Julie est une globetrotteuse businesswomen. Toujours impeccable quoi qu’il arrive, qu’il soit 6 heures du matin ou 23 heures. Le genre de femme qu’on envie mais qu’on déteste aussi parfois. Julie n’est pas facilement accessible. Un peu hautaine, elle s’est construit un personnage pour être respectée auprès de la gent masculine car elle évolue principalement dans un monde d’hommes. Avec ses courbes ultra féminines, elle en avait ras-le-bol de passer toujours pour la cadre ultra sexy qu’il fallait absolument avoir accroché à son tableau de chasse. Belle brune d’1m75, avec une taille parfaitement dessinée et des formes là où il faut, une poitrine généreuse mais ferme et des fesses rebondies, à 35 ans, elle en paraît facilement cinq de moins.
Ce soir elle s’affaire car elle risque de louper son vol. Malgré ses talons de 7 cm et son tailleur près du corps, elle doit courir pour arriver en bas de l’immeuble où l’attend son chauffeur de taxi habituel, Sofiane. Elle ne travaille plus qu’avec lui depuis qu’elle est montée dans son taxi 4 ans auparavant à l’aéroport de Roissy. Ponctuel, fiable, souriant, il est devenu son partenaire indispensable quand elle vient dans la capitale.
« Bonsoir Sofiane ! Vous allez bien ? »
– Oui madame, je vous conduis à Orly Sud c’est bien ça ?
– Oui tout à fait, pas le choix, c’est Easyjet ce soir, plus de place sur le dernier vol Air France. »
Sofiane est marié et il n’a jamais rien tenté avec Julie, pourtant dieu sait qu’il la trouve magnifique. Plusieurs fois il a imaginé s’arrêter dans un endroit à l’abris des regards pour basculer sa belle cliente sur le capot de la voiture… Mais c’est un type sérieux qui tient à son travail, enfin… Jusqu’à ce soir sur la route qui les mène à Orly où tout bascule suite à une simple question de Julie :
« Dites moi Sofiane, vous faisiez quoi avant d’être chauffeur de Taxi ?
– Je travaillais à Saint-Tropez, j’étais danseur… »
Julie ne sait pas quoi répondre. Au lieu de passer à autre chose elle reste bloquée, imaginant son chauffeur en train de se trémousser. C’est à ce moment là seulement qu’elle se rend compte que l’homme qui la transporte depuis quatre ans a un physique plus qu’avantageux et un sourire à tomber par terre. En même temps, cela fait plusieurs années que Julie a fait une croix sur les hommes. Blessée à plusieurs reprises, elle ne sort plus qu’avec son sex-toy de voyage et des filles de temps en temps.
Perturbée par cette réponse plus que suggestive, elle se presse de quitter le taxi et de se rendre au terminal Sud pour faire son check-in. Une fois dans la salle d’embarquement elle reçoit un message sur whatsApp…
« Ai-je dis quelque chose de déplacé tout à l’heure pour que vous vous sauviez si vite ?
– Non, c’est que je me sentais un peu mal à l’aise d’avoir posé cette question et encore plus de la réponse que vous m’avez donnée. Et pour être honnête avec vous j’étais un peu perturbée. »
– Parce que je vous perturbe ? Je suis content de l’entendre… »
– C’est vrai, vous ne m’êtes pas indifférente, je vous ai toujours trouvé séduisant mais n’ai jamais rien cherché, vous étiez si professionnel ! »
– Vous avez eu tort ma chère, j’aurais répondu présent à coup sûr. En tous cas, moi je ne me cache pas d’apprécier la finesse de vos jambes, la pâleur de votre peau, la beauté de votre bouche… »
Julie n’en revenait pas. Quatre ans sans se rendre compte que son chauffeur l’admirait secrètement. Mais sur le chemin du retour, elle pensait surtout à retrouver son chez elle plutôt que de rester dans le brouillard parisien, même si elle était vraiment titillée par les dernières paroles de Sofiane.
Une fois dans l’avion, ceinture bouclée, elle commença à somnoler quand le commandant de bord annonça un problème avec la pompe hydraulique de l’avion. Elle aurait du retard, comme toujours, il ne s’agissait pas d’un scoop.
Elle continua donc ses petits jeux de questions réponses avec Sofiane via leurs téléphones et commença à sentir une boule de désir dans son bas ventre. Sofiane se lâcha complètement et lui raconta tout ce qu’il avait toujours eu envie de lui faire chaque fois qu’elle pénétrait dans son taxi : Jamais au grand jamais elle l’aurait imaginé lui proposer des jeux aussi coquins.
Julie ne tenait plus en place, elle était maintenant complètement mouillée de désir pour un homme qu’elle n’allait malheureusement pas revoir avant des semaines. Elle s’en voulait de ne pas avoir tenté le diable avant !
Il était maintenant minuit, l’avion n’avait toujours pas décollé et finalement tout le monde devait débarquer car la panne était irréparable. Il fallait changer d’avion mais aucun n’était disponible si tardivement.
La voilà donc de retour à une heure du matin à Orly, sans hôtel, sa valise à la main….
Elle était bien tentée d’appeler son chauffeur mais à cette heure-ci il était certainement tranquille chez lui dans son lit avec sa petite femme et il n’habitait en plus pas la porte à côté. Il aurait pourtant été son seul réconfort après une soirée si éprouvante.
Tant pis, elle tentait le tout pour le tout :
« Pff… Ça sonne dans le vide ! Personne ne répond. »
Elle laissa un message sur le répondeur, sorte d’appel au secours. En même temps cela faisait déjà une heure qu’ils avaient arrêté de discuter. Elle n’avait pas grand espoir qu’il puisse venir la chercher.
A bout de nerfs, Julie finit enfin par trouver une chambre d’hôtel à l’autre bout de Paris, tous les hôtels autour de l’aéroport étant complets. Il lui fallait maintenant trouver un taxi.
Elle sortit, une horde de taxis tous aux aguets étaient prêts à lui sauter dessus, inconfortable dans son tailleur en telle situation, elle se sentait épiée et très mal à l’aise quand une voiture noire de type grosse berline avec les fenêtres teintées passa devant elle.
La fenêtre se baissa soudain, c’était lui ! Mais que faisait il dans ce bolide ? Elle ne réfléchit pas et s’engouffra dans la voiture…
« Merci Sofiane, vous me sauvez ! Je suis contente que vous ayez eu mon message…
– Une chance pour vous, j’allais rentrer chez moi, j’étais chez des amis et je me suis dit qu’il fallait que je fasse ce petit détour pour vous. »
Julie était un peu gênée après les échanges ultra chauds qu’ils venaient d’avoir… Sofiane regardait ses jambes, pour la première fois elle était montée à l’avant sans même se poser de questions.
Il filait à vive allure, elle ne lui avait même pas dit où elle dormait…
« Au fait, je vais à l’hôtel Scribe au centre ville. »
Sofiane ne lui répondit même pas, il roulait aussi vite qu’il pouvait sans même lui adresser un mot…
5 minutes plus tard il sortit de l’autoroute et roula dans une direction qui n’était pas celle du centre ville, il faisait noir, Julie n’était pas tranquille…
Bois de Vincennes : elle eut à peine le temps de comprendre qu’il sortit de la voiture, ouvra la porte côté passager, sortit Julie de la voiture, la porta telle une plume et l’assit sur le capot. Il avait l’œil noir, son regard la transperçait. Il lui arracha les boutons de son chemisier et plongea son visage dans son cou, puis l’embrassa furieusement. Julie haletait, sa dentelle était déjà trempée.
Elle se laissait faire, ce corps à corps était tellement imprévisible quelques heures auparavant… Sa langue était douce et fureteuse à la fois, son souffle chaud. Il était d’un sex-appeal déroutant. Son corps était comme sculpté, sa peau mate, quasi imberbe.
Cette force qui se dégageait de lui l’excitait au plus haut point, elle imaginait déjà son sexe la remplir et l’emporter.
Comme si Sofiane l’avait entendue, il la porta, la remit sur ses jambes et la plaqua face contre le capot de la voiture. Il remonta sa jupe, s’agenouilla et caressa ses chevilles fines qui surplombaient le sol en haut de ses talons aiguilles rouges.
Il caressa l’intérieur de ses genoux, l’intérieur de ses cuisses. Julie ondulait du bassin, c’était un vrai supplice pour elle. Son nectar emprisonné s’échappait lentement de ses petites lèvres et humidifiait déjà le haut de ses cuisses. Mais Sofiane arrivait justement avec sa langue à cet endroit chaud bouillonnant qui sentait délicieusement bon. Sa langue lapait avidement comme s’il ne fallait rien perdre de ce miel onctueux. Julie était déchainée, c’en était trop pour elle. Ses fesses cambrées vers l’arrière, elle ne demandait qu’à être profondément comblée. Sofiane la taquinait de plus en plus pour ensuite lui faire sentir à travers son pantalon son sexe dur, prêt à la dominer. Il le libéra enfin, et pris sa belle avec force sans la prévenir. Un cri s’échappa de sa bouche, enfin il la pénétrait aussi profondément qu’il pouvait au rythme des miaulements de sa belle. Tous les deux prenaient un plaisir fou à enfin céder à leurs pulsions réfrénées jusque là.
La libération était proche mais ils firent durer jusqu’à ce que leurs corps fussent épuisés, jusqu’à ce que Sofiane s’écroule sur le corps de Julie qui venait de jouir en criant sur son amant d’un soir.
Il la ramena sans un mot à son hôtel, l’embrassa affectueusement sur la joue, lui souhaita une bonne nuit et lui glissa un papier dans la main avant de s’éclipser.
Il était écrit….
« C’était la plus belle course de ma vie, merci pour ce délicieux instant, Sofiane. »
Article écrit par Candice Solère
Curieuse, passionnée d’érotisme, aventurière du sexe, cette bloggeuse vous fera partager ses sexnews insolites ainsi que ses lectures et histoires coquines. Crazy oui et elle assume !