Je dois débuter cette histoire en vous précisant qu’elle est vraie qu‘elle m’est arrivée il y a de cela bientôt 12 ans, j’avais à l’époque 19 ans et j’étais déjà serveuse.
Je travaillais alors dans une grande chaine de restauration très connue.
Pour vous présenter un peu les lieux, le vestiaire, mixte, se trouvait à l’étage à côté des toilettes des clients, la porte des toilettes pour homme se trouvant sur la gauche de l’accès au vestiaire. Bien sûr, l’accès au vestiaire était bloqué par un digicode, mais nous ne le verrouillions jamais, pour la simple raison qu’on oubliait sans cesse le code…
C’est donc dans ce cadre que cette histoire m’est arrivée.
C’était un mardi, je venais de terminer mon service du midi, après avoir dressé mes tables pour le soir. Je suis montée me changer au vestiaire, pour une fois j’avais terminé avant les autres et je savais que mes collègues avaient encore une bonne heure de travail. Je l’avoue, j’étais très contente de partir avant tout le monde.
Mon casier était sur la gauche, le second en rentrant.
Comme d’habitude, je checkais mon téléphone pour vérifier que personne ne m’avait appelée. Je retirais ensuite ma jupette puis mon chemisier, j’étais donc en string dans le vestiaire, dos à la porte, en train de ranger mes habits sales dans un sac.
Je ne remarquais pas la variation de lumière modifiée par l’ouverture de la porte, ce fut donc avec surprise que j’entendis un : « oups désolé ». Dans un bon je me retournais pour voir qui venait d’ouvrir la porte, l’avant-bras couvrant ma poitrine. Je remarquais dans l’encadrement un homme d’âge mûr, la quarantaine à peu près, les cheveux courts et grisonnants, de taille moyenne et légèrement enrobé. Surprise et gênée je lui indiquais que les toilettes étaient à côté mais l’homme ne bougeait pas. Il restait là, immobile, me dévorant du regard puis, après un court silence il me dit qu’il avait aimé la vue, que j’avais un beau cul et qu’au final son envie pressante venait de disparaître au profit d’une autre. Sur ces mots il ferma la porte derrière lui et rentra avec moi dans le vestiaire.
Du haut de mes 19 ans, pleine de témérité et d’excitation (je l’avoue), je le fixais du regard et retirais mon avant-bras de ma poitrine, fière de mon 95C.
Il s’approcha et sans un mot me serra contre lui en agrippant mon cul de ses mains fermes.
Il me colla sauvagement contre les casiers et m’embrassa avec autant de fougue, ses mains toujours sur mon cul, le pressant fermement puis l’écartant. Je sentis un de ses doigts titiller mon intimité et se diriger sous mon string jusqu’à ma chatte déjà toute humide. Son visage s’embellit alors d’un sourire coquin et j’entends encore aujourd’hui ses mots : « T’as une chatte qui appelle la bite, il faut la combler un peu. » D’un geste, il introduisit en moi son doigt tout entier dans ma chatte et commença à imprimer de légers cercles.
Sa bouche descendit vers mes gros seins et après quelques baisers sur mes tétons il commença à les mordiller suffisamment pour que quelques gémissements étouffés sortent de ma bouche.
Je salivais d’excitation et sans y prêter attention, mes mains déboutonnaient déjà son pantalon. J’avais rapidement entre mes mains son énorme sexe, droit comme un « i » et très dur.
J’adorais, déjà à l’époque, sucer. C’était, pardon, c’est mon péché mignon. Ce fut donc sans attendre son invitation que je me penchais en avant pour goûter son chibre si gros. Tellement gros que c’était avec difficulté que je l’enfonçais au fond de ma bouche. Après quelques va-et-vient, il s’assit sur un des bancs partageant le vestiaire en deux. À genoux devant lui, je le suçais encore et encore plus profondément, goulument. Je n’avais, à l’époque, jamais sucé une aussi grosse bite. J’en avais plein la bouche et j’adorais ça, mais je ne voulais pas le faire jouir avant de la sentir dans ma chatte trempée par l’envie. Tout en le regardant je continuais à le sucer pour lui donner l’envie de me prendre… et ce fut rapidement chose faite !
Il se leva, je me mis devant lui, en levrette sur un banc, le cul bien tendu, les jambes écartées, la chatte béante. D’un coup et sans ménagement il claqua mon cul puis il s’enfonça en moi. Surprise par tant de fougue, je lâchais un gémissement avant de l’encourager à me prendre sauvagement.
Ses mains agrippaient mes hanches et il commença à pilonner ma chatte. Sa grosse bite sortait puis s’enfonçait à nouveau en moi, ses va-et-vient tantôt lents tantôt rapides me faisaient perdre la tête. Très vite j’oubliais que j’étais dans les vestiaires de mon boulot, que peut-être un collègue viendrait et nous surprendrait, je gémissais de plus en plus, l’invectivant de continuer encore et encore… Je gémissais de plus en plus fort. À chaque fois qu’il claquait mon cul je gémissais un peu plus et à chaque fois il me défonçait encore un peu plus. Il lâcha ensuite mes hanches et tandis qu’une main venait pétrir mon sein droit, l’autre tirait mes cheveux. Sous l’action de cette tension je me redressai, bouche ouverte, haletante, le cul encre plus cambré. Plus je gémissais plus il se déchainait, plus il claquait mon cul et plus j’adorais ça.
A chaque pénétration il me tirait encore plus vers lui, sa main pétrissait encore plus mon sein, puis pinçait mon téton, doucement, puis plus fort. Je me faisais baiser sauvagement comme une bonne salope. C’était ce que j’étais pour lui et qu’est-ce que j’aimais ça…
Je sentais sa bite se gonfler et ses va-et-vient ralentir, il allait jouir, alors je m’agenouillais devant lui.
D’une main je prenais ses couilles, de l’autre sa bite pour la branler. J’alternais entre branlette rapide et pipe profonde, ma langue le dégustait…
Après 5 bonnes minutes de pipe profonde alternée avec une branlette vigoureuse, sa bite commença sa danse, se contracta. Il allait gicler et je voulais sentir son sperme sur mes seins, le sentir dégouliner jusqu’aux tétons.
Je le branlais toujours plus vite, toujours plus vigoureusement, il finit logiquement par s’épandre sur mes seins, son sperme bien blanc, bien épais. Il dégoulina jusqu’à mes tétons encore rougis par ses assauts.
Je lapai les dernières gouttes de sperme sur sa bite puis il remit son pantalon.
Après quelques mots que je garde secret il quitta le vestiaire…
Depuis, de temps en temps, je repense à cet homme, et l’excitation de l’instant revient comme si c’était il y a 5 minutes. À chaque fois je dois me caresser, me faire jouir… et je dois vous l’avouer, à chaque fois que je retournai au vestiaire de ce restaurant, j’espérais qu’il revienne me baiser comme une bonne petite salope.
Ce fut une bonne expérience. Je m’en sers aujourd’hui de temps en temps pour faire quelques petits jeux coquins avec mon homme et même si l’excitation n’est pas la même, je prends toujours autant de plaisir.
Voilà, merci de m’avoir lu, j’espère que j’aurai pu vous faire vivre et ressentir un peu de cette expérience aussi bien que je l’ai vécue. N’hésitez pas à laisser un petit commentaire.
Article écrit par Kmille
Kmille vous emmène dans son univers sexy et coquin où vous découvrirez des conseils, des avis, des tests et plein d’autres choses…enfin un site où l’on aborde tous les sujets sans tabous.