J’ai réalisé un autre de mes fantasmes : le nyotaimori. Un jeu sexuel qui fut pratiqué initialement dans les milieux peu recommandables japonais avant de devenir une pratique dite « art traditionnel culinaire japonais » en Occident.
Lorsque j’avais parlé de ce fantasme à T., mon intention était de le choquer. Aussi fus-je très surprise lorsqu’il me dressa tout un après-midi à être docile, immobile et soumise. Il m’épila le pubis puis le lava. A mes pieds, de magnifiques chaussures de salope de 12cm. Et après m’avoir couverte d’un manteau kimono sous lequel j’étais entièrement nue, il passa un coup de fil.
Il testa une dernière fois mon obéissance en me faisant sodomiser par l’escorte venue me chercher. En bon objet sexuel, je le laissai faire sans broncher lorsqu’il me tourna, remonta le bas de mon manteau et offrit mon cul à cet homme. Je le défiais du regard. A chaque coup de bite, il me faisait répéter que ce soir je lui appartenais, qu’il faisait ce qu’il voulait de moi et que je lui obéirai en toute chose.
C’était très excitant. J’étais très excitée. Il remplaça la bite de l’escorte par un plug de belle taille (je le sentis bien aussi).
L’escorte me conduisit jusqu’au portail d’une maison où je fus prise en charge. Je me retrouvai dans une cuisine. Des femmes me retirèrent mon kimono et les chaussures. M’inspectèrent de partout. Dernier nettoyage. Je fus emmenée dans une pièce à la lumière diffuse et tamisée. Au centre une grande table basse. On m’y allongea avant de me laisser seule un certain temps. Lorsque l’on s’affaira de nouveau autour de moi, de la nourriture fut placée sur tout mon corps. De la tête jusqu’aux pieds !
Nyotaimori : présentation sur le corps d’une femme. J’avais froid. Mais l’idée d’être bientôt entourée d’hommes se nourrissant sur moi et satisfaisant leur plaisir avec moi m’excitait intensément. La salope en moi avait hâte que çà commence.
Mes yeux étaient clos par des sushis. Ma nudité totale depuis des heures accentuait le caractère sensible de ma peau. Mon ouïe était à l’affût du moindre bruit. La pièce était bien insonorisée !
Je me remémorais son agencement. Si j’avais bien compté, ils seraient 10… à me baiser… Je pensais à toutes les possibilités lorsque la porte s’ouvrit, des bruits de pas, de tissus froissés et des voix. Le désir montait en moi.
Immobile sur cette table, j’écoutais les conversations entre les convives. Je ressentais chacun de leurs mouvements à travers l’air qu’ils déplaçaient sur la surface de ma peau. J’avais envie qu’un de ces mouvements dérape enfin. Mais je restais aussi immobile que possible. La voix de T résonnait à mes oreilles. Je me surpris à murmurer les phrases de soumission et d’obéissance lorsqu’un doigt se posa sur mes lèvres. Mes yeux furent libérés des sushis. Cependant, je les gardais clos.
Des mains parcouraient maintenant mon corps. Des bouches, lèvres et langues, quelques dents parfois, et non plus des baguettes s’appliquaient à me débarrasser de la nourriture, en particulier sur mes parties féminines. Ma peau était comme à vif. Vraiment sensible. Je luttais pour ne pas céder, soupirer, crier ou émettre un son. L’immobilité et le silence étaient mon acte de soumission pour la soirée. Et j’aimais ça.
J’adore me soumettre d’autant plus quand celui qui me domine est absent.
Lorsque des lèvres vinrent se frotter aux miennes, alors que d’autres goûtaient mon clito ainsi que mon antre de Vénus, je compris qu’ils étaient passés au dessert. Et j’étais le dessert en l’occurrence !
J’avais de plus en plus de mal à rester impassible à toutes ces attentions sur mon corps. Et lorsqu’une queue me pénétra, j’allais me redresser… J’avais envie d’une bite dans chacune de mes mains. Les pétrir, les malaxer, les caresser. J’en voulais une dans ma bouche aussi. Mais mes mains furent saisies et placées au-dessus de ma tête. Attachées. Mes pieds également. Je fus culbutée par différentes bites. Différentes tailles. Différentes pénétrations. Différentes sensations. Lorsqu’elles n’étaient pas dans ma chatte, elles baisaient ma bouche. Mes seins étaient tirés, mordillés, léchés et tétés.
Ça ne s’arrêta pas là. Il avait gardé mon cul pour la fin des réjouissances et le festin continua encore un bon moment, jusqu’à ce que sous le coup de tous ces plaisirs promulgués, je ne tienne plus et que mon corps se mette à trembler.
J’ouvris les yeux et T était au dessus de moi. Il me caressa les seins puis m’embrassa goulûment. Ses yeux brillaient et je pouvais sentir son désir, ce qui me redonna de l’appétit et de l’énergie. Il m’attacha lui-même dans une position hog-tie qui m’immobilisait complètement, tout en donnant un accès libre à mon anus. Avant de me bâillonner avec un bâillon boule, il me demanda à qui j’appartenais. Puis en tournant mon cul vers l’assemblée il joua avec le plug dedans avant de le libérer lentement tout en montrant à quel point mon anus était ouvert et détendu. Je n’arrêtais plus de mouiller.
Une vraie salope heureuse d’être là et salie de la sorte ! J’aurais bien aimé des queues dans ma bouche à la place de cette boule. Lorsque mon cul fut libre, plusieurs chibres vinrent se durcir contre mes fesses ligotées. Ma tête était maintenue contre le sexe et les couilles de T. Je sentais leurs moindres contractions. Pourquoi est-ce qu’elles n’étaient pas dans ma bouche ? Toi c’est ce que tu aurais fait… Et le cortège de pines débuta.
T me susurrait de temps en temps, celle-là, elle va te plaire ou tu vas la sentir celle-là. J’étais juste un corps inerte dont ils se servaient. Une bite me pénétra. Et une deuxième. Énorme ! J’avais deux bites dans le cul. Je ne pouvais bouger ni crier. T caressait mes cheveux avec beaucoup de douceur. Les larmes coulaient sur mes joues. Mais j’aimais cet instant. Ils jouirent tour à tour sur mon cul ficelé. Quatre d’entre eux m’ont prise et portée. T que j’apercevais dans mon champ de vision se faisait placer quelque chose par des servantes asiatiques entièrement nues. Lorsqu’il s’avança vers moi, je vis qu’il avait « habillé » sa queue d’un gode d’apparat. Il caressa de nouveau mes cheveux et il se rendit vers mon séant. Les hommes dans les bras desquels j’étais me positionnèrent.
Il entra très lentement sans discontinuer. Les larmes roulaient de nouveau sur mes joues. Mais je lui appartenais et il pouvait faire ce qu’il voulait de moi, tout ce qu’il voulait. En tout cas pour la soirée. Une fois au fond, il ne pouvait aller jusqu’à la garde sans provoquer mes cris étouffés, il commença ses va-et-vient. Le gode devait être couvert d’aspérités ou de picots car je ressentais des choses que je n’avais jamais senti. Tout le plaisir de mon cul défoncé ! J’étais à la limite de perdre connaissance.
De nouveau, il était devant moi et pourtant mon cul était encore rempli. Il s’était défait de son « armure » à queue qui était toujours dans mon cul. Il retira la boule de ma bouche et me la baisa. Il y jouit très fort. Et me fit tout avaler. Chacun des participants vint m’embrasser et me remercier puis il m’emmena à l’étage. Toujours ligotée.
Il m’expliqua que la soirée n’était pas finie. Il commençait à bien me connaître : plus il m’en donnait plus j’en voulais. Il me posa sur le lit d’une chambre. Un homme, grand, torse et pieds nus se tenait près de la fenêtre. Il faisait nuit noire. La chambre était éclairée à la bougie uniquement. Je reconnus immédiatement ce bel eurasien, un de ses amis de Hong- Kong qui me plaisait. A priori c’était réciproque. Après que celui-ci m’a détachée tout en léchant les meurtrissures laissées sur ma peau par les cordes, nous fîmes une belle partie à deux, trois puis encore deux et enfin trois ! Mais ça, c’est une autre histoire… moins intéressante pour toi. Je m’endormis avec la bite du bel eurasien dans mon cul et fus réveillée avec celle de T. Je me sentais vraiment très belle salope, et fière de l’être, alors nous recommencèrent !
Article écrit par Théodora Gilbert
- Je suis née prématurée dans une forêt de Teck quelque part en Afrique dans un pays qui fût un grand Royaume et n’est plus. Il faudra 3 jours de marche pour déclarer ma naissance.
- Boulimique de connaissances, dès l’âge de 11 ans je m’intéresse aux civilisations anciennes et aux religions. L’Antiquité quelque soit le continent concerné me passionne.
- Bien que j’ai étudié la harpe très jeune et pendant des années (merci maman harpiste), j’ai aujourd’hui trouvé mon bonheur avec le violoncelle !
- De beaux diplômes (ingénieur, MBA) plus tard, je suis dans une vie honnête et louable, mais j’aspire à plus… La rencontre avec 2 hommes, dont l’un est aujourd’hui mon mari que j’ai côtoyé (et savamment évité) pendant 15 ans, m’a permis de pénétrer à mon rythme (et parfois pas) mais en toute sécurité des univers de jeux où j’ai appris à me connaître. L’apprentissage se poursuit…
- La correspondance que j’entretiens avec l’autre homme en ce qui concerne mes découvertes sexuelles sert de base à mes histoires.
- J’espère qu’elles vous inspireront autant que j’ai de plaisir à les revivre en les écrivant !