Chambre n°23 à Paris – 3e partie

Misty soupira lorsqu’elle sentit les mains fermes d’Orlando sur ses seins et gémit face à la double stimulation de ses partenaires de jeu.

Orlando regardait les deux femmes devant lui. Misty avait les yeux clos et Mme Mower démontrait tout son savoir-faire sur la jeune femme.

– Karen, tu ressembles à une déesse à genoux, dit-il à Mme Mower.

– Oh Orlando, arrête…

Elle découvrit que Misty s’était débarrassée de sa culotte.

– Orlando, nous avons ici une jeune femme avec une sacrée toison, bien noire. J’adore.

Mme Mower passa sa paume sur la toison de Misty. Ce faisant, elle étira son cou pour déposer un baiser sur le nombril de la jeune femme.

– J’ai un faible pour les toisons fournies, murmura Orlando à l’oreille de Misty.

Mme Mower se redressa et conduisit Misty sur le bord du lit et lui dit :

– Tu n’as jamais embrassé d’autre femme donc j’imagine qu’aucune femme ne t’a jamais mangé la chatte ?

Misty acquiesça timidement. Mme Mower la fit s’allonger et lui posa les pieds sur le rebord du lit. Elle se pencha alors vers elle, jambes tendues et fesses bien en l’air.

Le sexe de Misty s’ouvrait si timidement qu’on aurait dit qu’il n’avait jamais connu le plaisir avant cette nuit-là. Ses lèvres étaient petites, en adéquation avec le reste de sa physionomie. Mme Mower enfonça son visage dans sa chatte et commença à la titiller avec sa langue. La réaction de Misty fut immédiate :

– Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! répétait-elle à chaque coup de langue bien placé. Quand la langue de Mme Mower passa sur son clitoris, elle lâcha un énorme soupir.

– Oh la la ! Oh la la !

Elle appuya sa main sur le front de Mme Mower. Cette dernière leva la tête et par-dessus la toison de la jeune femme, elle contempla les mouvements de son torse et de ses seins. Elle la vit qui se mordait les lèvres et fermait les yeux.

On frappa soudain à la porte.

Misty fit comme si de rien n’était. Orlando sauta sur ses jambes.

– C’est bon, tu peux ouvrir, le rassura Mme Mower. Mais enroule-toi dans une serviette.

Orlando s’enroula dans une large serviette blanche qui ne suffisait pas à cacher son érection. Mme Mower apprécia le contraste entre la blancheur de la serviette et son corps mat.

Il entrouvrit la porte :

– Oui ?

– Orlando ? dit une voix d’homme.

– Greg !

Chacun se tenait d’un côté de la porte, incrédule et dévisageant l’autre.

– Et bien fais le entrer, dit Mme Mower.

Orlando ouvrit la porte et Greg se faufila dans la chambre. La porte fut à nouveau verrouillée pour garder le secret de ce qui se tramait dans la chambre. Deux professeurs, deux parents d’élèves réunis pour une orgie.

Greg repéra le cul bombé de Mme Mower ainsi que le sillon qui séparait ses deux fesses.

– Aaah voilà pourquoi je suis venu à Paris, dit Greg en se passant la langue sur les lèvres.

Mme Mower lui adressa un regard par-dessus son épaule, la bouche brillante de la cyprine de Misty.

– Tu devrais nous rejoindre. Sinon tu risques de ne pas pouvoir nous rattraper.

Mme Mower déposa un baiser sur les fesses de Misty. Il se répercuta sur sa peau de fesse en fesse et sur chaque cuisse. Elle l’embrassa à nouveau et empoigna l’autre fesse à pleine main.

Alors qu’Orlando s’approchait de Misty, Greg enleva ses chaussures, défit sa ceinture et se débarrassa de son pantalon. Il se caressa le sexe bien que le simple fait de penser à ce qu’il était en train de vivre avait suffi à l’exciter pleinement.

Greg écarta les fesses de Mme Mower, écartant son anus par la même occasion et dégageant la vue sur sa vulve. Son vagin semblait ouvert et prêt à recevoir un pénis. Il introduit son gland entre les lèvres de la professeure.

Mme Mower tendit son cou au moment de la pénétration. La bite de Greg était longue et dense, comme le sceptre d’un empereur. Elle cognait le fond de son vagin. Encore et encore. Elle se collait à lui pour l’accueillir le plus profondément possible. Le bruit provoqué par la rencontre entre ses fesses galbées et ses hanches à lui était terriblement excitant. Soudain, il l’attrapa par les cheveux et lui tira la tête en arrière.

– Dis mon nom ! Crie-le, lui ordonna-t-il.

– Greg ! Greg ! Surtout ne t’arrête pas de me baiser.

Chaque fois qu’elle prononçait son nom, il s’enfonçait plus profondément en elle. Elle poussa un cri. Toute la tension accumulée en elle venait de se relâcher. Son orgasme la laissait sur le lit, haletante.

Greg reçut une mission.

– On a besoin de toi par ici, mec.

Greg se tourna vers Orlando. Il était sur le lit et Misty le chevauchait telle une cow-girl.

– Dans mon cul, roucoula Misty.

– Et bien… notre petit ange est déchaîné ce soir.

– Je m’en occupe, répondit Greg en écartant son petit cul. Son petit trou, bien tendu, était tout rose.

Misty soupira et gémit, le corps emporté par la double pénétration de Greg et Orlando. Les deux hommes et Misty trouvèrent un rythme de croisière. Misty prenait conscience de l’extrême tension du sexe des deux hommes.

Orlando commenca à gémir. En l’entendant, Greg sentit arriver chez lui l’imminence de l’explosion.

– Allez-y ! Jouissez en moi tous les deux. Ne retenez rien, je ne veux pas en perdre une goutte, leur ordonna Misty, qui rappelons le, était encore timide quelques minutes auparavant.

Les deux hommes laissèrent échapper un grognement barbare. Quelques instants plus tard, Mme Mower contemplait trois Américains à Paris, totalement nus et en pleine post-extase.

– Mon Dieu… Vous observez ainsi tous les trois n’était pas quelque chose que j’aurais pu imaginer. Je n’avais pas de doute sur l’intérêt des deux garçons. Mais vous Mlle McGuire, quelle surprise.

Elle s’avança d’un pas pour embrasser Misty sur sa joue rougie.

***

Le lendemain était l’avant dernier jour de leur voyage. Au programme : les catacombes puis le château de Versailles.

Dans le château, Misty s’approcha de Mme Mower et lui dit :

– Je me souviendrai toute ma vie de la nuit dernière. Je ne savais pas du tout comment ça allait se passer. Et j’avais peur d’être un peu transparente et laisse de côté.

– Toi, laissée de côté ? Mais jamais de la vie luit répondit Mme Mower en passant un bras autour des épaules de la jeune femme.

Misty regardait les lèvres et la bouche de sa collègue. Elles avaient léché et embrassé sa chatte avec une telle intensité que cela l’avait conduit au bord de l’orgasme.

– J’ai très envie de t’embrasser Karen. Je veux dire, t’embrasser et te rendre ce que tu m’as donné hier.

Mme Mower pouvait lire le désir dans les yeux de la jeune femme. Elle essaya de faire redescendre la tension sexuelle.

– Pas ici. Mais très vite peut-être.

– Tu seras payée en retour.

– Attends une minute, tu dis ça comme si je devais en avoir peur. Elle lui fit un clin d’œil. Peut-être que je devrais…

– J’ai ourdi un complot.

Mme Mower donna une accolade à sa collègue :

– Viens me trouver quand tu voudras. Peut-être qu’une réunion entre professeures pourrait être organisée…

Une adolescente cria à côté d’elle tandis qu’un garçon partait en courant.

– Retour au chaperonnage, dit Mlle McGuire.

Cette nuit-là, Misty était à nouveau occupée avec les filles : finir les bagages étant l’objectif de la soirée :

– Nous devons être prêts quand le bus viendra nous chercher demain matin. Pas le temps de s’amuser ce soir.

Mme Mower venait de commencer à rassembler ses affaires lorsqu’elle tomba sur une clé, sur le sol, près de son lit. C’était la clé de la chambre n°12, celle de Greg et Orlando. C’était leur dernière nuit à Paris. Elle se débarrassa de son soutien-gorge et de sa toute petite culotte blanche.

Elle se dirigea vers leur chambre à l’étage supérieur, vêtue de sa robe de maille grise et de sa paire de Nike. Elle glissa la clé dans la serrure et tourna la poignée.

Orlando, debout en boxer dans la chambre, ne put que marmonner :

– Mais enfin qu’est-ce que tu…

– Qu’est ce qui se passe, demanda Greg depuis la salle de bain.

– Vous avez une invitée, répondit Mme Mower.

Greg passa une tête à travers la porte. Il portait un caleçon blanc.

– Mme Mower ! Quelle surprise !

Elle retira une de ses chaussures. Puis l’autre.

– Hier, Misty vous a eu tous les deux pour elle toute seule. J’ai dû me tenir un peu à l’écart. Ce soir, pour notre dernière nuit parisienne, je voulais vous faire un cadeau.

Elle souleva sa robe. La vision de son corps nu électrisa les deux hommes qui se rapprochèrent d’elle. Leurs mains la caressaient et la touchaient partout. Orlando passa la main à travers sa toison fournie puis remonta lui pincer un téton. Greg lui embrassa les fesses.

– Déshabillez-vous.

Elle regarda le boxer et le caleçon valser sur le sol.

La vue de ses deux sexes pleinement tenus la fit frissonner. Ils étaient gros et magnifiques.

Elle s’agenouilla entre les deux hommes. Les yeux au niveau de leur sexe.

Elle regarda Orlando et attrapa son sexe fermement, l’étouffant presque. La rougeur qu’elle avait aperçu lors de leur première rencontre virtuelle était de retour. Le sexe plein.

– Tu as dit hier que j’étais une déesse à genoux. Laissez-moi être une déesse à Paris une dernière fois.

Avant qu’il ait pu répondre, Mme Mower avait entrepris de lécher son sexe avec sa longue langue experte. Depuis la base du pénis puis tout le long de la tige. Arrivée au sommet, le large gland fut englouti dans sa bouche. Dans le même temps, sa main gauche caressait le long pénis de Greg.

Les deux hommes appréciaient son savoir-faire. Leurs yeux étaient fermés et elle pouvait voir qu’ils cherchaient à se concentrer pour ne pas jouir tout de suite. Greg avala bruyamment sa salive lorsque Mme mower déposa un petit baiser sur son gland. Elle le reprit en bouche et sa langue tounoya autour tandis que ses lèvres le suçaient.

– C’est tellement bon.

– Je n’ai jamais reçu une si bonne pipe. Ta bouche, tes mains sont…

Avant que Greg ait pu finir sa phrase, Mme Mower s’était emparée du sexe de Greg avec sa bouche. Cette dernière, elle le savait, avait le pouvoir de faire taire les hommes. Elle entendit les deux hommes se batter contre l’imminence de l’orgasme : les muscles tendus, les doigts de pied qui se recroquevillent sur le tapis, les mains serrées en poings.

Elle leur ordonna alors :

– Éjaculez sur mes seins. Partout. Je veux qu’ils soient couverts de votre sperme. Laissez-moi être votre pute.

En entendant cela, Greg se raidit et soupira. Il était au bord de l’explosion. Elle reprit son sexe dans la bouche pour l’y conduire plus sûrement. Elle sentit le goût salé de son sperme. Elle se recula et empoigna ses seins lourds. Elle les levait vers Greg, les pressait l’un contre l’autre, les faisait bouger. Les sourcils de Greg se froncèrent, déformant son visage. Elle sentit alors la première salve de sperme chaud sur sa poitrine qui lui glissa dans le décolleté. Greg laissa ensuite échapper son dernier jet de foutre sur ses seins comme elle le lui avait ordonné.

Elle se tourna alors vers Orlando.

– A ton tour. Donne-moi tout ce que tu as.

Il se caressa vite et fort. Elle ne lâchait pas du regard la bite rougie à laquelle elle pensait depuis des mois.

– J’ai attendu ce moment tellement longtemps, depuis notre première rencontre en ligne. Déverse ton foutre sur ta déesse. C’est pour toi que je suis à genoux.

Son précum lui sauta au visage, suivi de près par une grosse giclée de sperme blanc et épais. Il se posa sur son menton et glissa jusqu’à la base de son cou. Le deuxième jet atterrit sur l’un de ses énormes seins. D’un doigt, elle l’étala sur son autre téton.

Les deux hommes s’écroulèrent sur le lit, épuisés par cette femme qui traçait des formes avec le sperme qu’elle avait reçu sur la poitrine.

Elle enfila sa robe et ses Nike et laissa les deux hommes.

***

Les chaperons encadraient et contrôlaient les enfants surexcités par le départ de Paris, le vol et les escales. Ils venaient d’atterrir et attendaient leurs bagages.

Orlando et Greg échangèrent une poignée de mains.

– Quel voyage Greg ! je n’ai pas les mots.

Greg se tourna vers les deux professeures :

– Ça a été un vrai plaisir de faire votre connaissance Mme Mower et Mlle McGuire.

– Un voyage inoubliable en effet, dit Misty.

Mme Mower leur sourit à tous les trois :

– En espérant nous retrouver un jour tous les 4… peut-être à Paris.

Orlando leur dit :

– Il y a plein de villes aux États-Unis qui s’appellent Paris. Ça fera peut-être moins loin…

Misty s’empara de son sac :

– Où nous pouvons aussi nous constituer de nouveaux souvenirs dans une autre ville et dans un autre endroit du monde.

* Pour lire la première et la deuxième partie c’est par ici : 1e partie et 2e partie.

**Cette nouvelle a été traduite de l’anglais d’après un texte écrit par Claire Woodruff. Vous pouvez découvrir le texte en version originale ici.