- Lire la première partie de l’histoire : La soif de Laure (Partie 1)
Avec l’aide de son sexfriend Lewis, Laure a rencontré Andrew, le cousin de Lewis propriétaire d’une concession aurifère dans le Yukon :
– Laure, je te présente Andrew, mon cousin, je t’en avais déjà parlé.
– Ah, salut Andrew, dit-elle en lui faisant la bise, ravie de te rencontrer enfin !
– Salut c’est donc toi qui aimerais venir nous aider dans nos prospections ?
– Euh, pas vraiment en fait, je t’explique…
Laure voulait mettre à profit son expérience et son goût pour le sexe pour procurer une « meilleure » qualité de vie à tous ces chercheurs d’or. Elle savait qu’ils étaient souvent loin de leur famille, de leur femme ou d’une manière générale d’une femme pouvant les satisfaire.
Contre un certain pourcentage, elle se proposait d’être cette femme et de permettre ainsi un travail plus performant et moins stressant.
– Ton idée me semble intéressante mais faut voir ce qu’tu veux comme pourcentage ?
– Dix pourcents des bénéfices, c’est honnête !
Andrew déglutit difficilement avant de reprendre la négociation :
– Faut que je paie mes employés, que je rembourse mes fournisseurs ! Désolé mais sois sérieuse…
– Je le suis.
– Dix pourcents non, donne-moi un pourcentage plus honnête !
– Huit alors, ça me semble correct !
– Écoute, ta proposition m’intéresse clairement, tu es mignonne et c’est sûr qu’avec toi nous serions plus prolifiques mais je ne peux pas t’offrir autant.
– Euh, ok, cinq alors ?
– Deux, je peux pas aller plus haut et tu ne t’occuperas que de mes employés, de personne d’autre !
– Deux ? Sérieusement ?
– Tu verras que deux pourcents de nos bénéfices ça te fera de très beaux gains.
Lewis assiste à la scène et se rend compte que Laure n’a clairement pas froid aux yeux, Andrew est jeune mais à seulement 21 ans, il emploie tout de même une dizaine de gaillards, ce n’est pas rien.
Sans attendre la réponse de Laure, Andrew poursuit :
– On commence la saison le 3 Juin, ne sois pas en retard, on n’a pas de temps à perdre. Je t’attendrai à Whitehorse.
– Euh, d’accord, on ne signe rien ?
– Non, dit-il en riant. Je ne te fais pas de contrat mais ma parole est d’or, je te donnerai deux pourcents de mes gains.
– Super, alors on se revoit à Whitehorse.
Andrew quitte le Moor, satisfait de ce qui est, pour lui, une bonne transaction.
*
Aéroport Erik Nielsen – Whitehorse, la montre de Laure indique 20h07, elle débarque dans ce hall où trônent quelques sièges et toise la grande horloge qui indique 10h07.
Andrew l’attend assis à côté d’un distributeur de soda, en la voyant il se lève et se précipite vers elle.
– Bonjour, tu as fait bon voyage ?
– Oui, super merci. En même temps, je n’ai voyagé qu’une petite heure.
– Comment ça ?
– Ben, je suis partie à 9 heures de Toulouse et il n’est que 10 heures ici, dit-elle amusée.
– Ah oui, le décalage horaire ! En arrivant, je te présente l’équipe et tu iras te reposer …
– Ce serait super, merci !
Andrew prend les deux gros sacs marins de sa belle nouvelle employée, se dirige vers son gros Ford puis jette nonchalamment les deux sacs à l’arrière.
En lui ouvrant la portière, il l’invite à monter « Installe-toi confortablement, la route est un peu chahuteuse ».
Le trajet est long. Fatiguée par son voyage, Laure s’assoupit et ne voit finalement pas les kilomètres s’enchaîner sur la Klondike Highway.
– Laure, réveille-toi, nous sommes arrivés !
– Ah, euh … pardon, je me suis endormie.
– Oui j’ai vu, t’es pas une bonne copilote, dit-il calmement.
– Désolée.
– Allez viens, je vais te présenter l’équipe !
Ethan, Matthew et Owen les attendent déjà. En voyant Laure sortir du pick-up, ces trois gaillards ne tardent pas à se précipiter pour l’accueillir comme il se doit. Ils allaient devenir membre VIP du harem de Laure.
Andrew les présenta en indiquant ce qu’ils faisaient ici et d’où ils venaient.
– Où sont les autres ? demanda-t-elle, soucieuse.
– Ils sont en train de participer à ton pourcentage…
– Ah, ok.
– Nous fonctionnons par équipes de trois qui travaillent chacune 7 heures.
– Ah, vous travaillez même la nuit ?
– Non, tu sais ici les journées durent bien plus longtemps, le soleil se couche à peine.
– Oui, c’est vrai, le fameux soleil crépusculaire…
– Et oui, ici on déborde d’énergie mais ça, tu le découvriras par toi-même, lui répond Andrew avec un sourire des plus coquins.
S’ensuit la découverte des lieux, puis du bungalow de Laure, esseulé dans une zone fleurie qui, avouons-le, fait un peu tâche au milieu de toute cette rocaille.
Ethan ouvre la voie, chargé d’un sac marin.
– On a essayé de te faire un coin sympa !
– Avec des fleurs, super…
– T’aime pas ?
– Je suis pas très fleur, j’espère que vous avez la main verte !
– C’est Owen qui a fait ça, il s’en occupera. Hein ‘Wen ?
Sans attendre sa réponse, Ethan ouvre la porte d’entrée :
– Après vous, gente dame.
Hilare, Laure franchit la porte en lâchant devant Ethan : « Merci, vous êtes bien brave ! »
L’intérieur est sommaire mais bien agencé. Une petite kitchenette sur la droite, en face un salon avec une belle télé écran plat, un canapé deux places tout en cuir et derrière, une salle d’eau qui jouxte la cuisine.
La chambre est tout au fond, juste en face de la pièce d’eau. Un grand lit « King Size » trône au milieu de celle-ci, au sol un parquet grisonnant et au mur une belle peinture taupe.
Une loveuse est placée dans un coin, et en face, une armoire est encastrée dans le mur.
Laure prend possession des lieux et s’affale dans la loveuse. Elle laisse les trois gaillards poser ses sacs sur le sol.
– Merci messieurs !
*
La sonnette ébranle le sommeil réparateur de notre petite catin de luxe lovée dans le « King Size » qui lui servira de lit et de lieu de travail. Toujours perturbée par le décalage horaire, elle perçoit la voix d’Andrew derrière sa porte d’entrée.
– Laure, tu dors ? Il est 18 heures et je voudrais te présenter le reste de l’équipe !
– Entre ! lâche-t-elle en se redressant difficilement.
Timidement, Andrew franchit la porte puis, à pas délicat, s’avance dans le couloir jusqu’à la chambre de Laure. Gêné, il rougit quand il aperçoit le corps dénudé de son hôtesse de charme, faisant fi de son érection naissante il se réajuste avant de lui dire :
– Ah, tu es là. Je voulais te présenter le reste de l’équipe, il est 18 heures.
– Déjà, merde ! Je vois que tu as une autre idée dans la tête, dit-elle en se mordant la lèvre inférieure.
– J’avoue que tu ne me laisses pas indifférent.
Sans dire le moindre mot, Laure se lève. Elle s’approche de son hôte puis le sourire aux lèvres, le toise.
– Tu as bien quelques minutes à m’accorder ! Après tout, je n’ai pas eu mon entretien d’embauche.
– Euh… oui c’est pas faux, mais …
– Chut, laisse-moi faire, tu sembles bien timide !
Elle ne lui laisse pas le temps de répondre, sa main habile est déjà en train de caresser le renflement de son jean. Son regard plongé dans celui d’Andrew, elle s’agenouille devant cette excroissance encore dissimulée. De sa bouche experte elle la mordille puis, d’un mouvement assuré, elle déboutonne d’un coup ce jean devenu futile, libérant la verge gonflée d’Andrew.
Dressée au garde-à-vous, elle se présente dans toute sa splendeur, ni trop grosse, ni trop petite. Laure l’engloutie dans sa bouche, la déguste, l’aspire.
Les mains plaquées sur les fesses musclées de son patron, elle l’emprisonne et, doucement, s’occupe de son gland.
Lapées après lapées, elle le déguste en entier, se délecte de son goût et l’enfonce à nouveau avant de lui rendre sa liberté. Andrew ponctue chaque gorge profonde par des « Humm », profonds eux aussi.
Rapidement, il plaque la tête de Laure et prend quelques secondes pour profiter du confort de sa gorge avant de relâcher sa prise et d’admirer sa queue recouverte de bave.
La vue du filet de salive reliant les lèvres de Laure à son gland éveille sa perversion et, de nouveau il baise profondément la bouche de sa pute. Tous ces haut-le-cœur stimulent les glandes exocrines de la belle, des flots de baves s’épandent sur l’éperon viril d’Andrew et l’excitent d’autant.
Baisée de la sorte, Laure ne peut s’empêcher d’attiser son plaisir en caressant son clitoris. Régulièrement elle se pénètre de deux doigts et visitant sa vulve inondée, elle jouit de ce plaisir intense. Elle aime être prise de la sorte, cette sensation d’être l’objet du plaisir de l’autre.
C’est par trois jets longs et onctueux que cette pipe profonde s’achève sur la poitrine de Laure.
– Je ne suis pas déçu, lança Andrew dédaigneusement avant de se rhabiller.
Laure reste à genoux, satisfaite de cette mise en bouche, deux doigts toujours en elle et les seins luisant de semence.
– Je t’attends dehors, ne tarde pas, le repas est servi à 19 heures.
Andrew quitte le bungalow avec la certitude que cette année sera l’une des plus prolifiques depuis ses débuts…
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Article écrit par Kmille
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