- Lire le début de l’histoire : Pénélope – Partie 1
Pénélope pressa la tête de l’homme contre sa poitrine et écarta ses cuisses un peu plus. Puis il remonta vers son visage et l’embrassa, enfonçant sa langue, la passant sur ses gencives, ses dents. Pénélope plongea une main vers l’entrejambe de l’homme. Son jean était déformé. Elle baissa sa braguette, tata son sexe gonflé et le libéra. Elle aimait prendre des sexes durs en main, sentir le désir. L’homme gémit à son tour et s’allongea contre la portière. Pénélope branla le sexe, lentement, remonta la peau, appuya sur le gland, soupesa les testicules délicats. L’homme ferma les yeux.
Une main attrapa un de ses sein, c’était le conducteur. Il tourna le visage de Pénélope vers lui et força sa bouche. Pénélope branlait toujours le sexe. Puis l’homme allongé se redressa et tira la tête de Pénélope vers son entrejambe. Pénélope s’agenouilla et lécha le gland déjà mouillé de sperme. L’homme ferma les yeux. Pénélope ouvrit la bouche et le prit. Elle resserra ses lèvres autour du sexe et l’aspira, sa main droite le branlant toujours.
Pénélope se tenait à quatre pattes au-dessus de l’homme, elle aimait cette position.
Le conducteur remonta la robe de Pénélope sur ses hanches, découvrant son string et ses fesses charnues. L’homme tira sur l’élastique et le string s’enfonça entre les fesses de Pénélope. Elle poussa ses fesses vers le conducteur. Sa bouche avalait le sexe, ses mains le branlant lentement.
Le conducteur écarta le string et regarda les orifices de Pénélope, sa vulve était recouverte de poils noirs qui lui remontaient jusqu’à l’anus. L’homme introduisit un doigt entre ses lèvres et Pénélope gémit, son cri étouffé par le sexe dur entre ses lèvres. Tandis qu’elle branlait l’homme, le conducteur la branlait, elle.
Quand elle sentit que l’homme était proche de jouir dans sa bouche elle se retira. Ses cuisses luisaient de sa mouille, sa robe lui cachait juste une bande de chair sur le ventre. Le conducteur vint s’assoir près d’elle et sortit son sexe, qu’elle se mit à pomper, plus rapidement. Mais ça ne dura pas longtemps. Pénélope recracha le sexe et s’allongea entre eux deux, les jambes relevées, la vulve exposée, elle se mit à se masturber. Les deux hommes approchèrent leurs sexes qu’elle prenait en bouche l’un après l’autre.
« Sur mes seins… » murmura-t-elle.
Les hommes comprirent. Sa main allait de plus en plus vite sur son clitoris. Les hommes se branlaient, appuyant parfois leurs glands contre la poitrine lourde de Pénélope qui tressautait sous les caresses qu’elle infligeait. Le contact des glands contre ses mamelons l’électrisait et provoquait une décharge dans son vagin.
Elle regardait les deux sexes dressés, durs, elle voyait les veines pleines de sang, les glands gonflés. Elle les imagina un instant entrer en elle. Les hommes regardaient la main droite de Pénélope se branler de plus en plus vite, son bassin se cambrer, sa main gauche rejoignit la droite et plongea entre ses cuisses, entre ses lèvres. Un des hommes attrapa un de ses seins tandis qu’elle s’enfonçait un doigt.
Elle sentit son vagin se contracter une première fois, elle poussa un cri, son corps se souleva. Puis son vagin se contracta plusieurs fois, enserrant son doigt mouillé. Elle jouissait. Les deux hommes se branlèrent plus vite et gémirent, alors que leur sperme jaillissait, souillant la poitrine, le ventre et le cou de Pénélope.
Le liquide coula vers son nombril et Pénélope l’étala sur sa poitrine, elle se massa les seins de ce liquide visqueux avant de porter ses doigts à sa bouche. Les hommes la regardaient faire, une voiture se gara un peu plus loin.
Le conducteur lui tendit la boite de mouchoirs qui gisait au sol. Pénélope souriait, satisfaite, puissante. Elle se nettoya. Les hommes à genoux la regardaient toujours. Elle les embrassa sur la bouche une dernière fois et remonta sa robe, les seins, qui un instant auparavant avaient été caressés, pincés et recouverts de sperme, disparurent sous le tissu. On voyait toujours la forme ronde et large, ils avaient l’air de prendre plus de place qu’auparavant. Les hommes gardaient l’image de ses seins en tête. Ils cachèrent leurs sexes mous et reprirent place à l’avant de la voiture.
Pénélope dormit réellement le reste du trajet. A l’arrivée, elle leur souhaita une bonne soirée et partit sans un mot de plus. Ils avaient espéré, peut-être…
Lorsque Pénélope rentra chez elle, elle vint se frotter à son mari qui la déshabilla en déchirant la robe. Il la plaqua contre la table à manger avant de s’introduire en elle facilement, elle était déjà très lubrifiée. Alors Pénélope lui raconta dans un murmure au creux de l’oreille, les sexes qu’elle venait de sucer et le sperme qu’elle venait de lécher et son mari jouit en elle, la tenant fermement…
Fin
Article écrit par Vanina Mormoi
Sous les doigts, sur le papier,
Le désir des femmes ne m’est pas étranger
J’imagine pour le plaisir, j’écris pour les goûter
S’il est un territoire, je m’en vais l’explorer
S’il est une limite, elle sera repoussée.