La fameuse panne de fonctionnement que rencontre parfois le mâle humain tire le plus souvent ses origines de problèmes situés en amont du corps, la raison physiologique pure étant très rare. A moins bien sûr, que l’individu qui peine à trouver de la raideur dans le membre n’ait un âge avancé…
Mais dans la plupart des cas, ce blocage qui pousse ces messieurs à maudire l’humanité toute entière dans l’espoir de redonner de l’épaisseur à l’organe boudeur, ce blocage est d’ordre psychologique et contextuel. Voici quelques unes des raisons de ces contretemps et les moyens de les surmonter.
1) Le stress
Un homme ne peut pas faire semblant d’être opérationnel. Il peut simuler son plaisir, tout comme les femmes, mais il ne peut pas faire semblant d’avoir une érection… Une enquête parue en 2001 révélait ainsi que 29% des hommes sous stress connaissaient des troubles des blocages d’ordre érectile. Problèmes au travail, soucis d’argent ou de santé, le stress puise son pouvoir sans difficulté dans nos quotidiens surchargés et sous pression.
Le problème majeur est que les hommes soumis au stress ont tendance à sombrer dans le cercle vicieux du stress qui entraine le blocage sexuel qui a son tour augmente le stress… Il faut donc rompre le sort en tachant de remettre les choses à plat (sans jeu de mot). Pour cela : détente, repos, vacances, relaxation, méditation… Et si cela ne suffit pas, n’hésitez pas à demander de l’aide à votre médecin.
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2) Les atteintes à la virilité
Si les inégalités entre les sexes continuent de faire rage malgré quelques améliorations, l’un des revers pour la gente masculine est la course à la virilité. L’homme doit être… un homme ! Et dès que celui-ci perd pied, cela joue également sur sa sexualité. Chômage et problèmes d’argent peuvent par exemple donner le sentiment de n’être pas à la hauteur. Lun des exemples les plus fréquents est celui de l’homme face à son image de pourvoyeur financier du foyer : si la femme travaille et pas lui, un mal-être peut alors s’installer.
Cette atteinte à la virilité se traduit notamment par un blocage sexuel, une castration psychologique. La meilleure des solutions est la communication, il faut en discuter avec sa partenaire pour être rassuré. Et si cela ne suffit pas, un soutien psychologique par un professionnel peut alors s’avérer nécessaire.
3) Le complexe du pénis
Ah, la taille du pénis… Cet éternel sujet mille fois discuté et dont la conclusion est sempiternellement la même : « Mieux vaut avoir un sexe modeste bien utilisé qu’une bûche sans âme, mais d’un autre côté, faut quand même un peu plus qu’une brindille dans le pantalon. » Et avec la référence du cinéma pornographique, les hommes se sentent perdus et certains se trouvent ridiculement pourvus. D’où une peur panique de montrer la chose à une dame et une tendance au blocage lorsque l’occasion se présente.
La solution est simple : il faut se raisonner et accepter le corps fourni par la nature. Si le désir est réciproque et bienveillant, il n’y a aucune raison que la galipette se déroule mal. Et si vous possédez effectivement un attribut aux dimensions restreintes, en parcourant le blog, vous découvrirez qu’il existe bien d’autres moyens de donner du plaisir à une femme !
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4) L’anxiété de la performance
Assez proche de la précédente, elle est sans doute plus fréquente et concerne la sexualité en général. Elle touche à tous les domaines de performance : la peur de ne pas durer assez longtemps, la peur de ne pas donner d’orgasme, la peur de mal s’y prendre, la peur de faire mal, la peur que la galipette soit un fiasco… La tendance veut que l’homme soit un bon coup et la sexualité apparaît comme une compétition sportive.
Faire l’amour est une communion physique et mentale qui n’offre aucun gagnant. Il s’agit de partager un plaisir, qu’importe sa forme. Certains seront comblé en vingt minutes quand d’autres s’ébattront des heures avec délectation… L’important est que les deux trouvent leur bonheur et pour cela, une seule solution magique qui règle tout : la communication. Pas forcément avec des mots, mais en écoutant le corps de l’autre, ses envies, ses soupirs, etc…
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5) Le traumatisme
Celui-ci peut prendre diverses formes plus ou moins graves, allant du viol ou de l’inceste au pire jusqu’au mauvais souvenir d’une éjaculation prématurée en charmante compagnie dans le genre moins important… Ces traumatismes liés à la sexualité peuvent avoir des conséquences particulièrement néfastes pour la galipette.
Si les cas de violences sexuelles demanderont certainement un soutien médical pour apprendre à surpasser ses peurs, dans le cas des traumatismes plus discrets comme celui d’un souvenir de panne sexuelle, il faut se dire que celles-ci sont naturelles et que tout comme le rhume ou la gastro, ce n’est pas parce que c’est arrivé une fois que cela va se répéter pour toujours ! L’égarement d’un jour arrive à TOUT le monde.
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6) La fatigue
L’épuisement est un annihilateur de désir radical qui condamne souvent la vie sexuelle. Et même lors des cas où l’on tente de s’adonner à la galipette malgré l’épuisement physique, trop de fatigue pourra conduire à un blocage difficile à surmonter. Il ne faut pas s’en inquiéter outre mesure pour ne pas ajouter du stress, mais c’est un signe qu’il est largement temps de vous reposer…
Sommeil, détente, vacances… Tout ce qui peut reposer votre corps pour recharger vos batteries sera bienvenu !
7) La maladie
Certaines maladies ou leurs médicaments entraînent également des blocages sexuels comme c’est le cas de la dépression par exemple. Mais les soucis de santé peuvent également être directement liés au sexe tel que la fracture du pénis, ou la déchirure du frein, ou encore les diverses IST.
Dans la plupart des cas, il faudra prendre votre mal en patience si la maladie est passagère, comme par exemple à l’occasion de votre appendicite carabinée ou votre rage de dents soudaine. Si le problème semble venir des médicaments, parlez-en à votre médecin pour trouver une solution intermédiaire qui vous soigne tout en vous autorisant les pauses coquines !
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8) La timidité et le mal être
L’homme a besoin d’un minimum d’assurance pour raidir son pénis et l’utiliser à bon escient. Une timidité excessive à un premier rendez-vous coquin ou le fait d’être mal dans sa peau peuvent conduire à un blocage qui rend popaul mollasson. On dit souvent que les femmes ont un désir plus cérébral que celui des hommes. Mais quand il est question d’érection, ces messieurs ont besoin d’avoir le cerveau opérationnel et serein !
Encore une fois, pour surmonter sa peur, il faut relativiser l’acte sexuel et oublier toute notion de performance ou de ridicule. Le sexe est une osmose, le partenaire n’est pas là pour vous juger mais pour partager un moment d’intimité privilégié. Et s’il s’agit d’une première galipette dans votre couple tout neuf, allez-y simplement en douceur en partageant vos doutes et craintes.
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Dans la tête plutôt qu’ailleurs…
Les blocages sexuels sont majoritairement d’ordre psychologique et en cessant de se poser de multiples questions existentielles, on parvient souvent à y faire face. Si chez les femmes ce blocage peut se traduire par vaginisme ou dyspareunie, ces messieurs se retrouvent confronter à un attribut sexuel qui refuse d’obéir aux ordres. Cette manifestation physique et visible accentue le stress de l’échec et le risque d’une spirale négative. Il faut cependant garder à l’esprit que les blocages sexuels arrivent à tout le monde au moins une fois dans une vie et qu’il ne faut pas tout de suite s’en inquiéter. Inutile de perdre pied pour quelques fois où on n’arrive pas à le prendre !
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