêtera. »

Elle lança un regard perçant à l’homme qui se tenait au-dessus d’elle.

« Je parie qu’aucune Miranda – ou aucune autre femme – n’est venue ici depuis longtemps. Tu as besoin d’une chatte. »

« Il y en a eu beaucoup ici. Et aucune d’entre elles n’a eu de droits. »

Elle secoua la tête. « Je ne suis pas l’une d’entre elles. »

Shawn se mit entre ses jambes et les écarta lentement. Le tissu de sa jupe crissa en se déchirant. « Tous tes discours sur les droits sont ridicules. Sache salope, que quand tu es avec moi, tu les perds tous. »

Elle répliqua.

« Je ne pense pas avoir perdu le moindre droit. En fait, aucun de mes droits n’a été perdu, parce que je n’ai pas joui avec toi, mon petit pote. Si jouir avec toi est la raison pour laquelle on me retire des droits, je suis bien certaine de ne jamais les perdre… » Elle hocha la tête d’un air de défi. Puis, elle se pencha en avant. « À moins que tu n’y arrives. ». »

Il croisa les bras et regarda la femme lascive qui se tenait sur son canapé. En réalité, c’était la première fois depuis longtemps qu’une femme y était assise. Evelin savait tellement de choses sans demander la moindre information.

Sans un mot, il s’agenouilla et attrapa la taille de sa jupe.

Elle haleta de surprise. « Tu attends quelque chose de moi ? » lui demanda-t-elle.

« Non. » Il fit glisser sa jupe sur ses hanches lourdes et ses cuisses épaisses et tremblantes. Shawn était presque en train de baver. Elle avait un corps parfait pour les vrais hommes.

À ce stade, ses jeux de droits et d’application de la loi, ses taquineries et son badinage étaient tombés à l’eau. Tout était remplacé par la luxure. Evelin avait dit quelque chose. Il avait seulement entendu le son comme un écho lointain, ou quelque chose d’inintelligible. Et quand le sexe démarre, pour lui, beaucoup, beaucoup de choses deviennent inintelligibles.

Il envoya valser sa jupe, qui atterrit sur le bras du fauteuil de l’autre côté de la pièce. Ensuite, il baissa sa culotte. C’était une culotte beige de grande taille. Pas typique d’une partie de sexe endiablé, mais appropriée pour une journée de bureau.

Il se demanda si elle portait sur elle autre chose que des menottes. Il venait de constater qu’elle n’avait pas mis de sous-vêtements sexy en se réveillant ce matin-là ou en quittant le bureau pour venir à sa recherche jusqu’à chez Harkenrider. Peut-être que les menottes étaient tout ce qu’elle avait eu le temps d’attraper sur son bureau.

Mais le plus important, c’est que sa culotte s’était laissé enlever aussi facilement que si elle avait été plus sexy. Les jambes libres, elle les écarta immédiatement et l’incita simplement ainsi : « Donne-moi quelque chose. »

Elle avait un triangle parfait entre ses cuisses épaisses et son ventre doux. Un buisson bien taillé de poils dorés mettait ce triangle en valeur. La chatte de la femme qu’il désirait depuis si longtemps était devant lui, comme un trésor de grande valeur.

De son propre chef, elle s’était déplacée jusqu’au bord du canapé et avait écarté les jambes encore davantage.

Shawn en eut la respiration coupée.

Elle portait un plug de cristal arc-en-ciel. Son scintillement le toucha un instant et fit des étincelles.

« Evelin ! » Son prénom s’échappa de ses lèvres abasourdies. « Tu es toujours pleine de surprises. »

Elle rit. « Tu ne t’y attendais pas ? »

« Je ne sais jamais à quoi m’attendre avec toi. »

« Eh bien, remets-t’en», lui ordonna-t-elle. « Mets ton visage dans cette chatte. Fais-lui sentir ta langue. Elle est mouillée et ne veut plus attendre. »

Shawn fit ce qu’on lui dit. Il enfouit son visage dans son mont de Vénus.

Evelin le complimenta à grand renfort de gémissements profonds et de secousses soudaines de plaisir. Elle enroula même ses grandes jambes autour de sa tête. Elle lui boucha les oreilles pour qu’il puisse entendre son pouls qui s’accélérait.

Lui dévorer ainsi la chatte était chaud bouillant à plusieurs niveaux. Il dut se lever pour prendre l’air et laisser son visage rougi refroidir. Elle n’apprécia pas cette pause. Elle l’attrapa par les cheveux et lui dit : « Ne t’arrête pas. Ne t’arrête pas. Tu as du travail à faire. »

De nouveau, il enfonça sa langue loin en elle, laissant même son nez se presser contre la chair douce de son clitoris. Son visage était à présent aussi sale que celui d’Evelin.

Elle l’encouragea.

« Vas-y. Oui, oui. Je peux dire que tu aimes cette chatte à la façon dont ta bouche travaille. »

Elle se balança légèrement pour suivre ses mouvements.

Il fut stupéfait par ce qu’elle énonça avec ferveur.

« Cela fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas mangée comme ça, qu’une bouche ne s’est pas posée sur ma chatte. J’avais besoin de ça. J’adore qu’on me bouffe la chatte. »

Il s’enfonça alors davantage, l’aspirant plus fort.

Evelin se mit à respirer plus vite et finit par crier glorieusement : « Oui ! Putain, oui ! Oh mon Dieu, c’est… tu es si bon. »

Elle continua le presser contre elle, parlant de plus en plus vite alors que son corps se délectait de ses explosions de bonheur. « Continue à travailler Shawn, bébé, Shawn, ne me laisse pas tomber, emmène-moi là-bas, s’il te plaît, oui, Shawn. Fais-le pour moi, après avoir vu cette chatte, je sais que tu voulais la voir, que tu voulais me baiser, Shawn, oui, Shawn, je te sucerai encore, si tu continues à t’occuper de moi, s’il te plaît, continue, j’en ai besoin. »

Son corps se mit à trembler et elle fut parcouru de frissons. Elle avait du mal à reprendre son souffle. Les jambes qui avaient serré la tête de Shawn étaient maintenant molles et de travers. Ses narines se dilatèrent alors que son corps luttait silencieusement contre la frénésie écrasante de l’orgasme.

Shawn se reposa aussi après cette séance d’entraînement. C’était aussi dur que n’importe quelle séance de sport qu’il avait pu faire. Il s’assit sur la table basse en face du canapé. Son visage était rouge et en sueur. La chaleur de son corps s’échappait par le sommet de son crâne.

Evelin marmonnait doucement, comme si elle dormait. « Cela fait des mois et des mois que cela… semble si… » La phrase inachevée était révélatrice.

« Des mois ? » Shawn pensait qu’il avait seulement répété ce mot dans sa tête, mais il se rendit compte qu’il l’avait prononcé à haute voix lorsqu’Evelin lui répondit.

« Des mois en effet », lui dit-elle, langoureusement. « Et je ne peux pas laisser les choses traîner plus longtemps. Les sextoys ne peuvent pas égaler ce qu’un homme est capable de faire avec sa bouche. Les hommes prennent le dessus. J’adore ça. »

« Donc je suppose qu’un gode ne peut pas remplacer une vraie bite. »

Elle ouvrit les yeux, son visage s’éclaircit. « Les godemichés sont difficiles à remplacer. Est-ce que quelqu’un parmi nous a une bite pour faire une comparaison ? »

Shawn la souleva du canapé et l’emmena dans sa chambre. Elle se laissa tomber avec plaisir sur le matelas grinçant. Ses pieds touchaient presque le sol.

Il lui attrapa les genoux, mais elle l’arrêta.

« Tu n’as jamais trouvé le micro que tu disais être sur moi. Tu crois que tu sais où il est ? »

Il lâcha ses genoux. « Je sais exactement où il se trouve. »

Les deux amants retirèrent le chemisier froissé d’Evelin, et libérèrent ses seins imposants mis en valeur par son soutien-gorge à armatures.

« Tu m’as démasquée », lui dit-elle, reprenant son personnage innocent. Elle posa ses mains sur sa tête pour laisser ses seins être le centre d’attention pendant un moment.

Puis, se déplaçant lentement, elle fit glisser chaque bretelle de soutien-gorge sur ses épaules rondes, tout en fixant Shawn. « Ne me fais pas de mal pour avoir menti. D’accord ? »

Elle se retourna pour détacher le soutien-gorge. « Tu ne me feras pas de mal, n’est-ce pas ? »

Avant qu’il puisse répondre, le soutien-gorge était tombé sur ses genoux. Ses deux seins pendaient mollement contre elle. De larges aréoles couleur champagne et des mamelons dressés. C’était exactement ce qu’il avait imaginé et voulu.

Elle jeta le soutien-gorge sur le lit et s’allongea. Ses seins rebondirent et se balancèrent circulairement. « Fais ce que tu penses être le mieux suite à la façon dont je t’ai menti et induit en erreur. Rappelle-toi, Shawn, je suis… »

Shawn grimpa sur elle. « Mon otage. »

Il suça ses seins sauvagement.

« Oui ! » Evelin caressa ses cheveux noirs. « Tu es mon kidnappeur, mon ravisseur, tu ne me laisseras pas partir. »

Bientôt, ses mains descendirent le long du dos de Shawn, le griffant au passage. Elle attrapa ses fesses et en serra la chair charnue. Elle remonta le long de son torse, puis fit glisser ses ongles sur ses épaules et ses avant-bras. Elle bougea ses mains l’une après l’autre et les déplaça vers son ventre. Puis, sensuellement, elle poussa sa main de plus en plus bas jusqu’à ce que les doigts touchent son buisson.

Shawn renonça à ses seins.

« Tu vas sentir quelque chose de bien réel », lui dit-il.

« J’en ai marre des jouets. Je veux des mecs. »

Elle se réinstalla au milieu du grand lit de Shawn. Elle fit glisser le plug anal et le retira de son anus.

Shawn entra dans sa chatte glissante en douceur. Evelin se redressa et a gémit lorsqu’il la pénétra de toute sa longueur.

Le gémissement initial et ses autres grognements se calmèrent quand elle trouva son rythme. En un rien de temps, le cadre du lit se mit à trembler et les ressorts du matelas à grincer.

Il perdit le rythme pendant un moment lorsqu’il entendit un bruit sourd sur le sol. Mais avec Evelin dans son lit, il avait assez à faire pour s’inquiéter d’un bruit bizarre, qu’il s’agisse d’une lampe tombée ou d’une horloge de chevet. Evelin avait enroulé ses jambes de python autour de ses hanches pour remettre son attention sur la baise.

« Donne-toi à fond. Ne laisse pas un gode te battre ou je ne reviendrai pas. Les sextoys seront mes seuls… »

Il accéléra le rythme pour la faire taire. Son visage devint comme fiévreux et elle gémit de nouveau.

Son corps commençait son ascension vers l’orgasme. Evelin le savait aussi. « Ne t’arrête pas. Donne-moi tout ce que tu as. Tant qu’il t’en reste. » Ses mains parcoururent son corps.

« Allez, Shawn, bébé, oui. Donne-moi ça. Je veux ton sperme. Tu veux que je l’aie. Tu me fais me sentir si bien. J’adore ça ! J’ai besoin de ta bite, de ta bite ! »

Elle cria : « S’il te plaît « Il lui envoya son sperme et resta un moment en elle, suspendu dans le temps et l’espace. Puis il s’écroula à côté d’elle.

Il essuya la sueur de son front avec le dos de sa main. Après avoir repris ses esprits, il la conduisit vers la douche. Ils se savonnèrent l’un l’autre. Il fit mousser le savon sous ses seins et dans ses fesses. Elle frotta le gel douche sur sa poitrine et sous son scrotum, lui donnant ce qu’elle décrivit comme un « plaisir d’après dîner ».

Ils étaient prêts à s’écrouler dans le lit jusqu’au matin, mais se souvinrent de la voiture d’Evelin et du travail du lendemain. Evelin n’avait rien de propre à mettre.

Après un petit baiser au Harkenrider’s Bar, ils partirent chacun de leur côté.

Le lendemain matin, Shawn découvrit ce qui avait fait le bruit sourd sur le sol la nuit précédente. Il retrouva le plug clouté étincelant. Il rit. Il y a encore une journée de cela, il n’aurait jamais imaginé ce qui s’était passé, il n’aurait jamais imaginé qu’Evelin en ait un ou, encore moins, qu’elle le porte dans sa propre chambre.

En relisant le nouveau courriel adressé à tous les employés, il décida de se rendre demain dans les bureaux de l’administration pour lui offrir un cadeau et lui rendre son jouet.

 

* Cette nouvelle a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici.