Des chutes du Niagara aux emblématiques rocheuses, du Québec accueillant au froid Yukon, le Canada est un pays qui fait rêver le touriste aventurier et le baroudeur photographe en quête de quelques belles prises pour son album photo de paysages.
Mais le Canada, c’est aussi un patrimoine coquin hors norme à faire rougir le franchouillard, pourtant réputé peu prude. Voici donc 10 anecdotes sexuelles étonnantes trouvées du côté de chez nos amis Canadiens. Alors éloignez les gosses ! Comme ne le disent surtout pas les Québécois…
1) Question de langue
Le sexe oral est devenu légal au Canada en 1969 ! Un pareil chiffre permettait sans doute de marquer le coup…
2) A deux c’est bien, à trois c’est mieux
On dit qu’il fait froid là-bas, mais il semblerait qu’ils aient trouvé une solution agréable pour se tenir chaud : un canadien sur cinq a déjà expérimenté le sexe à trois et près d’un tiers ne serait pas contre essayer !
3) Mais quand on est plus de deux…
Le sexe anal est légal au Canada à condition que les deux protagonistes aient plus de 18 ans et qu’il n’y ait pas d’autre personne présente. Tout n’est donc pas permis durant leurs plans à trois… L’Ontario, le Québec et l’Alberta ont cependant déclaré que cette loi avait été faite anticonstitutionnellement (nous sommes très heureux d’avoir réussi à placer dans le blog de LELO le mot le plus long de la langue française !)
4) La loi sous les draps
En 1969 (année décidément érotique), Pierre Eliott Trudeau alors ministre de la justice, lance une grande réforme du droit pénal canadien qui comprend notamment la décriminalisation de l’homosexualité et la légalisation de l’avortement. Il marquera les esprits de l’époque avec cette phrase (prononcée en anglais à l’origine) : « L’État n’a pas sa place dans les chambres à coucher de la Nation. »
5) La rivière enchantée
8% des Canadiens ont déjà fait l’amour dans un canoë. Il faut tout de même rappeler qu’ils habitent un pays où pullulent lacs et rivières. Et pour les francophones d’Europe et d’Afrique qui se demanderaient comment ces francophones d’Amérique s’y prennent, nous pensons que le sexe en canoë se rapproche du sexe dans une baignoire à la différence que l’eau est autour au lieu d’être dedans…
6) Échange linguistique
En 2005, la Cour Suprême du Canada a déclaré que les clubs échangistes où les couples se lâchaient donc publiquement ne portaient pas atteinte au bienêtre de la société et que leurs activités ne pouvaient pas être considérées comme criminelle…
7) L’hiver dure, le plaisir aussi
Les canadiens ont des rapports sexuels qui durent en moyenne 37 minutes, préliminaires compris, ce qui se situe dans la fourchette haute de la durée idéale de la galipette…
8) La paire n’est plus un impair
En 1991, une étudiante qui avait enlevé son tee-shirt à cause de la chaleur avait reçu une amende qu’elle avait alors décidé de contester. Elle a obtenu gain de cause et c’est grâce à elle que les femmes peuvent aujourd’hui se promener seins nus dans l’Ontario !
9) Le sexe en public est à peu près illégal
Faire l’amour dans un lieu public est interdit dans la plupart des lieux terrestres, et le Canada n’échappe pas à la règle. Cela n’a pas empêché 49% des Canadiens de s’y être déjà adonnés ni les juges d’être cléments sur le sujet… En tout cas au moins l’un d’entre eux qui, en 1989, a relaxé un couple qui avait fait l’amour dans sa voiture car « ils n’avaient vraisemblablement pas cherché à être vus ».
10) De la mine dans le crayon
Les Canadiens mâles ont environ 21 partenaires dans leur vie (contre 17 chez les Français) et les Canadiennes en ont à peu près 10. Ces données les placent en tête des terriens ayant le plus grand nombre de partenaires, mais ce n’est pas étonnant quand on sait leur goût pour le plan à trois qui permet ainsi des tirs groupés !
Le Grand Nord
Si vous avez toujours rêvé d’aller au Canada mais que vous n’avez jamais pris le temps de préparer votre voyage, nous espérons que cet aperçu culturel vous aura incité à prendre les choses en main et à aller visiter ce grand et magnifique pays où le français résonne comme nulle part. Et puisqu’en France, tout se termine en chanson, on ne pouvait pas mieux conclure que sur le timbre unique de Robert Charlebois…