Bienvenue à la Maison – Fiction érotique

En approchant des marches du perron de notre maison, mon esprit rêvassait. Je pensais à ma femme. Nous étions mariés depuis près de deux mois. Nous n’avions pas couché ensemble avant le mariage mais avions eu de délicieux moments érotiques et sensuels dont je me souviendrai toute ma vie. Une fois mariés, les choses s’étaient sacrément pimentées.

Car une fois la bague au doigt, il n’y avait plus aucune barrière. Nous avons exploré chacun le corps de l’autre avec ardeur. Toucher l’autre, lui faire plaisir était étourdissant. Nous dormions tout nus chaque nuit et répondions positivement à toutes les avances de l’autre. Elle n’avait jamais connu de pénis avant le mien et avait du mal à ne pas caresser ou jouer avec le mien en permanence. Cela me convenait parfaitement. J’avais la même attitude avec ses seins et son clitoris.

Mes pensées étaient tournées vers son jeune corps ferme et je sentais poindre une érection, explorant en imagination tous les endroits de son corps que je pourrais parcourir avec ma langue. La savoir quelque part de l’autre côté de la porte d’entrée était terriblement excitant.

Je tournai la poignée et une fois la porte ouverte, je la vis à l’intérieur… mais elle n’était pas seule. Je saluai nos amis chaleureusement. Je n’étais pas exactement ravi de les trouver là à ce moment précis. Elle ne s’attendait pas non plus à leur visite car sous sa blouse légère, je devinais ses seins nus sans soutien-gorge. Je réalisai qu’elle attendait sans doute mon retour avec impatience. Cette frustration partagée ne fit qu’augmenter mon érection.

– Ils reviennent tout juste de voyage et sont venus récupérer leurs clés, m’informa ma femme. On s’est dit que ça serait sympa de prendre l’apéro et de dîner ensemble pour qu’ils nous racontent leur voyage.

Je mentis en disant que tout cela était parfait. Ce n’était pourtant pas ce que j’espérais manger ce soir, si vous voyez ce que je veux dire…

– Est-ce que tu veux monter te changer ? me demanda ma femme. J’acquiesçai et m’engageai dans les escaliers. J’entendis ma femme leur dire de se mettre à l’aise, de se servir quelque chose à boire avant de me suivre dans les escaliers.

Entrant à ma suite dans la chambre, elle ferma la porte. A clef. Jugeant cette précaution tout à fait inutile, je me tournai pour l’interroger. Elle se jeta sur moi en me serrant très fort. Nos bouches se collèrent en un baiser plein de passion et de luxure. Les frissons de plaisir qui me parcouraient l’échine se déplacèrent vers mon ventre pour y exploser lorsque je sentis sa main effleurer mon pénis à travers mon pantalon. Elle défit le bouton de mon pantalon, dézippa la fermeture éclair. Mon sexe durcit encore davantage. A tel point que je pensais qu’il allait littéralement bondir de mon boxer.

Tout en m’embrassant, elle commença à me caresser. Légèrement et très lentement dans un premier temps. Lorsqu’elle sentit du précum sur sa main, elle augmenta la cadence et l’intensité de la pression. Le liquide sortait à chaque passage.

Sa main montait, descendait, serrait plus fort… Oh la la.

Tout en profitant intensément de ce moment, une image de ses seins traversa mon esprit. Petits et souples, ils sont proches de la perfection. Je me suis souvenu de l’absence de soutien-gorge. Je déboutonnai sa chemise, révélant ainsi ma paire de seins préférée. Je les pressai chacun à son tour et remarquai que ses tétons avaient déjà durci. Je passais délicatement la paume de mes mains sur sa poitrine, provocant chez elle des gémissements de plaisir.

Sa main montait, descendait, serrait plus fort… Oh la la.

La tension augmentait entre nous. Ses baisers se firent plus intenses, sa bouche se pressait davantage contre la mienne, sa langue caressait mes lèvres. Si elle ne portait pas de pantalon, la cyprine coulerait sûrement le long de ses jambes. J’avais envie de lui arracher son pantalon. Ses caresses se firent plus précises, montant et descendant, jusqu’à ce qu’elle sente que je n’étais pas loin d’exploser. Mes genoux tremblaient légèrement. Elle se recula, et me mena par le pénis jusqu’au petit banc qui se tenait au bout de notre lit. Elle me fit asseoir et s’agenouilla devant moi, laissant tomber sa chemise sur le sol.

J’aimais la façon dont ses seins ondulaient alors qu’elle bougeait. Elle se pencha pour m’embrasser. Ce faisant, un de ses tétons caressa mon gland. Elle remarqua l’effet que cela produisait chez moi. En souriant, elle fit glisser ses tétons l’un après l’autre, d’avant en arrière puis en petits cercles sur mon sexe dressé.

Elle attrapa ensuite mon pénis à deux mains et en mis le gland dans sa bouche. Elle faisait bouger sa langue dessus et autour en le suçant doucement. Qu’est-ce que c’était bon. J’étais au paradis.

Elle se redressa, s’accroupit et reprit ses caresses, à deux mains cette fois, le regard concentré. Ses mains descendaient jusqu’à la base de mon pénis, caressaient mes testicules, avant de remonter vers le gland où l’une de ses mains effectuait une torsion délicieuse. Des vagues de plaisir pulsaient dans tout mon corps.

Sa main montait, descendait, tordait… Oh la la.

Mes yeux glissaient sur ses jambes à travers son pantalon moulant jusqu’à son mont de Vénus. A la simple pensée de pouvoir y poser ma bouche, les vagues de plaisir revinrent intensément. Je relevai le regard sur son ventre plat, ses seins parfaits. Je m’attardai à leur niveau pour les regarder gigoter à chaque caresse. Je pense que je pourrai passer ma vie entière à les regarder bouger ainsi. Elle releva la tête et nos regards se croisèrent. Elle m’envoya un sourire coquin. Elle aimait ce moment autant que moi. Elle reporta son attention sur mon pénis où ses mains habiles étaient toujours à l’œuvre.

Qu’est-ce qu’elle était excitante. Avec ce regard à la fois malicieux et lascif, son sourire éclatant et ses seins parfaits. Les tétons dressés et sa poitrine qui se balançait… tout était réuni pour que j’arrive à l’orgasme. C’est la raison pour laquelle elle était si concentrée sur mon sexe : elle anticipait la décharge de plaisir imminente et ne voulait pas rater ce moment, jouissant par avance du pouvoir qu’elle avait sur moi de m’envoyer au 7e ciel quand elle l’aurait décidé.

Cette pensée me fit décharger. Quand la première salve de sperme s’échappa de mon sexe, elle laisse échapper un petit cri. Chaque giclée était accompagnée par un gémissement de sa p   art. Elle adorait me voir jouir, observer l’expression concrète de mon abandon au plaisir. C’était un excellent orgasme. L’un des meilleurs avec le recul de nos 15 années passées ensemble.

– J’avais bien pensé que tu aimeras ça, me dit-elle. Elle se releva et s’assit sur mes genoux et confirmant mon intuition, elle me murmura : « je suis totalement trempée » tout en m’embrassant. Je glissai une main sous son pantalon puis sous sa culotte. Avec mon majeur, j’écartai ses lèvres et m’enfonçai dans son vagin trempé, avant de le ressortir et d’étaler sa mouille partout sur sa vulve. Je passai soudainement le doigt sur son clitoris avant d’y effectuer un petit cercle. Elle en eut le souffle coupé. Elle grogna de frustration en repensant à nos invités.

– Redescendons nourrir ces personnes et faisons-les partir au plus vite, me dit-elle en enfilant sa chemise avec cette fois-ci un soutien-gorge en dessous. Tu as contribué à tremper ma chatte, je compte sur toi pour t’en occuper trèèèès lentement avec ta langue après leur départ. Ensuite, je veux que tu enfonces ta bite bien dure dans ma chatte. Et je veux que tu éjacules en moi.

Elle sortit pour préparer le dîner, me laissant seul avec une nouvelle érection alors que j’essayais tant bien que mal de remettre mon pantalon. Je venais de jouir, mais j’étais prêt à recommencer. J’avais envie de lui procuré autant de plaisir qu’elle m’en avait donné, de la faire crier. Elle devait être vraiment excitée pour utiliser des mots comme « bite » et « chatte ». Y repenser m’empêchait de reboutonner correctement mon pantalon. A chaque fois que mon érection se calmait, j’entendais sa voix prononcer « chatte » et elle repartait de plus belle. J’eus besoin de plusieurs minutes pour me calmer. J’ai fini par descendre et ils ont fini par s’en aller.

 

**Cette nouvelle a été traduite de l’anglais d’après un texte écrit par Stan Lucia. Vous pouvez découvrir le texte en version originale ici.