Une étude menée au Texas et publiée en 2007 avait permis de répertorier 237 raisons de faire l’amour, nommées et énumérées par les chercheurs en fonctions des résultats de leur enquête. Ils avaient pour cela interrogé un peu plus de 400 personnes âgées de 17 à 52 ans. Au total, ce n’était pas moins de 715 réponses que les chercheurs avaient réussi à récolter. Mais certaines étant trop proches, ils les ont rassemblées en 237 causes pour une seule conséquence : la galipette.
Et même dans leur liste finale, vous pourrez noter que certaines sont très proches, voire identiques. Mais par volonté à la fois de ne rien vous cacher et en même temps de ne pas abimer cette liste aussi sidérante qu’intéressante, nous avons décidé de n’en supprimer aucune.
Comme nous ne voulions pas cependant nous contenter de vous livrer une liste de 237 raisons austères à l’état brut, nous n’avons pas gardé l’ordre original des réponses afin de les répartir dans diverses catégories. Car à cette question aussi naïve que puissante, « pourquoi fait-on l’amour ? », les raisons avancées peuvent être aussi belles que glaçantes…
Les raisons romantiques
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Je voulais que mon/ma partenaire soit satisfait(e).
Rien à dire sur cette volonté de bonheur conjugal aussi louable qu’à encourager.
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Je voulais me sentir connecté(e) à la personne.
L’union charnelle les yeux dans les yeux, on n’a rien trouvé de mieux.
-
Je voulais lui dire « tu me manques ».
L’union des corps pour souder les esprits…
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Je voulais fêter un anniversaire ou un événement particulier.
La Saint-Valentin, l’anniversaire de mariage, de rencontre… tous les prétextes sont bons !
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C’était une occasion spéciale.
Opération des dents de sagesse ou troisième place à un tournoi de ping-pong, rien n’est trop important pour célébrer au lit.
Il n’y avait donc pas d’autre choix…
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Je voulais faire plaisir à mon/ma partenaire.
Offrir son corps en plus de son cœur…
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Je voulais lui dire ‘‘je suis désolé(e).’’
Le pardon érotique fonctionne à tous les (bons) coups.
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Je voulais lui dire ‘‘merci.’’
Les actes sont parfois bien plus forts que les mots…
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Je voulais lui dire ‘‘au revoir.’’
A ne pas confondre avec « Adieu » que nous verrons plus bas dans notre liste.
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Je voulais aider mon/ma partenaire à oublier ses soucis.
Comme dit le proverbe : « les pires soucis s’oublient au lit. »
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Je voulais montrer mon affection à la personne.
En lui faisant un très très gros câlin, donc.
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Je voulais montrer mon amour à la personne.
Les yeux dans les yeux, bouche contre bouche, etc…
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J’ai réalisé que j’étais amoureux(se).
Très jolie façon de le montrer…
Rien de tel que la réconciliation sur l’oreiller pour repartir sur le bon pied et le prendre en même temps !
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Je voulais que mon/ma partenaire soit heureux(se).
Faire plaisir en se faisant plaisir, la clé de la galipette réussie.
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Je voulais tenir une promesse faite à mon/ma partenaire.
Tant que c’était de gaieté de cœur, on peur classer cette raison dans les romantiques !
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La personne m’a caressé(e).
Évidemment, si les préliminaires étaient à la hauteur, il y avait de quoi se laisser tenter.
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Je voulais ne faire plus qu’un avec l’autre personne.
La symbiose charnelle est le point culminant de l’intimité partagée.
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Je voulais intensifier ma relation.
Les voyages forment la jeunesse et le sexe les couples solides.
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Je voulais que mon/ma partenaire exprime son amour.
Ça fonctionne dans les deux sens…
Les raisons qui prouvent que c’est le physique qui compte
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La personne était trop sexy pour résister.
Imparable pour se convaincre soi-même, plus difficile à faire avaler à son ou sa partenaire trompé(e) !
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La personne avait un corps désirable.
Tant que le désir est réciproque, pas de raison de se priver !
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La personne était physiquement trop attirante pour résister.
Les lois de l’attraction sont les plus implacables.
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L’apparence physique de la personne m’a excité(e).
On reste dans le même constat de compatibilité physique/goût personnel.
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La personne portait des habits qui ne cachaient pas grand chose.
C’est connu : moins on cache, plus on monte aux nues…
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La personne sentait bon.
L’amour rend aveugle à condition que son parfum soit à la hauteur.
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La personne avait un visage attirant.
Quand on fait bonne figure, on finit dans la luxure…
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J’ai vu la personne nue et je n’ai pas pu résister.
Il faut dire que le plus souvent, une fois qu’il ou elle s’est dévoilé(e) dans son plus simple appareil, c’est plutôt bien engagé.
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La personne avait de beaux yeux.
Avec des yeux revolver et un regard qui tue, on finit toujours par tirer…
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J’était attiré(e) par la personne.
Qui s’attirent se tirent…
Et les raisons qui prouvent qu’il n’y a pas que le physique…
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J’ai été excité(e) par la conversation autour du sexe.
D’où l’importance de tenir son public en haleine.
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La personne était « disponible ».
Toute place vacante doit être occupée…
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J’ai été séduit(e).
Vainqueur par KO érotique.
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La personne était intelligente.
Il n’y a pas que le physique qui compte, il y la physique aussi.
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La personne m’a flatté(e).
La Fontaine avait raison : tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute, cette leçon vaut bien un orgasme sans doute !
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La personne me désirait vraiment.
Il suffit de savoir se laisser convaincre.
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La personne m’a offert un diner très cher.
Et aphrodisiaque aussi, probablement ?
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C’était donc bien parti…
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La personne m’a acheté des bijoux.
Curieuse motivation… Comme quoi, les carats donnent du charisme.
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La personne avait un très bon sens de l’humour.
Rire et jouir, deux verbes qui s’aiment et se ressemblent.
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La personne semblait avoir confiance en elle.
Être bien dans sa peau, ça donne confiance et ça rend beau.
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La personne avait beaucoup d’argent.
Le sexe est aussi parfois question de bourse.
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La personne dansait bien.
Ça commence aussi à peu près comme ça dans « Dirty Dancing ».
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La personne me faisait me sentir sexy.
L’image que la personne nous renvoie est souvent plus importante que celle de la personne en elle-même…
Les raisons qui relèvent du fantasme
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Je voulais soumettre mon/ma partenaire.
Le plaisir de prendre le dessus au lit…
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Je voulais dominer l’autre personne.
Quand il y a un(e) soumis(e), il faut un(e) dominant(e). C’est mathématique.
A genoux devant son maître ou sa maîtresse, le summum du plaisir pour certains.
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Je voulais « posséder » la personne.
Si c’était la précédente, voilà deux partenaires qui se sont bien trouvés.
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Je voulais « prendre le contrôle » de la personne.
Tant qu’on reste dans le contexte des fantasmes partagés…
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Je voulais être utilisé(e) ou souillé(e).
Une autre forme de soumission encore plus forte et qui cache un désir intense…
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Je voulais me sentir femme.
En tant qu’homme, c’est du transformisme, en tant que femme, c’est une envie de sexe torride.
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Je voulais me sentir homme.
Inverser les données précédentes.
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Je voulais perdre mes inhibitions.
Parfois, le sexe est un excellent tremplin pour se surpasser.
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Un film érotique m’a excité(e).
Regarder des films coquins en couple, excellent booster de désir qui s’amenuise.
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Je voulais réaliser un fantasme.
On aurait aimé en savoir un peu plus…
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Les raisons totalement pragmatiques
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Je voulais brûler des calories.
Le sexe, ça peut être du sport, mais il faut un partenaire au niveau !
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Tout à fait, mais c’est comme le footing. Courir 5 minutes comme une tortue n’a jamais fait maigrir personne. Il faut durer et tout donner.
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Je voulais être plus focalisé(e) sur mon travail – les pensées sexuelles empêchent de se concentrer.
Quand ça démange, faut gratter. Sinon, ça reste.
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Je voulais avoir un orgasme.
C’est imparable. A condition que le partenaire vous connaisse bien et sache vous l’offrir.
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C’est fun.
C’est clair.
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Je voulais me reproduire.
C’est effectivement la meilleure façon d’y parvenir.
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Je voulais avoir un enfant.
Beaucoup de gens sont effectivement passés par là.
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Je voulais me tenir chaud.
Quand il n’y a plus de couverture, il reste la luxure !
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Je voulais soulager mes crampes menstruelles.
Vive les hormones de plaisir !
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Je voulais soulager un « trop-plein » dans mes testicules.
C’est d’un romantisme réjouissant.
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Je n’avais pas eu de relation sexuelle depuis longtemps.
Nostalgie, quand tu nous tiens.
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Ça faisait un petit moment que je n’avais pas eu de relation sexuelle.
On continue de chercher la différence avec la précédente…
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Je voulais voir si j’arriverais à mettre la personne dans mon lit.
Apparemment, ça a fonctionné.
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Ça fait du bien.
Absolument, alors pourquoi se priver ?
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Je voulais du pur plaisir.
Qui ne tente rien n’a rien.
Les raisons mystiques et philosophiques
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Je désirais ressentir une proximité émotionnelle.
Unir les sensations permet encore plus de plaisir.
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C’est arrivé, tout simplement.
C’était écrit, c’est sûr.
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J’ai senti que c’était mon devoir.
Tant que ce n’était pas une obligation.
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J’ai senti que c’était juste « la chose à faire ».
En espérant que y avait un peu d’envie quand même…
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Je voulais me sentir plus proche de Dieu.
Le septième ciel est peut-être aux portes du paradis ?
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Je voulais me sentir puissant(e).
Donner du plaisir à quelqu’un donne une saine satisfaction à l’ego.
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Je voulais que mon/ma partenaire se sente puissant(e).
Il faut savoir partager les coups d’éclat comme les coups d’état.
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J’étais d’humeur rebelle.
Et donc il fallait quelqu’un pour vous mater.
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Je voulais me sentir jeune.
Ah, les orgies de ses vingt ans…
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Je voulais me sentir plus vieux.
En faisant comme papa et maman ?
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Je voulais réaffirmer mon orientation sexuelle.
Un petit contrôle technique pour vérifier.
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Je voulais communiquer à un niveau plus en profondeur.
La profondeur est au cœur de la sexualité…
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Je voulais vivre une expérience « spirituelle ».
C’est sûr que le sexe est plus sympa qu’appeler les esprits en ce concentrant autour d’octogones maléfiques.
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L’opportunité s’est présentée d’elle-même.
L’homme qui tombe à pic.
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Cela semblait être l’étape suivante naturelle.
Il faut bien cocher toutes les cases.
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Je voulais augmenter le lien émotionnelle par le sexe.
L’union des corps est le ciment du couple.
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Je voulais augmenter l’estime de moi-même.
Le plaisir d’offrir du plaisir autant que d’en recevoir est l’une des clés du bonheur.
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Je voulais élever l’esprit de mon/ma partenaire.
Et comme il ou elle n’y arrive pas tout seul…
- Je voulais profiter de la vie.
La vie est trop courte pour ne pas la remplir de plaisir.
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Je voulais me sentir fier(e) de moi.
Combler et se combler est source de fierté.
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Je voulais oublier mes problèmes.
Le sexe ne règle pas les problèmes, mais le septième ciel sait effectivement les relativiser.
-
Je voulais me sentir attirant(e).
Le sexe nous fait nous sentir beau : le plaisir donné à l’autre nous grise !
Les raisons physiologiques de pure nécessité
On verra ce qu’en dira un jury…
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J’étais « chaud(e) ».
L’appel du thermomètre est souvent révélateur.
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J’étais sexuellement excité(e) et j’avais besoin d’être soulagé(e).
Cela peut aussi se régler en solo, mais à deux, c’est toujours mieux.
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Je voulais ressentir du plaisir physique.
Encore une raison imparable qui fait montre d’un pragmatisme à toute épreuve.
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J’étais dans « le feu de l’action ».
On n’arrête pas une tempête.
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J’étais frustré(e) et j’avais besoin d’être soulagé(e).
Il y a des vides qu’il ne faut pas hésiter à combler.
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J’étais d’humeur pas sage.
Et vous avez donc réclamé une juste punition…
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Je voulais satisfaire une pulsion.
Tant que le partenaire est volontaire…
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Je n’avais aucun contrôle sur moi-même.
Encore une fois, tant que l’on s’assure que c’est réciproque…
Les mauvaises raisons
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J’étais sous l’influence de drogue.
Quitte à risque l’overdose, mieux vaut qu’elle soit de plaisir.
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J’avais l’impression que je le devais à la personne.
Le sexe est le symbole parfait de l’intimité la plus personnelle, on ne le doit à personne.
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Mon/ma partenaire n’a pas arrêté d’insister.
En espérant qu’au moins, vous n’avez pas regretté de vous être laissé(e) convaincre…
-
Je me suis senti(e) obligé(e).
En matière de sexe, il ne faut jamais rien faire contre son gré !
-
Je n’ai pas su dire « non ».
Il faut écouter son corps, pas celui de son/sa partenaire.
-
Je voulais blesser/humilier la personne.
Même si on a du mal à imaginer comment le sexe peut y parvenir, la raison est priori mauvaise.
-
Je me sentais coupable.
Mieux vaut présenter des excuses sincères qu’un corps qui ment.
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C’était une faveur rendue à quelqu’un.
Le sexe comme faveur n’est ni souhaitable ni complètement autorisé…
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On m’a mis la pression pour le faire.
Dans le top des pires raisons. Le sexe doit rester un plaisir, pas une contrainte.
-
Je voulais obtenir une faveur de quelqu’un.
Notre corps ne doit pas servir de monnaie d’échange, à moins que ce ne soit un fantasme de soumission…
-
Je voulais le/la manipuler pour qu’il/elle fasse quelque chose pour moi.
La raison est peu louable, mais au moins, si la tactique vient de vous et que tout le monde obtient ce qu’il désire…
Les raisons plus ou moins médicales
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Je voulais que la personne se sente mieux dans sa peau.
C’est louable en théorie, mais mieux vaut s’ébattre avec plaisir qu’avec pitié.
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-
Je voulais que la personne se sente mieux dans sa peau.
Quand on vous disait que certaines raisons se répétaient un peu…
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Je voulais soulager mon stress.
La méthode a fait ses preuves : c’est le pouvoir des hormones de plaisir, encore elles !
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Je voulais relâcher la pression.
Détendre le corps en lui faisant faire un tour vers le septième ciel, un remède infaillible.
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Je pensais que cela pourrait me détendre.
Décidément, le sexe est un véritable antidépresseur !
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Je voulais booster mon estime de moi-même.
Ah, les pouvoirs psychologiques du sexe… S’ébattre en mortel pour se sentir comme un dieu.
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Cela me permettait « d’évacuer le sexe de mon corps » pour pouvoir me concentrer sur d’autres choses.
Le corps est comme un ordinateur, il faut parfois nettoyer le disque très dur pour lui redonner de la puissance.
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Je pensais que ça m’aiderait à m’endormir.
Bonne tactique ! Encore un bienfait des hormones de plaisir !
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Je voulais me débarrasser d’un mal de tête.
Ce qui n’est pas du tout absurde, les hormones de plaisir ont cette réputation !
-
Je voulais ainsi me sentir en bonne santé.
Encore une fois, le calcul était bon : le sexe est bon pour la santé et renforce notre système immunitaire.
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Les raisons tristes
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J’étais marié(e) et c’est ce que tu dois faire dans ce cas-là.
Quand le devoir conjugal devient contrainte, il est temps de secouer son couple.
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Je voulais me sentir aimé(e).
Hélas, cela fonctionne rarement ainsi… Sauf si c’est avec le ou la partenaire attitrée, les yeux dans les yeux.
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Je me sentais seul(e).
Comme on dit, mieux vaut être seul que mal accompagné ?
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Je voulais qu’on fasse attention à moi.
Se servir de son corps pour gagner un peu d’attention est souvent artificiel.
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C’était plus facile d’aller jusqu’au bout que de dire stop.
Faire l’amour contre son gré s’avère en revanche plus douloureux…
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J’étais en compétition avec quelqu’un d’autre pour ‘‘avoir la personne.’’
Offrir son corps n’a jamais apporté ce genre de garantie.
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Je voulais que la personne m’aime.
Provoquer l’amour est impossible, mais pour mettre les chances de son côté, mieux vaut créer le manque que le combler : donner envie de faire l’amour sans l’accorder !
-
Je voulais me sentir aimé(e).
Si la personne possède votre corps par désir mais sans amour, il n’y a aucune chance que la méthode fonctionne.
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Je ne voulais pas « perdre » la personne.
La galipette n’offre qu’un peu de répit quand la personne ne veut pas rester.
-
Je voulais rendre quelqu’un d’autre jaloux.
C’est une raison évidemment difficilement louable !
-
Je voulais être gentil(le).
Charité bien ordonnée commence par soi-même.
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Je voulais qu’il/elle arrête de m’embêter avec son envie de sexe.
Ouvrir sa braguette pour fermer son clapet, étonnant procédé.
-
Je ne voulais pas décevoir la personne.
Le désir doit être réciproque, l’intimité ne se négocie pas.
-
C’était la seule manière que mon/ma partenaire passe du temps avec moi.
Il est peut-être temps d’en changer ?
-
Je voulais que mon partenaire me remarque.
Voir la suggestion précédente.
-
Ça faisait juste partie de la « routine » du couple.
Chacun gère la paix des ménages à sa façon, mais le sexe par obligation, ça ne mène pas le couple très loin.
-
Je suis dépendant au sexe.
La maladie d’amour n’a hélas rien de poétique et est bien réel.
-
Je suis un(e) « sex addict ».
La nuance n’est pas évidente avec la précédente…
-
Je me sentais mal dans ma peau.
Grâce au pouvoir des hormones, on peut améliorer les choses le temps de l’étreinte… Si le mal persiste, mieux vaut consulter que s’ébattre à chaque coup de blues.
-
Je voulais me sentir mieux dans ma peau.
Par rapport à la raisons précédente, les mots changent, mais pas les maux.
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Je voulais éviter de blesser (sentimentalement) quelqu’un.
Briser un cœur n’est jamais facile, mais éviter de le faire en faisant semblant ne fait que repousser le problème.
Les raisons illégales
Ces raisons sont trop condamnables et sont suffisamment éloquentes en elle-même pour nécessiter un quelconque commentaire…
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J’ai été physiquement forcé(e).
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J’ai été verbalement contraint(e) à le faire.
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On m’a offert de l’argent pour le faire.
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La personne m’a proposé de la drogue en échange.
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Je voulais mettre fin à une agression.
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Je voulais un travail.
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Je voulais une augmentation.
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Je voulais une promotion.
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Je voulais me faire de l’argent.
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Je voulais transmettre à quelqu’un une IST (ex : herpès ou SIDA).
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J’avais peur de dire « non » à cause de possibles représailles physiques.
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La personne avait trop bu et j’ai pu tirer avantage de la situation.
L’attrait de l’expérience et de l’aventure
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Je voulais voir ce que ça faisait de faire l’amour « défoncé(e) » (ex : sous cannabis ou autre).
Tant que c’est juste une fois et que vous ne le regrettez pas…
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J’étais curieux de voir mes aptitudes sexuelles.
On espère que vous vous êtes mis une bonne note…
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J’étais curieux de voir ce que valait la personne au lit.
C’est effectivement le plus sûr moyen de savoir.
-
C’est excitant, comme une aventure.
C’est une belle vision de la galipette.
-
J’étais curieux de ce qu’est le sexe.
La première fois n’est pas la meilleure, mais il faut bien commencer quelque part !
-
Je voulais de l’aventure, de l’excitation.
Pas besoin d’aller au bout du monde, l’extase est au bout du lit !
-
Je voulais vivre cette expérience.
L’expérience érotique vaut définitivement d’être vécue.
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Je voulais vivre de nouvelles expériences.
L’intime est une exploration infinie…
Le Kâma-Sûtra est un sacré pavé, pour l’expérimenter dans son entier, il n’y a pas de temps à perdre.
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-
Je voulais augmenter le nombre de partenaires avec lesquels j’ai fait l’amour.
Ce n’est pas très agréable d’être un numéro sur une liste, mais tant que vous le gardez pour vous…
-
Je voulais voir ce que ça faisait de faire l’amour avec une autre personne.
C’est vrai que c’est assez différent d’avec soi-même.
-
Je voulais voir si faire l’amour avec un(e) autre partenaire serait mieux ou pas.
Comparer pour mieux sauter, en somme.
-
Je voulais améliorer mes aptitudes sexuelles.
C’est en forgeant qu’on devient forgeron.
-
Je voulais comprendre pourquoi on fait autant d’histoire autour du sexe.
Le problème est que tous les rapports ne se valent pas.
-
Je voulais tester ma compatibilité sexuelle avec une autre personne.
Même si elle est gémeau ascendant capricorne, tant qu’on n’a pas essayé, on ne peut pas être certain.
-
Quelqu’un m’a dit que cette personne était très bonne au lit.
Vous avez raisons, il faut se méfier des on-dit et faire confiance à son propre jugement.
-
Je voulais faire une conquête.
Certains veulent conquérir le monde, et d’autres leur voisin(e).
Les raisons qui laissent songeur
-
Je m’ennuyais.
Combler le corps pour combler l’ennui. Pourquoi pas.
-
Quelqu’un m’a mis au défi.
Cap ou pas cap n’est pas qu’un jeu d’enfant.
-
J’en avais assez d’être vierge.
Ce n’est pourtant ni un défaut, ni une maladie.
-
Je pensais que ça m’aiderait à « mettre le grappin » sur un nouveau partenaire.
Le sexe n’est pas un contrat, même si vous faite l’amour devant un notaire.
-
J’avais de la peine pour la personne.
La pitié est un piètre remplaçant du désir.
-
C’est devenu une habitude.
Juste après question pour un champion.
-
Je me suis laissé entrainé.
Il y a des pistes sur lesquelles on se laisse glisser plus facilement… L’important est de ne pas le regretter !
-
Je voulais un nouveau trophée à mon tableau de chasse.
Tant que vous lui avez pas coupé la tête pour la mettre à côté de celle du sanglier dans votre salon…
-
La personne m’a demandé.
On ne voudrait pas vous accuser d’être une fille ou un garçon facile mais…
-
C’est ce qu’on attendait de moi.
Et nous espérons que c’est également ce que vous attendiez du/de la partenaire…
-
J’étais ivre.
Au moins, c’est franc. C’est déconseillé, mais c’est Franc.
-
Mon/ma partenaire officiel est « ennuyeux(se) », alors j’ai couché avec quelqu’un d’autre.
Ce sont malheureusement des choses qui arrivent, mais si c’est plus qu’un désir passager, mieux vaut revoir les raisons qui vous poussent à être ensemble.
-
C’était un pari.
Dans le cadre du couple, ça reste un jeu sexuel. En dehors… Chacun dispose de son corps comme il l’entend ?
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-
Je voulais obtenir une faveur spéciale de quelqu’un.
Nous aurions bien aimé savoir quel genre de faveur…
-
Je voulais me punir.
Sans contexte, difficile de savoir si c’est dans le cadre d’un jeu BDSM et dans ce cas, tout roule. Mais s’il s’agit d’un vrai désir de se punir en s’offrant volontairement sans envie, c’est plutôt très triste…
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-
Je voulais changer de sujet de conversation.
Magnifique raison : la parole est d’argent, le corps est d’or…
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Je voulais souhaiter la bienvenue à quelqu’un.
Voilà une bien jolie tradition…
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Je voulais provoquer mes parents.
On comprend le principe, on espère juste qu’il y avait un peu de désir aussi ?
-
La personne était très désirée par tout le monde.
Pouvoir posséder ce que tout le monde désir, c’est une autre forme de plaisir…
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Je voulais accéder ainsi à l’ami(e) de la personne.
Un calcul bien compliqué et qui ne doit pas fonctionner à tous les coups…
Le pouvoir du regard de l’autre
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Je voulais avoir quelque chose à raconter à mes amis.
On espère qu’il y avait au moins effectivement matière.
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Mes amis avaient des relations sexuelles, et je voulais être comme eux.
L’importance du moule dans le sexe…
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La personne était célèbre et je voulais pouvoir dire que j’avais couché avec.
C’est toujours bien comme anecdote, au moment de l’apéritif.
-
Je voulais avoir plus de rapports sexuels que mes amis.
Nous ne sommes pas certains qu’en matière de sexe, la quantité valle mieux que la qualité… Mais les désirs sont personnels.
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Tout le monde a une vie sexuelle.
Et il y a une excellente raison à cela : ça fait grand bien !
50. Mes amis m’ont mis la pression.
Une raison résolument mauvaise : personne ne doit décider à votre place de l’utilisation de votre corps.
-
Je voulais être populaire.
L’histoire à montrer qu’en couchant avec un maximum de personne, on gagne une popularité peu enviable, particulièrement si on est une femme…
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C’est considéré « tabou » par la société.
Et du coup, le sexe est une forme d’anarchie ? C’est sans doute tabou sur le papier, mais vu la surpopulation mondiale, ça l’est beaucoup moins dans les faits.
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Je pouvais ainsi me vanter auprès des autres de mes connaissances sexuelles.
Apprendre pour mieux informer les autres ?
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Ça aurait abimé ma réputation si j’avais dit non.
Voilà une réputation qui fonctionne étonnamment…
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Je voulais améliorer ma réputation.
Passer pour un tombeur pour ces messieurs ou cesser de passer pour un glaçon chez les dames… Les pouvoirs malfaisants de la réputation.
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Je voulais être accepté(e) par mes amis.
Les vrais amis vous acceptent en général pour ce que vous êtes plutôt que pour ce que vous faites…
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Je voulais impressionner mes amis.
Vous voulez dire qu’ils vous regardaient faire durant tout le temps de la galipette ?
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Je voulais me vanter de mes conquêtes auprès de mes amis.
Qu’importe le nombre de courses si on n’en gagne aucune ?
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Je pensais booster ainsi mon statut social.
Faire l’amour avec un(e) prince(sse) n’a jamais transformé aucun crapaud…
Les raisons liées aux problèmes de couples
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J’étais en train de « sortir » d’une relation.
Le sexe étant un ciment du couple, s’ébattre ailleurs peut effectivement être une solution pour mettre fin psychologiquement à une relation. Mais il faut un peu de désir quand même !
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J’essayait de « tirer un trait » sur une relation terminée.
Comme nous venons de le dire : qui copule ailleurs s’en va plus vite.
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J’étais furieux(se) contre mon/ma partenaire, alors j’ai couché avec quelqu’un d’autre.
La vengeance sexuelle, grand classique efficace pour dynamiter son couple, mais qui apporte souvent peu de satisfaction (y compris au niveau sexuel).
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Je voulais qu’on soit quitte (vengeance).
On espère au moins que l’outil de votre vengeance vous a donné un peu de plaisir autre que celui, amer, de la vengeance.
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Je voulais me venger de mon/ma partenaire qui m’avait trompé(e).
Décidément, l’œil pour œil, corne pour corne a un pouvoir certain.
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Je voulais être à égalité avec un(e) partenaire qui m’avait trompé(e).
Voilà une manière un peu plus positive de formuler les choses. Même si le résultat est le même.
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Je voulais mettre fin à la relation.
En faisant l’amour au partenaire à quitter ou en allant voir ailleurs ? Les deux cas se trouvent !
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Je voulais empêcher mon/ma partenaire d’aller voir ailleurs.
C’est un système qui ne fonctionne qu’un temps et qui risque par ailleurs de vous dégoûter du sexe…
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Je voulais diminuer l’envie de mon/ma partenaire d’avoir un rapport avec quelqu’un d’autre.
Son envie strictement physiologique sera effectivement rassasié dans l’instant, mais quelque heures plus tard à peine, le démon de l’infidélité pourra à nouveau le ou la prendre…
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J’avais peur que mon/ma partenaire me trompe si je ne couchais pas avec lui/elle.
C’est encore une fois un deal qui ne fonctionne pas. La confiance est le seul remède à la peur d’être trompé(e).
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Je voulais éviter que mon partenaire aille voir ailleurs.
L’envie d’ailleurs ne se résout hélas jamais en restant à la maison…
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Je voulais que mon/ma partenaire reste avec moi.
On note beaucoup de raisons qui ont pour l’origine la peur de l’abandon…
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Je voulais briser le couple de mon/ma rival(e) en couchant avec son/sa partenaire.
C’est un plan un peu diabolique mais qui doit pouvoir fonctionner…
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Je voulais que mon/ma partenaire arrête de me bassiner.
Sexe, sexe, sexe, sexe, sexe, sexe, sexe, sexe… Ok, t’as gagné. L’art de se laisser convaincre…
Si les deux partenaires ont la même motivation, c’est effectivement une excellente initiative.
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Je voulais éviter une rupture.
Quand il est trop tard, une galipette ne fera que retarder l’échéance…
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Je voulais mettre fin à la relation.
« Faisons l’amour puisque c’est fini nous deux » comme le chantait Jeanne Manson.
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Je voulais mettre fin à la relation de quelqu’un d’autre.
50% des méchants dans les comédies romantiques trompent leur femme avec une jolie fille qui attend avec impatience que le vil homme quitte sa femme. Et dans les films, ça ne fonctionne pas.
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Je me sentais jaloux(se).
Ressouder les âmes en unifiant les corps et retrouver ainsi la confiance… Au moins pour un temps.
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Je voulais rendre quelqu’un d’autre jaloux(se).
Faire l’amour avec une tierce personne pour rendre jaloux la seconde qui vous désire est effectivement imparable.
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Je voulais m’assurer que notre relation était « officielle ».
La galipette n’est pas un contrat, mais c’est certain que c’est un indice de mise en couple.
Les raisons mystérieuses
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Je voulais arrêter de faire ce que j’étais en train de faire.
Arrêter de faire une chose pour se mettre à une autre, logique implacable. On aurait juste voulu en savoir plus…
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C’était un rite initiatique pour intégrer un club ou une organisation.
On espère que cette mystérieuse association en vaut la peine… Offrir son corps pour avoir le droit d’appartenir à un groupe, cela sonne pourtant assez sectaire.
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Je voulais rendre une faveur.
On se demande quel genre de faveur méritait un tel dévouement…
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La personne était mystérieuse.
Et la raison à peine moins, du coup.
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Je savais que la personne était en principe « hors de ma portée ».
Faire l’amour avec l’impossible pour que l’impossible devienne soudainement possible…
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Je voulais célébrer quelque chose.
Certains ont vraiment le sens de la fête.
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Je voulais blesser un ennemi.
Beaucoup d’interrogations suscitées par cette raison : l’ennemi est-il le partenaire et dans ce cas, votre façon de vous ébattre est-elle à ce point violente ? Ou l’ennemi est-il un(e) partenaire ancien(ne) ou actuel que vous vouliez rendre jaloux ?
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Ça pouvait m’apporter des cadeaux.
Il y a certainement un contexte qui manque à cette explication…
Pas de proportion
Ce qui est intéressant avec cette liste de réponses, c’est la démonstration que les raisons pour lesquelles nous faisons l’amour ne sont pas toujours merveilleuses et jubilatoires, certaines d’entre elles étant même odieuses. Cette désacralisation de la galipette montre que l’acte romantique de plaisir pur à partager dans une communion des corps est une vérité, un bonheur auquel on a le droit et la possibilité d’aspirer, mais le sexe est complètement intrinsèque à nos personnes, et à ce titre, il a sa part sombre. Rassurez-vous cependant, si beaucoup de ces réponses sont parfois effrayantes, ces 237 raisons de faire l’amour ne sont pas toutes aussi fréquentes les unes que les autres et il y a fort à parier que la raison « Parce que je l’aime » est une motivation plus régulière que « j’avais fait un pari… »